À propos du Spawn en quelques mots:

Spawn est une série animée et une série télévisée américaine basée sur le personnage de bande dessinée éponyme créé par Todd McFarlane. La série suit l’histoire d’Al Simmons, un soldat américain qui est ressuscité en tant que Spawn, un guerrier infernal chargé de mener une guerre entre le bien et le mal. La série est connue pour son animation sombre et violente, ainsi que pour son intrigue complexe et mature. Spawn a été diffusé de 1997 à 1999 et a remporté de nombreux prix pour son animation et son scénario.

Découvrez les personnages de Spawn

Spawn

Spawn, c’est littéralement la tragédie en costume — sombre, insane et quand même un peu classe, avec cette cape qui vit sa vie. Ancien soldat, maintenant Hellspawn en mode “je veux juste comprendre ce qui m’est arrivé” mais il tape aussi des trucs, souvent avec une rage qui fait flipper. Il protège parfois des innocents comme s’il était devenu papa adoptif de la ville, et en même temps il parle à son costume (oui vraiment), donc pas toujours stable. Parfois il est ultra philosophe, parfois il casse des immeubles, et j’aime cette contradiction.

Cogliostro

Cogliostro, le vieux mentor mystérieux — il a l’air d’un sage, parle en paraboles et peut te foutre la frousse en te servant un thé (ou est-ce du poison ?), bref, personnage ambigu à souhait. Ancien Hellspawn lui-même (ou il dit que oui, ou pas, on sait jamais), il guide Spawn mais garde ses propres secrets et parfois une pointe de hypocrisie qui te surprend. Il est patient, manipulateur quand il faut, et on sent qu’il aime les vieilles légendes (il collectionne sûrement des bouquins poussiéreux et des histoires qui sentent la cire). Parfois j’ai l’impression qu’il est père, parfois il ressemble à un professeur clinique, mais toujours fascinant.

Wanda Blake

Wanda, la femme humaine au cœur massif — elle n’est pas juste “la victime”, non, c’est une nana qui a du courage et du ressentiment, très terre-à-terre mais blindée d’émotion. Elle porte le poids de la perte et de la colère, mais elle reste ancrée et protectrice, un peu la mémoire humaine de la série. Elle adore des trucs simples (peut-être des gâteaux ? ou juste du café trop fort — je jure qu’elle tient à sa cafetière), et parfois elle est plus forte que tous les gars qui se croient invincibles. Et puis il y a cette douceur qui revient toujours, même quand elle explose, ce contraste me tue.

Sam Burke

Sam Burke, le flic bourru au grand cœur — il gueule, il râle, il fume (ou il a arrêté, je ne sais plus), mais il a un sens de la justice qui claque. C’est le type qui balance une blague douteuse au mauvais moment mais qui file des infos précieuses quand il faut, un classique mais tellement attachant. Il a des manies ridicules (cravates horribles, collection de vieilles plaques ? oui, ça lui va) et parfois il prend des risques stupides… et ça marche (parfois non). Bref, un allié bruyant et fidèle, et on l’aime pour son humanité imparfaite.

Gareb

Gareb, personnage de l’ombre — je te jure, il a ce côté exécuteur froid mais avec une once d’honneur mal placée, genre mercenaire qui lit du Shakespeare entre deux missions. Il apparaît quand ça sent le sang, souvent chuchotant des phrases étranges, et tu te demandes s’il bosse pour le Diable ou pour le meilleur enchérisseur. Parfois il se montre étonnamment sentimental (oui oui, je l’ai imaginé aimant les horloges à coucou une fois), et parfois il est juste une machine à exécuter des ordres, ce qui rend tout ça flippant. Mystérieux, brutal, et un peu poète à ses heures perdues — ça claque.

Jason Wynn

Jason Wynn, l’archétype du méchant en costume-cravate — froid, calculateur, et tellement poli qu’on en vient à douter de tout ce qu’il dit. Homme d’État, manipulateur, il orchestre des trucs dans l’ombre comme si c’était des parties d’échecs et il adore le pouvoir (et les plantes rares, oui il a probablement une serre d’orchidées kitsch). Il montre une face lisse au public mais personnellement… c’est quelqu’un qui écrase tout le monde sans remords, et parfois avec un sourire terrible. Paradoxalement, il a des petites manies presque humaines — un verre de whisky précis, une musique baroque — ce qui rend ses crimes encore plus dérangeants.