À propos du Beastars en quelques mots:

Beastars est une série animée japonaise qui suit les aventures de Legoshi, un loup gris, dans un monde où les animaux anthropomorphes coexistent avec les humains. L’histoire se déroule dans une école où les relations entre les carnivores et les herbivores sont tendues. Legoshi, qui a du mal à contrôler ses instincts de prédateur, tombe amoureux d’une lapine nommée Haru. La série explore des thèmes tels que la discrimination, la violence et les relations inter-espèces, tout en présentant des personnages complexes et une animation impressionnante.

Rencontrez les personnages de Beastars

Louis

Louis, oh là là, quelle présence — le cerf charismatique qui dirige tout sans jamais vraiment baisser la garde. Il est digne, dramatique, se prend pour un roi mais a parfois l’air d’un ado blessé (oui, sérieusement), toujours en train de donner des discours passionnés sur l’honneur et la société. Fier jusqu’à l’excès, fragile à l’intérieur, et il adore apparemment les costumes trop parfaits (ou est-ce des vestes? j’ai un doute). Il peut être à la fois inspirant et insupportable, mais on ne peut pas détourner les yeux quand il entre en scène.

Rokume

Rokume, petit quelque chose de timide et doux — on jurerait un herbivore straight out of a rom-com, genre un cœur en sucre. Il parle moins, observe beaucoup, et parfois explose en gestes maladroits quand il est gêné (adorable, évidemment). Il a des passions bizarres — je jure qu’il collectionne des carnets ou des cailloux, ou peut-être était-ce des tomates? — bref, assez artistique en secret. Paradoxalement, il peut surprendre en se montrant étonnamment résilient quand il faut défendre ses amis.

Gohin

Gohin, le panda mystique-psychologue-guerrier, un personnage tellement étrange que tu veux en savoir plus tout le temps. Calme, bourru parfois, mais avec une sagesse lourde comme une pierre; il soigne les carnivores et balance des leçons de vie en sirotant du thé (vraiment, toujours le thé, je pense). Il a des méthodes peu orthodoxes, un côté doux comme un nounours et en même temps prêt à déchirer la jugulaire si nécessaire — oui, c’est contradictoire et ça marche. Et je parie qu’il a des secrets de cuisine, genre il garde des recettes dans sa manche, ouais.

The Mayor

Le Maire, personnage public hystériquement propre sur lui, toujours prêt à parler « harmonie » avec un sourire calculé. Il est politique, un peu ventriloque de l’opinion publique, optimise les apparences et gère le chaos avec des formules toutes faites; très préoccupé par l’image de la ville. Malgré tout, il y a ce petit côté humain — parfois maladroit, parfois hypocrite, parfois sincère — comme si on pouvait deviner ses vraies peurs sous sa cravate impeccable. Il a sûrement une passion secrète (les puzzles? les pigeons?), et on se demande souvent s’il croit vraiment à ses propres discours.

Juno

Juno, quelle force, loupette ambitieuse, déterminée et un peu dramatique — elle sait ce qu’elle veut et ne se gêne pas pour foncer. Charismatique, fière, et souvent mignonne dans ses accès de vulnérabilité; parfois elle mord, parfois elle console, rarement neutre. Elle a un côté stratégique, genre « je vais te régler ça » mais aussi un penchant pour la romance théâtrale, comme si elle aimait écrire des lettres d’amour qu’elle n’envoie pas. Et oui, parfois elle paraîtra froide, parfois super douce — inconsistance volontaire? peut-être.

Pina

Pina est pétillante et imprévisible, presque comme une explosion de confettis dans une salle d’étude — certains la trouvent agaçante, d’autres adorent sa fraîcheur. Elle balance des commentaires sans filtre, a des tics mignons, et semble ne jamais manquer d’énergie (et parfois, elle s’épuise en deux secondes, drôle de contradiction). Elle peut être surprenante dans ses moments sérieux, loyale au possible, et étrangement douée pour déterrer des potins utiles. Ah, et je suis sûr qu’elle garde un paquet de snacks sous sa veste — ou c’est juste dans ma tête.

Haru

Haru, la lapine complexe, élégante mais tellement compliquée qu’on pourrait écrire un livre sur elle (probablement déjà fait). Elle est indépendante, piquante, sensuelle parfois, et terriblement ambivalente dans ses choix — amour, liberté, solitude, tout ça en même temps. Elle adore sa propre fragilité presque comme une arme, et pourtant elle peut être cruellement honnête, ce qui rend chaque scène avec elle pleine de tension. Petite anecdote inutile: je suis certain qu’elle a un amour secret pour le café noir et les vieux romans; ok peut-être du thé, je ne sais jamais.

Collot

Collot, sérieux, élégant et un peu sinistre — un personnage qui respire le contrôle et la froideur (mais tu sens qu’il cache autre chose). Il a cette allure de gentleman cultivé, mais ses actions trahissent une sauvagerie parfaitement calculée; un type qui porte des gants et qui ne rit jamais fort. Parfois il semble presque philosophe, puis soudain il pète un câble — boum contradiction instantanée, love it. Ah, et il a sûrement une collection de stylos de luxe ou de petites figurines énigmatiques; je parie sur les stylos.

Legoshi

Legoshi, le grand loup doux, introverti à mort et incroyablement attachant — toujours en bataille intérieure entre ses instincts et son cœur. Il est tendre, maladroit socialement, réfléchi, et pourtant parfois effrayant sans le vouloir (les muscles, la hauteur, wow). Il observe, il ressent tout, et il tente de définir ce que signifie être un « monstre » vs un « ami » — tellement dramatique, mais poignant. Et bon, il a ce petit côté fleuriste amateur? non, sérieusement, il aime les fleurs, je le sens.

Jack

Jack, l’ami bruyant et loyal, genre colosse au cœur tendre — il est chaleureux, parfois un peu lourd sur les blagues, mais toujours présent quand il faut. Il apporte la légèreté, fait des choix impulsifs et puis s’excuse avec un grand sourire, tu sais le pote qu’on veut avoir dans la bande. Sous l’humour, il y a une sorte de maturité surprenante, et il garde des habitudes bizarres comme collectionner des t-shirts ou jongler avec des canettes (vrai ou pas, je l’imagine). Bref, il est impossible de le détester, même quand il est un peu trop… Jack.