À propos du Natsume’s Book of Friends en quelques mots:

Dans la paisible campagne, ‘Le Livre des amis de Natsume’ raconte l’histoire de Takashi Natsume, un garçon qui voit des esprits. Il reçoit un étrange livre de sa grand-mère Reiko et se met en quête de rendre les noms des esprits piégés à l’intérieur. Avec son garde du corps excentrique Nyanko-sensei, Natsume découvre des relations, le pardon et qui il est vraiment. La série mélange des histoires touchantes avec de magnifiques visuels, créant un monde plein de chaleur et d’émotion. C’est comme un câlin pour votre âme.

Découvrez les personnages du Livre des amis de Natsume

Takashi Natsume

Natsume, c’est ce type timide qui attire les monstres sans le vouloir mais qui, étrangement, respire la douceur et la patience comme personne. Il est toujours un peu perdu (toujours — cherchez pas) mais il sait écouter, calmer, rendre la parole aux yokai, bref, il a ce truc apaisant qui vous fait fondre. Paradoxalement il fuit les conflits et se retrouve souvent en plein milieu d’aventures dangereuses — va comprendre — et il adore le thé autant qu’il oublie parfois de manger. Il a ce petit sourire embarrassé quand il ne sait pas quoi dire, et pourtant, quand il faut, il se transforme en quelqu’un de sacrément courageux.

Madara

Ah Nyanko-sensei, le chat-gros-guerrier-glouton-autoritaire, le personnage le plus contradictionnel et aimable à la fois. Il prétend être intéressé que par la nourriture et l’argent (vraiment, c’est son talon d’Achille), mais il protège Natsume comme s’il était son trésor — et il râle tout le temps en faisant des choses adorables. Il adore prendre des formes ridicules, ronfler au soleil et se vanter, mais sérieux, sous la couche de vanité il a un coeur énorme. C’est un grand classique: arrogant, affectueux, dangereux quand il faut, et toujours prêt à réclamer un poisson grillé.

Reiko Natsume

Reiko, wow — elle était la tornade brillante qui aimait jouer, provoquer, et surtout ne jamais rester en place; on sent tout de suite son aura de liberté et de charme. Elle collectionnait les ennuis et les histoires, personne ne savait vraiment si elle préférait rire ou se battre (probablement les deux), et elle avait ce côté insouciant qui fait que tout le monde lui pardonne ses pires bêtises. Malgré tout, elle avait ce cœur énorme et des gestes tendres cachés sous une façade de femme dure; un peu comme une grand-mère rock’n’roll. On sent qu’elle savait voir les gens (et les yokai) comme personne — et qu’elle aimait les surprises, parfois un peu trop.

Hinoe

Hinoe est douce mais pas naïve, un vrai mélange de calme ancien et de protectrice déterminée — elle te sourit puis te frappe si nécessaire (non littéralement bon peut-être). Elle parle avec douceur aux esprits et parfois elle a des réactions tellement humaines que tu l’oublies, genre elle peut être jalouse ou très maternelle, ce qui est adorablement contradictoire. J’aime son côté mystérieux, on ne sait jamais si elle va réciter un poème, préparer un encens ou régler un compte, et elle garde toujours un petit quelque chose (genre une friandise?) dans sa poche. Hinoe, c’est la stabilité avec une pointe d’imprévu — très rassurante mais qui peut surprendre.

Seiji Matoba

Matoba, le patriarche froid et calculateur de la famille Matoba, tu le reconnais à sa classe froide et à son sens du devoir presque implacable. Il veut contrôler, ordonner, exorciser (trop), et il a ce regard qui pèse sur tout le monde — assez terrifiant parfois, mais efficace. Paradoxalement, il a des principes tordus de loyauté familiale et un sens de l’honneur bizarrement strict; il déteste perdre la face mais parfois fait des choses étonnamment humaines (une larme ? non, pas lui, ou peut-être). Il collectionne les dossiers, porte des costumes impeccables et écoute du classique en fumant une cigarette imaginée dans sa tête — très théâtral.

Shuuichi Natori

Natori, l’acteur-onmyoji, c’est le mec cool que tu veux voir dans un film mais aussi à côté de toi quand ça tourne mal — élégant, posé, un peu distant, et toujours professionnel. Il garde une maîtrise incroyable, parle peu, mais quand il parle c’est précis; bon, il a aussi un petit sens de l’humour sec qui te cloue le bec et te fait rire après coup. Il jongle entre célébrité et rôle d’exorciste, ce qui est à la fois fascinant et déroutant (comment porte-t-il autant de vestes ?), et on sent qu’il a des blessures qu’il cache sous son sourire parfait. Parfois il agit comme un grand frère protecteur, parfois comme un acteur qui juge une scène — mystérieux mais fiable.

Tooru Taki

Taki est ce genre de personnage discret mais tellement attachant, tss, il arrive toujours au bon moment et t’offre un appui sans faire de bruit. Il est réfléchi, un peu sérieux, mais a des moments de folie douce (genre il connaît des recettes secrètes de dumplings ou quelque chose comme ça) — bref, plein de petites surprises. Parfois il paraît trop prudent, parfois il fonce tête baissée, et ces oscillations le rendent humain et crédible, pas juste un archétype. On sent qu’il observe beaucoup, qu’il a une sagesse douce, et qu’il garde des secrets qui le rendent encore plus intrigant.