Dororo: Quel personnage es-tu ?
Bienvenue dans le quiz Dororo : Quel personnage es-tu ? Cette série anime est basée sur le manga du même nom de Osamu Tezuka. L'histoire suit un jeune garçon nommé Hyakkimaru, qui a été dépossédé de 48 parties de son corps par des démons à sa naissance. Il part ensuite en quête de récupérer ces parties avec l'aide de Dororo, un jeune voleur. Dans ce quiz, vous découvrirez quel personnage de la série vous ressemble le plus. Êtes-vous plutôt Hyakkimaru, le héros déterminé à récupérer ses parties manquantes ? Ou peut-être êtes-vous plus comme Dororo, le compagnon rusé et débrouillard ? Pour le savoir, cliquez sur le bouton Commencer ci-dessous et répondez aux questions pour découvrir quel personnage de Dororo vous êtes vraiment !

À propos du Dororo en quelques mots:
Dororo est une série animée japonaise qui suit l’histoire d’un jeune garçon nommé Hyakkimaru, qui a été privé de 48 parties de son corps par son propre père, un seigneur féodal qui a fait un pacte avec des démons pour obtenir le pouvoir. Hyakkimaru part en quête pour récupérer ses parties manquantes, accompagné de Dororo, un jeune voleur qui devient son ami et son allié. Ensemble, ils affrontent des démons et des ennemis dangereux pour atteindre leur objectif. La série est remplie d’action, de drame et d’aventure, et est basée sur le manga du même nom de Osamu Tezuka.
Découvrez les personnages de Dororo
Jukai
Jukai, quel personnage incroyable — le vieux bricoleur-thérapeute qui fait des prothèses et des miracles avec du bois, du métal et un peu de panache. Il a ce côté paternel hyper rassurant mais aussi l’air d’un type qui pense tout le temps à sa prochaine invention (et qui râle beaucoup, parce que oui il râle, tout le temps). Il sauve Hyakkimaru à sa manière, stricte mais tendre, et il a des principes bizarres (ne jamais boire du thé après minuit, je jure qu’il l’a dit une fois). Ah et il collectionne des petites pièces, boutons ou vis, je ne suis pas sûre de pourquoi mais c’est mignon et un peu flippant en même temps.
Mio
Mio, la mère déchirée, douce mais glacée par la culpabilité — elle porte sur elle tout le poids des choix qu’on lui a forcés, et ça la rend vraie, pas juste « tragique ». Elle aime profondément ses enfants et pourtant elle a fait des choses qu’elle regrette (elle a l’air calme mais parfois elle craque et on dirait qu’elle redevient toute jeune). Elle protège, elle manipule parfois les apparences pour garder la paix — complexe, ambivalente, humaine. Et je jure qu’elle a un petit rituel secret avec un vieux châle, genre elle le serre quand elle prie, ou juste quand elle a froid, je ne sais plus.
Hyakkimaru
Hyakkimaru, l’anti-héros stoïque qui déchire tout: né sans la plupart de son corps à cause des démons et qui récupère petit à petit ce qu’on lui a volé, c’est flippant et beau. Il parle peu, il a une dignité de statue mais parfois il sourit comme un enfant devant un truc tout bête — Otto oui, il aime les petits bonbons ou les onigiri, je crois, c’est adorable et ça casse son côté “épée vivante”. Son lien avec Dororo est tout — il est dur mais incroyablement loyal, presque naïf sur certains sujets humains (la musique, les mensonges, les câlins, enfin bon). Parfois il est brutal, parfois incroyablement tendre, et ça fait tout son charme (et sa tragédie).
Dororo
Dororo, petit feu follet agressif et irrésistible, vole, jure, chante des chansons ridicules et ne tient jamais en place — sérieusement, impossible de l’ennuyer. Elle est bagarreuse, malicieuse, a une énergie contagieuse et peut à la fois t’insulter et te sauver la vie en 0,2 secondes; loyale jusqu’au bout des ongles. Elle cache des peurs mais ne laissera personne le savoir sauf peut-être Hyakkimaru (ou un chat, je ne sais plus trop). Et puis elle a des tics bizarres, genre elle collectionne des trucs minuscules dans sa poche — dents de rat? boutons? Mystère.
Tahomaru
Tahomaru, le frère trop humain, prince qui veut juste exister à l’ombre d’un frère qu’il admire et hait en même temps — jalousie, rivalité, amour fraternel confus, tout est là. Il est capable d’être charmant et cruel selon l’humeur, très jeune homme qui bascule parce que le pouvoir et la pression le rongent (cliché peut-être, mais tellement bien joué). Bon, il est aussi un bon combattant et il a ce côté “héros blessé” qui le rend tragiquement attachant; parfois il crie trop, parfois il pleure en silence. Et oui, il collectionne des pliages en papier (j’invente un peu?) — je l’imagine toujours avec un petit origami caché dans sa manche, comme preuve qu’il n’est pas que rage.
Yajiro
Yajiro, le compagnon grosse voix, bagarreur et un peu bouffon mais au cœur d’or — il mange, il boit, il jure, il sauve, souvent dans cet ordre. Il apporte du relief comique (mais pas que), il panique, il trahit parfois ses impulsions mais il revient toujours parce que l’amitié l’a forgé très profondément. Loyal à sa manière rugueuse, il est celui qui dit la vérité en pleine baston et qui planifie des plans foireux qui marchent parfois. Et oui, il a toujours un morceau de viande dans la main, on dirait presque une règle non écrite du personnage.
