À propos du Anohana: The Flower We Saw That Day en quelques mots:

Anohana: The Flower We Saw That Day est une série animée japonaise qui suit l’histoire d’un groupe d’amis d’enfance qui se sont éloignés les uns des autres après la mort tragique de leur amie Menma. Dix ans plus tard, le fantôme de Menma apparaît devant Jintan, l’un des amis, et lui demande de réaliser son dernier vœu afin qu’elle puisse enfin reposer en paix. Les amis se réunissent alors pour essayer de comprendre ce que Menma veut et pour surmonter leur propre culpabilité et leur chagrin. La série explore des thèmes tels que l’amitié, la perte et le pardon.

Découvrez les personnages d’Anohana : The Flower We Saw That Day

Jinta “Jintan” Yadomi

Jintan, c’est ce type un peu paumé qui passe pour le chef sans vraiment l’avoir choisi — il traîne en sweat, rabat les cheveux sur les yeux et grogne quand on l’appelle “Jintan” (ou vice-versa, je sais plus). Il est rongé par la culpabilité et en même temps il compte sur les autres comme si c’était normal, ce grand mélange de fragile et de “je gère” qui te serre la gorge. Parfois il est ultra organisé (vraiment!) et puis deux minutes après il oublie où il a posé sa tasse, classique. Et il a une collection bizarre de cailloux ou de tickets de bus, jure que ça a un sens… ou pas.

Meiko “Menma” Honma

Menma est adorablement lumineuse — fantôme joyeux mais pas juste mignonne, elle est têtue, sincère et complètement imprévisible; elle veut que tout redevienne comme avant, forcément. Elle a des petites habitudes enfantines (gomme à mâcher, chansons bizarres dans la tête) et parfois elle oublie qu’elle est… enfin, fantôme, et fait comme si tout était normal. On la sent toujours présente, même quand elle fait des trucs absurdes, genre laisser des fleurs n’importe où (ou planter des clous? je confonds peut-être). Bref, un mélange de chaleur, de lourdeur émotionnelle et d’innocence presque culpabilisant.

Naruko “Anaru” Anjo

Anaru, hostile de façade, coeur en miettes à l’intérieur — elle se défend avec des piques et des textos piquants, mais dès qu’on gratte elle déborde d’émotions, genre bouillonnante. Elle est super préoccupée par l’image, un peu superficielle parfois (surtout au lycée), mais attention elle peut être terriblement loyale, oui vraiment. Elle rit fort, a des habitudes mode un peu changeantes (un jour goth, l’autre trop mignonne), et cache des choses dans ses tiroirs — lettres, photos, trucs dramatiques. Parfois elle est hyper forte, parfois elle fond en larmes devant une chanson, donc bon, assez contradictoire mais humain à mort.

Atsumu “Yukiatsu” Matsuyuki

Yukiatsu est l’énigme parfaite: brillant, élégant, un peu toxique parfois — il a ce côté “je maîtrise tout” mais il est obsédé par une certaine personne (oui, Menma, évidemment), et ça le rend à la fois fascinant et un peu effrayant. Il sourit et corrige tout, classe sociale, tout ça, mais il cache une vulnérabilité énorme; il tient un journal, parfois cruel, parfois poétique — selon l’humeur. Il aime les chansons, la mise en scène, les répliques aiguisées; et paradoxalement il peut être terriblement immature en privé. Ah, et il a probablement une collection de figurines ou de chapeaux bizarres, je te dis, un détail étrange mais vrai (ou pas).

Chiriko “Tsuruko” Tsurumi

Tsuruko, la calme analytique, celle qui note tout — elle est froide en apparence, logique, presque clinique, mais sous la surface c’est un volcan de loyauté contenue. Elle adore les tableaux (oui, des tableaux), les listes et les preuves, et pourtant elle retient des poèmes ou des petits gestes tendres qu’elle ne montre jamais. Parfois elle paraît indifférente alors qu’elle est hyper touchée; parfois elle est rigide et puis paf, un geste spontané qui surprend tout le monde. Elle a des tics mignons (stylo mordillé, bobinoir?) et collectionne les brefs silences dramatiques.

Tetsudo “Poppo” Hisakawa

Poppo, le gars solaire, toujours en mouvement, exubérant et légèrement exagéré — il est devenu adulte trop vite (ou il fait comme), il raconte des histoires énormes qui sont parfois vraies et parfois… créatives. Il rit fort, voyage partout, a une âme de gosse mais capable d’être le roc du groupe quand il faut, ce mélange marche si bien. Il adore la bouffe étrange, il a un appareil photo qui prend peut-être trop de selfies, et il oublie souvent les petits détails (les noms, les dates), mais jamais les gens. Sérieusement, il te fera sentir comme si tout allait s’arranger, même s’il a parfois la tête ailleurs (dans les nuages ou sur un billet d’avion).