À propos du D.Gray-man en quelques mots:

D.Gray-man est une série animée japonaise qui suit les aventures d’Allen Walker, un jeune exorciste qui combat les Akuma, des créatures démoniaques créées par le Comte Millénaire pour détruire l’humanité. Allen est membre de l’Ordre Noir, une organisation secrète qui a pour mission de protéger le monde des Akuma. Au fil de la série, Allen rencontre de nouveaux amis et ennemis, découvre des secrets sur son propre passé et se bat pour sauver le monde. La série est remplie d’action, de suspense et de personnages intéressants, ce qui en fait une série animée incontournable pour les fans d’anime.

Rencontrez les personnages de D.Gray-man

Millennium Earl

Le Millennium Earl, c’est LE grand méchant qui a l’air d’un pantin trop heureux — sourire figé, grand chapeau, et une obsession pour les jouets qui donne des frissons. Il crée des Akumas (ces créatures terribles) et recrute des âmes comme on collectionne des cartes, avec une joie presque enfantine mais un fond… glacé. Théâtral, manipulateur, toujours prêt à faire un discours grandiloquent même dans les pires moments — et pourtant parfois on jurerait qu’il est juste seul et qu’il bat des records de mélancolie. Ah et il a un parapluie? Ou c’est juste une canne? Bref, flippant et fascinant à la fois.

Lavi

Lavi, c’est l’apprenti Bookman qui hurle « INFOOOOOO » dans ta tête — super curieux, bavard à souhait et totalement accro aux notes (il prend des notes sur tout, même sur comment râler). Il se balade avec un gigantesque marteau (oui, vraiment énorme) et un bandeau qui cache un truc (ou pas, on n’est pas sûr), il est drôle mais pas idiot, très observateur. Il adore taquiner ses potes mais a aussi des secrets sérieux qui tombent comme des briques parfois, ce qui le rend étonnamment profond. Bref, charmant, maladroit parfois, et incapable de garder les choses simples – il veut tout noter, tout apprendre, et puis oublier aussitôt (ou presque).

Marian Cross “General Master”

Le Général Marian Cross (ou « General Master », oui il aime les titres bizarres) est ce type imprévisible, brillant et… franchement débraillé, qui semble toujours savoir trois coups d’avance même si son bureau est un chaos. Il a ce mélange de cynisme, d’ironie et d’un fond presque paternel pour ses élèves (surtout Allen), genre il t’envoie sur le front puis t’offre un sandwich en rentrant. Il fume, boit peut-être trop, raconte des histoires absurdes et parfois dit des choses d’une gravité terrifiante — il est adorablement insupportable. On ne sait jamais si c’est un génie ou juste un grand filou, et c’est probablement les deux.

Kanda Yuu

Kanda, c’est le samouraï taciturne qui te fixe pendant cinq minutes sans cligner des yeux et te tranche un ennemi comme on enlève une feuille morte. Froid, orgueilleux, hyper mortel au combat avec son épée (Mugen ou un truc du genre — la lame éternelle, oui), il a un passé lourdingue qui lui colle à l’âme comme du goudron. Il jure, il râle, il dit qu’il déteste tout le monde (surtout Allen) mais il est incapable de laisser ses amis partir en morceaux — contradiction classique mais touchante. Et puis il a une coupe de cheveux dramatique qui ferait pâlir n’importe quel héros d’anime; ne le cherchez pas pour des câlins, cherchez-le pour du sang et de la loyauté.

Road Kamelot

Road est ce personnage délicieux et terrifiant à la fois — petite, enfantine, sourire narquois et une capacité à switcher d’humeur qui donnerait le vertige à tout psychiatre. Membre des Noah, elle est joueuse, sadique parfois, aime la mise en scène et peut se montrer d’une cruauté presque artistique (oui, elle a ce côté « poupée qui hurle »). Elle adore manipuler les autres comme on joue avec des marionnettes, mais étonnamment elle a des moments de vulnérabilité presque candidement bizarres. Bref, imprévisible, charmante et dangereuse — comme une sucette qui cache une lame.

Aleister Crowley III

Aleister Crowley III a ce charme aristocratique qui fait froid dans le dos: calme, calculateur, et capable de sourires qui tuent (métaphoriquement… parfois littéralement). Il a l’air d’un dandy occulte, adore le symbolisme, et manipule les règles du jeu comme s’il écrivait une pièce où il tient tous les rôles. Il inspire la révérence et l’inquiétude à parts égales, et parfois on a l’impression qu’il collectionne les paradoxes juste pour s’amuser. Il boit du thé? Peut-être. Il lit des poèmes en regardant des horreurs — élégant et dérangeant, donc parfait.

Allen Walker

Allen, ah Allen — cœur énorme dans un corps malmené: l’orphelin au sourire timide avec un oeil maudit et un bras qui devient une arme d’Innocence. Il est empathique au possible, croit encore au bien même quand tout s’effondre autour de lui, et pourtant il porte un poids que personne ne devrait porter. Drôle parfois, maladroit souvent, il a ce dilemme constant entre innocence et violence (littéralement), ce qui rend chaque décision super intense. Petite bizarrerie: il peut être d’une douceur extrême et, deux secondes plus tard, faire une grimace trop mignonne — total contraste.

Jasdero

Jasdero, c’est le genre de personnage qui te donne envie d’applaudir puis de t’enfuir — un mélange d’élégance théâtrale et de froideur presque clinique. Membre (ou affilié) des forces obscures (ou allié ambigu, selon le jour), il aime jouer les rôles, porter des masques métaphoriques (et parfois littéraux) et surprendre tout le monde par des changements d’humeur. Il parle comme un poète décalé, fait des gestes calculés et garde toujours une distance qui rend les conversations intenses. Étrange détail: il collectionne peut-être des chapeaux, ou alors c’est une rumeur; en tout cas il adore une entrée dramatique.

Fou

Fou est ce personnage minimaliste mais indispensable: discret, malin, un peu bizarre, toujours à l’ombre mais prêt dès qu’il faut résoudre un problème. On ne sait jamais s’il est un pilote, un ingénieur, un ami fidèle ou juste un type avec un sac de surprises — il porte le soutien sans fioritures mais avec efficacité. Parfois bourru, parfois étonnamment tendre (oui, vraiment), il a des petits tics qui te font sourire, comme ranger des objets parfaitement droits quand personne ne regarde. Bref, l’arme secrète qu’on ne voit pas venir, et qui adore surprise et rangement compulsif.