À propos du Blade Runner: Black Lotus en quelques mots:

Blade Runner: Black Lotus est une série animée qui se déroule dans l’univers de Blade Runner. Elle suit l’histoire d’une jeune femme nommée Elle, qui se réveille sans aucun souvenir de son passé et qui doit découvrir la vérité sur son identité tout en étant poursuivie par des ennemis dangereux. La série explore les thèmes de la technologie, de l’identité et de la moralité dans un monde futuriste dystopique. Elle est produite par Adult Swim et Crunchyroll et est animée par Sola Digital Arts.

Découvrez les personnages de Blade Runner: Black Lotus

Elle

Elle est un tourbillon étrange — une enfant guerrière qui tape plus fort que la plupart des adultes et qui, en même temps, regarde le monde avec une naïveté presque douce. Elle cherche qui elle est, mais genre vraiment, comme si chaque rue et chaque cicatrice lui racontait un bout d’histoire; parfois elle oublie des détails et puis se souvient d’un nom improbable (vraiment, qui se rappelle d’un détail comme ça ?). Elle manie les lames et la vitesse comme si c’était naturel, mais elle a aussi des tics mignons, comme fredonner une vieille chanson qu’on n’entend plus nulle part. Contradictoire? Complètement — violente et vulnérable en même temps, et c’est pour ça qu’on l’aime (et parfois on a envie de la serrer fort).

Joseph

Joseph, c’est le type chaleureux qui a vu trop de choses et qui refuse de parler de la moitié — sauf qu’il te servira un café à 3h du matin et te racontera une blague nulle pour te faire sourire. Il fait le truc du mentor un peu bancal, un peu cassé, mais toujours fiable quand il le faut; parfois il est maladroit (vraiment, il renverse son café tout le temps) et en même temps il a cette sagesse calme qui claque. J’adore qu’il garde des petites habitudes bizarres, genre collectionner des photos jaunies ou balayer le sol comme si ça allait réparer le monde. Bref, il est rassurant sans être ennuyeux et on sent qu’il cache un passé trop lourd pour une seule personne.

Niander Wallace Jr.

Oh, Niander Jr. — le type brillant et terrifiant, l’héritier du contrôle ultime, le visage poli d’une machine de pouvoir; il a cette obsession froide pour « améliorer » les choses, et on frissonne un peu en l’écoutant parler d’éthique comme s’il bavardait météo. Parfois il paraît presque enfantin dans sa curiosité (oui, sérieux, il pose des questions bizarres sur les fleurs — orchidées forever, évidemment), et puis une seconde après il renvoie tout le monde dans leur coin avec un sourire glacé. Il aime la perfection et les détails (peut-être trop) et il a cette façon déconcertante d’être charmant quand il manipule les gens. En somme, dangereux, fascinant, et un peu théâtral — j’y pense encore, c’est addictif.

Earl Grant

Earl, c’est le type qui a la classe d’un vieil oncle riche et la brutalité d’un homme qui n’a pas peur de se salir les mains — il joue le rôle du magnat calme mais quand il s’énerve, fais gaffe. Il adore le jazz, ou c’est juste un truc qu’il prétend aimer pour paraître sophistiqué; possibilité qu’il ait une montre vintage qu’il touche tout le temps quand il réfléchit (quelqu’un a dit manies ?). Ambitieux, calculateur, mais parfois étonnamment sentimental (oui, sentimental — c’est bizarre, je sais), il peut se montrer généreux d’une minute et impitoyable la suivante. C’est le genre d’antagoniste/facilitateur qu’on garde à l’œil parce qu’il est imprévisible (et parce qu’il a une façon de sourire qui fout les jetons).

Hooper

Hooper, le flic rouspéteur, voilà quelqu’un de direct: râleur, pragmatique, pas du tout patient avec les ennuis bureaucratiques mais étrangement fidèle à ses principes (même s’il s’en plaint tout le temps). Il a cette voix grave, toujours un peu fêlée, et il collectionne sans le vouloir des expressions façon « autrefois c’était mieux » — mais attention, il a du cœur, même s’il s’en défend en permanence. Il pue le café noir et les mauvaises décisions, mais il aime aussi les petites choses simples (un chien de rue, un sandwich mal assemblé — oui j’invente peut-être mais ça colle). Bref, il est casse-pieds et indispensable, l’archétype du vieux briscard qu’on adore détester puis admirer.

Alani Davis

Alani est une tête brûlée avec des principes: perspicace, hyper observatrice, elle veut la vérité plus que tout et elle t’en parlera pendant des heures (et tu vas écouter, parce qu’elle a un sens de la répartie). Elle peut paraître froide au début (professionnelle, on dirait), mais elle cache des petites failles — genre elle collectionne des sucreries qu’elle prétend « pour le travail » et qui trainent dans son sac. Super habile avec la tech et les enquêtes, elle a aussi des doutes qui la rendent humaine, ce qui la rend encore plus forte en fait. Elle est têtue comme une mule, fidèle à ses idéaux, et franchement, elle est la personne qu’on veut dans son coin quand ça devient vraiment moche.

Senator Bannister

Senator Bannister, c’est le politicien impeccable: sourire poli, costume parfait, discours calibrés — mais tu sens toujours quelque chose de calculé derrière le vernis, genre un léger bruit de mécanique. Il parle de stabilité et d’ordre comme si c’était la recette contre le chaos, et pourtant il a des petites contradictions, il remballe ses notes comme si ça allait effacer ses non-dits (ou alors il joue la comédie, probablement les deux). Manipulateur sans être trop gros dans le rôle, il préfère les compromis sournois aux confrontations directes; il a ce talent pour transformer une promesse en piège. Bref, charmant en surface, dangereux en profondeur, et très, très mauvais pour dormir quand les projecteurs se tournent ailleurs (dixit mes théories).