À propos du Bofuri en quelques mots:

Bofuri est une série animée japonaise qui suit les aventures de Kaede Honjou, une joueuse novice de jeux vidéo en ligne. Après avoir été convaincue par son amie Risa Shiramine, elle décide de jouer à un nouveau jeu VRMMORPG appelé NewWorld Online. Cependant, au lieu de développer des compétences offensives, Kaede décide de se concentrer sur la défense, ce qui la rend incroyablement puissante et invincible. Avec l’aide de ses amis, elle explore le monde du jeu, rencontre des ennemis et des alliés, et se trouve impliquée dans des événements épiques.

Rencontrez les personnages de Bofuri

Mii

Mii, oh là là, elle déborde d’enthousiasme comme si chaque jour était une fête surprise, tu vois le genre ? Toujours prête à encourager tout le monde, un peu paniquée sous la surface mais ça la rend adorable — parfois elle agit comme si elle connaissait toutes les stratégies et puis mime une danse ridicule dix secondes plus tard. Elle adore bricoler des petits gadgets absurdes (une fois c’était un parapluie-comme-épée, oui je l’ai vu), et elle a cette manie de murmurer aux familiers, ce qui est à la fois mignon et étrange. On dirait une héroïne secondaire devenue star par accident, super fidèle et étonnamment débrouillarde quand il le faut.

Kasumi

Kasumi a cette aura calme et un peu mystérieuse qui te fait baisser la voix quand tu parles d’elle — sérieuse mais pas froide, tu vois ? Elle planifie, calcule, prépare des embuscades comme si elle organisait un pique-nique stratégique, et parfois elle quitte la pièce en disant “je reviens” puis revient trois heures après avec une nouvelle arme. Elle est étonnamment douce avec les novices mais implacable en duel, un contraste qui m’énerve tellement (dans le bon sens). Et petit détail inutile mais vrai : elle collectionne des rubans impossibles, je crois qu’elle en a plus que de compétences, ou peut-être l’inverse.

Maple

Maple c’est la tornade adorable du groupe — innocente, curieuse, et tellement OP sans le vouloir, haha. Elle teste tout, de la compétence la plus bête à l’armure la plus ridicule, et boom, ça devient broken, puis elle rit et va manger des pancakes comme si de rien n’était. Son enthousiasme est contagieux, parfois naïf, mais elle a aussi ce côté tenace qui te surprend quand la situation devient sérieuse; elle panique, oui, puis trouve la solution la plus créative du monde. Elle dit des choses sans filtre et oublie les conséquences, mais bon, qui s’en plaint quand tout finit par marcher ?

Sally

Sally, c’est la voix posée qui te calme même quand tout part en sucette, genre elle te répond “ok” et tu sens que tout va s’arranger (mystère). Pragmatique, un peu grincheuse parfois, elle a des règles non écrites et si tu les suis tu gagnes sa confiance pour la vie — ou jusqu’à ce qu’elle oublie pourquoi elle t’en voulait. Elle adore l’ironie et a un humour sec qui arrive pile au bon moment, et pourtant j’ai vu un jour où elle a pleuré devant un gâteau (oui, vraiment). Bref, fiable, un peu sévère, et secrètement fan de petites attentions improbables.

Iz

Iz est ce mélange étrange de génie technique et d’asocial mignon, toujours fourré dans les menus, tests et chiffres; il parle rarement mais quand il parle ça claque. Il a des idées tordues et brillantes (parfois inutiles, parfois game-changing), et je jure qu’il garde des notes sur tout — y compris sur qui a volé sa chaise une fois, petite vengeance prévue. Il semble froid mais s’attache vite, souvent à des choses bizarres comme une figurine ou une recette de soupe, donc bon, cœur planté dans un boîtier en acier. Parfois il est incroyablement organisé, parfois il laisse traîner des objets aléatoires partout, donc on ne sait plus trop où il en est.

Kanade

Kanade donne l’impression d’être tout droit sortie d’un conte, élégante et un peu rêveuse, comme si elle jouait toujours une mélodie qu’on n’entend pas complètement. Elle est douce mais déterminée, souvent la paix au milieu du chaos, et capable de mots qui remettent tout en perspective (et parfois de gestes totalement imprévus, comme casser un cookie en deux pour le partager sans prévenir). J’aime son côté artiste un peu dispersé — elle note des poèmes sur des tickets de caisse, parfois elle perd la moitié de ses affaires mais se rappelle des noms de tous les monstres. Bref, belle présence, énigmatique, et étonnamment tenace quand il faut protéger les autres.

Kuromu

Kuromu a ce style “ombre menaçante” mais attention, elle est loin d’être juste méchante — plutôt du type dramatique et théâtrale, adore les entrées en scène compliquées. Elle joue souvent le rôle de l’antagoniste mais avec tellement de flair que tu finis par l’aimer, même si elle prépare des plans tordus et des noms horribles pour ses techniques. Et en vrai, elle a des petites faiblesses trop humaines (une addiction à un certain biscuit, des crises de rire incontrôlables au mauvais moment), ce qui la rend impossible à haïr complètement. Intense, un peu exagérée, complètement mémorable — et oui, parfois elle pleure devant des films kitsch, surprise générale.