À propos du Aoashi en quelques mots:

Aoashi est une série animée japonaise qui suit l’histoire de deux frères, Aoi et Kazuha, qui sont tous deux passionnés de football. Aoi est un joueur talentueux qui rêve de jouer pour l’équipe nationale, tandis que Kazuha est un génie de l’analyse de données et rêve de devenir entraîneur. Ensemble, ils rejoignent l’équipe de football de leur école et travaillent dur pour atteindre leurs objectifs. La série explore les thèmes de l’amitié, de la rivalité et de la passion pour le sport.

Découvrez les personnages d’Aoashi

Hana Ichijou

Hana, elle a ce calme étrange qui te fait croire qu’elle sait tout alors qu’elle est souvent perdue dans ses pensées, tu vois ? Super observatrice, elle remarque les petits détails que tout le monde oublie — la façon dont un joueur serre sa chaussure, la trace de boue sur la manche — et ça la rend indispensable. Parfois elle parle comme une encyclopédie, et cinq minutes après elle rit d’un truc totalement stupide, genre elle oublie son propre prénom (ok j’exagère, mais presque). Et oui, elle collectionne des stylos bizarres, voilà voilà, ça ne sert à rien mais c’est adorable.

Noriko Aoi

Noriko, c’est la sœur qui te remet à ta place en deux secondes et qui cuisinerait pour une équipe entière sans jamais se plaindre — ou alors elle se plaint juste pour le style. Franche, un peu brusque, mais d’un loyalisme à toute épreuve : elle protège les siens comme une forteresse, même si elle rougit quand on la complimente (totalement contradictoire, je sais). Elle a des opinions bien tranchées sur la tactique (toujours). Et petite note inutile mais chouette : elle porte souvent des chaussettes dépareillées, pourquoi ? Aucune idée, mais ça l’humanise.

Nagisa Akutsu

Nagisa marche sur le terrain comme si elle avait planifié chaque pas deux matches à l’avance — glaçante, précise, implacable, et pourtant, de temps en temps, elle sourit comme si la météo venait de changer. Elle parle peu, mais quand elle ouvre la bouche tout le monde écoute, parce que c’est factuel, sec, efficace; genre punchlines stratégiques. Parfois elle a des réactions tellement inattendues (un fou rire incontrôlable pendant l’échauffement, sérieusement) que tu te demandes si elle n’est pas un personnage à deux faces. Elle a une passion secrète pour les stickers kawaii; contradiction adorable, vraiment.

Ashito Aoi

Ashito c’est l’ouragan : imprévisible, hyper talentueux, sûrement têtu mais tellement vivant qu’on ne peut pas le détester même quand il fait n’importe quoi. Il dribble comme s’il écrivait des poèmes avec ses pieds, tête brûlée et cœur énorme, et il a ce besoin constant de prouver qu’il est meilleur que la version d’hier — parfois au détriment de la tactique, oftentimes oui. Il peut être immature (genre manger le dernier onigiri sans partager) et aussi incroyablement perspicace sur un contre, c’est bizarre mais c’est lui. Ah et il colle des feuilles mortes dans son carnet pour s’en souvenir — artistique ou bizarre, à toi de choisir.

Eisaku Ootomo

Ootomo, c’est le type sérieux, celui qui voit le jeu en 3D avant même que le ballon touche le sol; stratège silencieux, mentor à la voix basse qui te fait sentir sûr même quand tout brûle. Il impose le respect sans hurler, un poil sévère mais surtout hyper juste, et quand il sourit on jurerait que le monde reprend ses couleurs (oui c’est kitsch mais vrai). Il a des habitudes étranges — l’odeur du café le rassure plus que les victoires — et parfois il s’énerve pour des broutilles, comme une mauvaise paire de chaussettes. Bref, autorité tranquille + petites manies humaines = combo parfait.

Tatsuya Fukuda

Tatsuya est l’âme d’équipe, le genre de mec qui te couvre le dos sans fanfare et qui t’enverra un texto encourageant à 3h du matin (littéralement). Leader naturel, costaud dans les duels, mais avec une douceur surprise quand il parle de ses coéquipiers — il est coriace et sentimental à la fois, ce qui le rend irrésistible et parfois contradictoire. Il peut être un peu maladroit hors du terrain (catastrophe totale avec les plantes d’appartement), mais sur le terrain, il est béton. Et il porte toujours un bandeau qui ne sert à rien sauf à lui donner un air dramatique, ne lui demande pas pourquoi.