Higurashi: When They Cry – GOU: Quel personnage es-tu ?
Bienvenue dans notre quiz sur Higurashi: When They Cry - GOU ! Si vous êtes fan d'anime et de séries télévisées, vous êtes au bon endroit. Dans cette série, nous suivons les aventures de Keiichi Maebara, un jeune garçon qui emménage dans un petit village paisible nommé Hinamizawa. Cependant, il ne tarde pas à découvrir que ce village cache de sombres secrets et que ses habitants ne sont pas aussi innocents qu'ils le paraissent. Dans ce quiz, vous aurez l'opportunité de découvrir quel personnage de la série vous êtes. Êtes-vous plutôt un Keiichi, un Rena, un Mion ou un Shion ? Pour le découvrir, cliquez sur le bouton Commencer ci-dessous et répondez aux questions. Allez-y, vous savez que vous en mourrez d'envie !

À propos du Higurashi: When They Cry – GOU en quelques mots:
Higurashi: When They Cry – GOU est un anime de suspense et d’horreur qui suit l’histoire de Keiichi Maebara, un adolescent qui vient de déménager dans une petite ville isolée. Tout semble normal au début, mais il commence bientôt à découvrir des secrets sombres et des meurtres mystérieux qui se produisent dans la ville. Avec l’aide de ses amis, Keiichi tente de découvrir la vérité derrière ces événements étranges, mais plus il creuse, plus il se retrouve impliqué dans un cauchemar sans fin. Higurashi: When They Cry – GOU est une série captivante et effrayante qui vous tiendra en haleine jusqu’à la fin.
Découvrez les personnages de Higurashi: When They Cry – GOU
Mion Sonozaki
Mion, c’est la grande sœur trop sûre d’elle qui te claque la porte au nez mais qui reviendra avec des biscuits — et parfois un fusil, oui oui, vraiment. Chef de clan, provocante et un peu tomboy, elle adore les blagues lourdes et faire la forte alors que parfois, pouf, elle fond en larmes pour une chanson idiote; ça la rend humaine, et imprévisible. Elle aime le folklore local mais refuse d’admettre qu’elle connaît toutes les rumeurs (elle les raconte plutôt, en riant), et parfois elle parle comme si elle dirigeait le monde — ce qui n’est pas complètement faux. Petits détails bizarres : collectionne les boutons et conduit une vieille moto, ou était-ce une trottinette? Bref, Mion impose, charme et fout le feu aux dialogues — parfois littéralement, pas de panique.
Rena Ryuuguu
Rena, c’est la joie ambulante et en même temps un couteau déguisé en peluche, vous voyez le délire ? Elle sourit tout le temps, dit «loves it» pour tout et te voudrait comme ami à la seconde, avant de te couper (métaphoriquement ou pas — dépend des jours). Elle aime les choses mignonnes MAIS a une obsession un peu flippante pour les «trucs qui doivent rester». Est-ce qu’elle pleure devant un oiseau blessé et le soigne avec un couteau de cuisine ? Probablement oui, et elle te fera aussi un gâteau après, parce que logique émotionnelle Rena-style.
Rika Furude
Rika, l’éternelle prêtresse enfermée dans un corps d’enfant mais avec mille vies derrière les yeux — calme et centrifuge de mystères. Elle a cette façon de sourire en sachant quelque chose que personne d’autre ne sait, et puis hop, elle raconte une blague nulle ou elle mange des glaces à 3h du matin comme si c’était normal (et pourtant, c’est tout sauf ça). Elle porte le poids du monde mais garde une candeur presque chipie, capable de te réconforter et de te faire flipper en l’espace de deux phrases. On la sent presque immortelle, sauf quand elle se met à pleurer en regardant des tamagotchis, vrai petit détail improbable que j’adore.
Satoko Houjou
Satoko, c’est la petite peste survitaminée qui sait poser des pièges et des énigmes mais pleure si on lui vole son bonbon préféré — une vraie carte d’origami pleine d’angles tranchants. Elle rit, manipule, joue la victime et l’ennemie selon l’humeur, toujours avec un sourire un peu trop tranchant; elle a la meilleure tête de fausse innocente et en même temps tu ne veux jamais lui faire confiance, mais parfois tu la prends dans tes bras anyway. Victime d’un passé horrible qui fait d’elle une spécialiste du sabotage émotionnel (et des ruses de gamine), elle adore les chats mais prétend en avoir peur — contradiction totale, je sais. Et elle garde toujours une petite clochette quelque part, pour signifier «je suis en train de piéger quelque chose», ou pour jouer, ou pour l’effet dramatique, qui sait.
Keiichi Maebara
Keiichi, le gosse du coin qui parle mille kilomètres à l’heure, surexcité, paranoïaque et affreusement attachant — le prototype du héros-coincé-qui-déconne. Il fait des théories complètes sur tout, se met à hurler, cambre le dos, puis devient super protecteur et brave au moment le plus ridicule; bon, parfois il pète un câble mais franchement, ça fait partie du charme. Il veut être gentil, il veut comprendre, il veut sauver tout le monde et en même temps il se retrouve à se cacher dans un placard à cause d’un bruit suspect à 2h du matin — contraste parfait. Petit truc marrant : il parle sans cesse des chutes de cheveux des autres (?), ou juste j’invente, mais ça lui va.
Shion Sonozaki
Shion, la jumelle plus impulsive et plus dramatique, genre grande gueule romantique qui peut te planter un couteau puis t’offrir un biscuit cinq minutes après — oui, vraiment, elle est sauvage comme ça. Elle est vive, jalouse, incroyablement loyale à ses idées et terriblement mauvaise pour garder ses distances quand quelqu’un lui tient tête (ou quand elle veut séduire, ou se venger… ou les deux). Derrière la colère il y a une vulnérabilité énorme, elle est capable de tout pour protéger ce qu’elle aime, même si ça la détruit un peu; en plus elle a ce rire un peu trop fort et parfois pleure en regardant des vieux mangas. Et petit détail mignon : elle collectionne les autocollants de chats mais les cache sous son oreiller, pas parce qu’elle a honte, juste parce que bon, c’est plus stratégique comme ça.
