À propos du Bee and Puppycat en quelques mots:

“Bee and Puppycat” est une série animée sur le web qui fusionne magnifiquement les éléments de science-fiction et de fantastique. L’histoire suit Bee, une femme au chômage, et Puppycat, une créature mystérieuse qui est un mélange d’un chat et d’un chien. Ensemble, ils se lancent dans des emplois temporaires intergalactiques, naviguant à travers les défis de la vie et du travail, tout en dévoilant le passé mystérieux de Puppycat et le destin de Bee.

Découvrez les personnages de Bee and Puppycat

Bee

Bee c’est le chaos adorable embouteillé dans un seul corps — hyperactive, maladroite, mais terriblement attachante, genre tu veux la secouer et lui donner un biscuit en même temps. Elle enchaîne les petits boulots interstellaires comme si c’était une playlist aléatoire, toujours prête à dire oui même quand ça semble totalement insensé. Elle a un appartement qui ressemble à un tas d’artisanat abandonné (mais elle jure que c’est organisé), adore cuisiner des choses improbables et oublie constamment ses clés — sauf quand elle ne les perd jamais, va comprendre. Ah, et elle a ce cœur énorme qui la pousse à aider tout le monde, même les bureaucrates cosmiques qui n’en valent pas la peine (véridique, parfois elle est téméraire comme un super-héros, parfois elle est juste très, très fatiguée).

Puppycat

Puppycat est ce mélange mystérieux de chien paresseux et de chat blasé, avec un passeport galactique dont il ne veut pas parler (ou parle trop, on sait jamais). Il grogne, marmonne, et puis — bam — lâche une remarque qui te fait réaliser qu’il est plus profond que son regard blasé, genre il a vécu trois vies et a perdu un t-shirt quelque part entre deux dimensions. Il est protecteur envers Bee mais il peut aussi disparaître dans une pause de quinze secondes pour mâcher un sandwich imaginaire, c’est très équilibré. Parfois il miaule, parfois il aboie, parfois il parle comme si c’était totalement normal de réparer des machines spatio-temporelles avec du scotch et de l’amour — ou alors c’est juste du scotch.

Deckard

Deckard a ce charme mi-mysterieux mi-brisé, genre on sent qu’il cache des choses mais il te sourit quand même — et ce sourire, sérieux, désarme tout. Il gère des trucs officiels (temp agencies, contrats cosmiques, petits secrets), toujours impeccablement coiffé sauf les jours où il ressemble à quelqu’un qui a combattu un orage de confettis; contraste délicieux. Il est patient mais parfois incroyablement impulsif, protecteur sans le dire, et il arrive à la fois comme un mentor et un type un peu trop dramatique pour un café du matin. Et petit détail inutile mais mignon : il collectionne des stylos qu’il n’utilise jamais, ou peut-être qu’il en a besoin pour écrire des lettres qu’il n’envoie jamais — romantique compliqué, voilà.

Cass

Cass, c’est la dose de calme pratique dans la tempête Bee/Puppycat — elle râle, oui, mais elle s’occupe, capable d’organiser un plan spatial en cinq minutes tout en bouillant de l’eau pour le thé. Elle est terre-à-terre, sarcastique, genre la voix qui dit “sérieusement” au bon moment, mais attention, elle a aussi des petites folies (collection d’aimants étranges, rituels de danse bizarres à 3h du matin, selon l’humeur). Elle protège ses amis d’un regard, mais ne te laisse pas t’apitoyer, elle est douce et dure en même temps — un peu comme un toast bien grillé, pas trop, parfois brûlé. Et dernièrement je jure qu’elle a un plan secret (ou une plante préférée), bref, Cass c’est le cœur pratique de la bande et je l’aime déjà.