À propos du Regular Show en quelques mots:

Regular Show est une série télévisée d’animation américaine créée par J.G. Quintel. Elle suit les aventures de deux amis, Mordecai, un geai bleu, et Rigby, un raton laveur, qui travaillent comme jardiniers dans un parc municipal. Ils passent la plupart de leur temps à se mettre dans des situations absurdes et à éviter le travail. La série est connue pour son humour décalé, ses références à la culture pop et ses personnages excentriques. Elle a remporté plusieurs prix, dont un Emmy Award en 2012.

Rencontrez les personnages de Regular Show

Mordecai

Mordecai, le geai bleu, c’est ce type un peu cool-et-pas-trop qui joue les raisonnables mais qui traîne toujours dans des plans foireux. Il adore les jeux vidéo, la musique et rembarrer Rigby d’un regard, sauf quand il rougit pour Margaret (oui, il rougit, même s’il fait genre non). Parfois il est hyper responsable et nettoie le parc comme un adulte modèle, puis trois heures après il a oublié où il a mis son casque — classique. Il est doux, un peu dramatique, parfois égoïste mais toujours touchant, bref je l’adore (je peux parler de sa collection de T-shirts ringards pendant des heures).

Rigby

Rigby, c’est la tornade vivante: petit raton laveur hystérique, impulsif, râleur et extraordinairement drôle même quand tu veux le frapper. Il a zéro filtre, un talent fou pour les plans stupides, et une loyauté malade envers Mordecai — ils sont inséparables, même quand ils se tirent dessus avec des idées. Il gueule, il panique, il clame être le plus courageux du monde puis hurle à la moindre araignée, donc ouais, cohérence émotionnelle variable. Il bouffe des chips, fait des blagues immondes et au fond il a un cœur énorme, parfois caché sous un sweat plein de taches (vraiment plein).

Benson

Benson, le patron-boule à gumballs, c’est la voix de la raison qui hurle — littéralement, il crie beaucoup, mais bon, ça marche. Manager obsédé par l’ordre et les horaires, il peut te donner un planning serré et cinq minutes plus tard te sortir une confession étonnamment sensible sur sa vie (c’est bizarre mais vrai). Il a un côté paternaliste, un amour secret pour la discipline et peut fondre en conseils utiles quand personne ne s’y attend; parfois il te punit, parfois il t’achète un donut, pas forcément dans cet ordre. Il est sévère, juste, un peu cassant, et aussi étonnamment vulnérable quand il est seul — bref, complexe et efficace.

Skips

Skips, le yéti immortel, c’est la sagesse sur pattes — calme, costaud, jamais pressé, et qui “skips” littéralement les choses étranges (et répare le temps, oui oui). Il connaît toutes les histoires incroyables du parc et te balance des conseils genre “fais pas ci”, avec une voix posée qui te fait obéir, même si parfois il aime aussi une bonne blague bien lourde (surprise). Il travaille dur, soulève des trucs impossibles et, apparemment, garde des secrets vieux comme le monde; parfois il fait du karaoké, je jure que je l’ai vu danser une fois, mais je mens peut-être. Bref, pilier du groupe, mystérieux et étrangement drôle quand il décide de l’être.

Thomas

Thomas est ce personnage secondaire qui a une présence plus grande que son temps d’écran, tu vois le genre — un type sûr de lui, un peu glamour, toujours bien habillé (ou pas), et il débarque et bam, impression immédiate. Il aime les répliques rapides, les poses dramatiques et je jure qu’il a un chapeau fétiche (peut-être deux), parfois il parle comme si la vie était une comédie musicale. On sait pas toujours ce qu’il fait vraiment dans le parc, mais il a l’air d’avoir un talent caché pour tout, du DJing à la construction de machines bizarres — un peu trop polyvalent pour être honnête. En tout cas, il apporte du style et des punchlines, et parfois il disparaît comme un fantôme, bouh (ou c’était juste un rêve).

Eileen

Eileen, la petite souris adorable/intello, c’est la brainy du groupe avec des lunettes trop mignonnes et une patience infinie (sauf quand Rigby dépasse les bornes, là elle sait riposter). Elle est super sympa, geek sur les bords, adore la science, les BD et les trucs un peu nerdy, mais elle a aussi un caractère surprenant: déterminée et pas du tout timide quand il faut. Elle est douce mais peut devenir une vraie furie protectrice — contradiction? oui, et c’est parfait comme ça. Et je jure qu’elle a un sourire qui peut calmer même la pire des disputes, parfois accompagné d’un rire nerveux bizarre (adorable).

Margaret

Margaret, la rouge-gorge élégante, elle est à la fois accomplie et un peu mystérieuse, genre trop cool pour être totalement accessible, mais t’es content quand elle parle. Elle aime la photographie (ou c’était la politique? les deux peut-être), elle a des rêves pro et une personnalité indépendante qui attire Mordecai comme une abeille vers le pollen. Elle est douce mais sait poser des limites; parfois elle est sarcastique sans prévenir, ce qui est hyper séduisant. Parfois elle paraît distante, parfois elle est super présente, donc oui, un peu difficile à cerner, mais c’est pour ça qu’on la kiffe.

Starla

Starla, c’est la cowgirl musclée, grande gueule mais incroyablement câline avec ceux qu’elle aime (surtout Muscle Man, évidemment). Elle est du genre “je peux soulever une voiture mais je pleure devant une comédie romantique”, donc totalement contradictoire et très humaine, haha. Extrêmement loyale, un peu brute, adore les trucs simples (barbecue, compétition de bras de fer) et peut aussi te surprendre en offrant des compliments hyper doux à l’improviste. Elle a du tempérament, un rire qui percute et une tendresse cachée sous la bêtise assumée — un combo gagnant.