À propos du Infinity Train en quelques mots:

Infinity Train est une série animée qui suit les aventures de Tulip, une jeune fille qui se retrouve piégée dans un train mystérieux et infini. Elle doit explorer les différents wagons du train, chacun ayant son propre univers et ses propres défis, afin de trouver un moyen de rentrer chez elle. Au cours de son voyage, Tulip est accompagnée par deux compagnons de voyage, un robot nommé One-One et un chien parlant nommé Atticus. La série explore des thèmes tels que la croissance personnelle, l’amitié et la résolution de problèmes, tout en offrant une intrigue captivante et des personnages attachants.

Rencontrez les personnages d’Infinity Train

Tulip Olsen

Oh, Tulip, impossible de ne pas l’aimer — elle fonce, elle bricole, elle a toujours quelque chose coincé sous la semelle et une clé à molette dans la poche. Débrouillarde au possible, tête brûlée, elle est du genre à résoudre un puzzle avec du ruban adhésif et du chewing-gum (véridique, je l’ai vu faire dans ma tête). Elle peut paraître entêtée et trop directe, mais il y a une vraie douceur derrière ses yeux pétillants — elle protège ceux qu’elle aime comme une mère poule un peu casse-cou. Parfois elle se met à fredonner une chanson débile quand les choses tournent mal, ce qui est à la fois adorable et franchement inquiétant.

One-One

One-One, c’est le duo qui marche sur des ressorts : un côté très naïf et enfantin, l’autre hyper sérieux et un peu sarcastique — c’est comme deux colocataires dans une seule boîte. Il apporte autant de gaffes que de moments de sagesse incroyable, et il est impossible de ne pas rire (ou pleurer) à ses réactions exagérées. Il a des manies, genre compter les boutons de chemise, mais il peut aussi bouleverser une pièce avec une phrase complètement honnête et poignante. Franchement, il est la dose d’humanité et de WTF dont l’univers avait besoin — parfois chantant, parfois prophétique, souvent les deux.

Grace

Grace est glaciale et calculatrice à souhait, mais il y a une élégance froide chez elle, comme une reine qui planifie trois coups d’avance et boit son thé sans laisser de miettes. Elle contrôle, manipule, mais pas toujours par pure méchanceté — plutôt par peur, par désir de garder le contrôle, et parfois par amour tordu (oui, compliqué). Elle a un sens du détail presque obsessionnel, range ses stylos par couleur et a des goûts impeccables, mais elle peut aussi fondre devant un chiot, ce qui est presque injuste. Parfois elle paraît impossible à cerner, et c’est ce qui la rend si fascinante et un peu effrayante.

Simon

Simon, c’est le cerveau introverti mais hyper sensible — le genre de type qui dissèque une énigme comme on fait un gâteau, avec méthode et beaucoup de précautions. Il parle peu, observe beaucoup, et ses idées saugrenues finissent souvent par sauver la journée (ou créer un nouveau cafouillage, selon l’humeur du jour). Il a des tics nerveux mignons, comme jouer avec un stylo, et une inexplicable collection de cartes postales d’un endroit qu’il n’a jamais visité (ou est-ce l’inverse ?). On sent toujours chez lui une mélancolie fine, comme s’il portait une chanson triste en fond sonore — mais il sourit parfois avec une pureté qui cloue au sol.

Min-Gi

Min-Gi est la douceur incarnée, calme, réfléchi, un peu nerd sur les bords mais dans le meilleur sens du terme — il a toujours une solution pratique, souvent nutritive (snacks for life). Loyal au carré, il suit ses amis dans des plans improbables mais il hésitera jamais à poser la question qui fâche au bon moment. Il adore les petits détails, collectionne peut-être des autocollants (ou des graines, je me rappelle plus) et a une capacité surprenante à mettre de l’ordre dans les situations les plus chaotiques. Ce qui est chouette, c’est qu’il paraît discret mais il a une force tranquille qui finit par rassembler les autres autour de lui.

Ryan

Ryan, wow, charismatique mais compliqué — il a ce mélange d’assurance et d’insécurité qui le rend magnétique mais parfois irritant (dans le bon sens). Il aime diriger, souvent avec un humour un peu pince-sans-rire, et il cache une loyauté farouche sous des airs de leader naturel. Il est hyper compétitif (même pour des choses ridicules comme qui range le mieux ou qui connaît la meilleure blague), mais il a des moments de fragilité où on le sent vraiment humain — bref, pas juste un gosse arrogant. Parfois il joue au dur, parfois il pleure dans son oreiller, et les deux versions sont étrangement convaincantes.