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Quel personnage de Bungo Stray Dogs es-tu ?

Si vous êtes un fan de l'anime Bungo Stray Dogs, vous avez probablement déjà imaginé quel personnage vous seriez si vous étiez dans cet univers. Eh bien, maintenant vous pouvez le découvrir ! Ce quiz va vous aider à déterminer quel personnage de Bungo Stray Dogs vous ressemble le plus en fonction de vos choix et de votre personnalité. Êtes-vous un membre de l'Agence des Détectives armés ou un membre de la Mafia portuaire ? Êtes-vous plutôt un personnage sombre et mystérieux ou un personnage plus joyeux et excentrique ? Répondez à nos questions pour découvrir votre véritable personnage de Bungo Stray Dogs. Alors, qu'attendez-vous ? Cliquez sur le bouton Commencer pour commencer le quiz !

Bienvenue au quizz: Quel personnage de Bungo Stray Dogs es-tu ?

À propos du Bungo Stray Dogs en quelques mots:

Bungo Stray Dogs est une série animée japonaise qui suit les aventures d’un groupe de détectives dotés de pouvoirs surnaturels. Les personnages principaux sont des écrivains célèbres tels que Dazai Osamu, Akutagawa Ryunosuke et Nakajima Atsushi, qui ont tous des capacités uniques liées à leurs œuvres littéraires. Ils travaillent ensemble pour résoudre des affaires criminelles et protéger la ville de Yokohama contre d’autres organisations dotées de pouvoirs similaires. La série est remplie d’action, d’humour et de drame, et explore des thèmes tels que l’amitié, la trahison et la rédemption.

Découvrez les personnages de Bungo Stray Dogs

Nakajima Atsushi

Atsushi, c’est le coeur pur ambulant du groupe, genre maladroit et adorable mais avec une force qui te surprend toujours — sérieux, il a ce côté “je doute de tout” mais se jette tête la première quand il faut protéger quelqu’un. Il a un passé d’orphelin qui le rend hypersensible (et oui, il pleure parfois devant un chat mignon, ou était-ce un chien? je mélange tout), et sa capacité liée au tigre blanc le rend à la fois tragique et héroïque. Il sourit trop fort quand il est nerveux, ou il rougit, je sais plus, mais ça le rend humain et impossible à détester. Ah, et il mange comme si la faim venait d’un autre univers — marrant et touchant à la fois.

Dazai Osamu

Dazai c’est le type qui te fait rire et flipper en même temps — charmeur, cynique, mais bizarrement bienveillant sous sa couche de farce morbide, oui il parle sans cesse de “se suicider” MAIS c’est une blague récurrente, ne paniquez pas, enfin… peut-être paniquez un peu. Stratège de génie, manipulateur comme pas permis, il peut te sauver la vie et te laisser te demander pourquoi il l’a fait, ce gars a toujours un plan (ou deux, ou vingt). Il est paradoxalement paresseux et ultra dangereux, genre il dort tout le temps mais planifie des trucs complexes pendant ses siestes. Autant t’avertir : il adore embêter Akutagawa et se moquer, mais si tu le connais vraiment il pourrait bien être la personne la plus fidèle — oui, sérieusement.

Akutagawa Ryūnosuke

Akutagawa, c’est l’ombre froide qui te coupe la respiration — impitoyable, obsédé par la force, et tellement intense qu’on sent presque la pluie quand il arrive (je dis toujours ça, je sais pas pourquoi). Loyal à sa manière tordue envers ceux qu’il respecte, il donne tout, souvent trop, et sa haine est aussi simple qu’efficace; sa technique tranche tout, littéralement. Petit détail étrange : il semble n’avoir aucune patience mais parfois reste immobile à regarder une fleur (cliché? peut-être, mais vrai). Il déteste qu’on montre de la pitié, sauf si c’est étrange et contradictoire et il finit par l’accepter un peu — contre son gré.

Yosano Akiko

Yosano, c’est la doctoresse badass qui t’assomme d’un regard et te recoud ensuite sans crier, elle soigne d’une façon… radicale mais zut, efficace. Elle est à la fois maternelle (dans un sens “je te remets sur pied même si je te fais hurler”) et incroyablement sardonique; fumeuse élégante, elle aime les phrases tranchantes et les commentaires piquants. Sa capacité médicale est flippante et fascinante — elle peut ramener quelqu’un de la mort mais oui ça fait mal, comme une thérapie intense — et elle assume complètement son côté sadique-légèrement-attendrissant. Et j’adore qu’elle ait ce petit côté romantique tordu, genre lectures gothiques le soir et biscuits le matin, ou l’inverse, bref.

Edogawa Ranpo

Ranpo, oh mon dieu, Ranpo c’est l’ego incarné: “super-déduction”, très théâtral, toujours persuadé d’avoir résolu l’énigme avant même qu’on commence — il se coiffe comme un détective de roman et parle comme s’il vivait dans une pièce poussiéreuse pleine d’indices. Il est incroyablement brillant, parfois paresseux, adore les mystères et traite ses coéquipiers comme ses “assistants” (toujours, sans exception), c’est adorablement infantile. Parfois il se prend pour un génie absolu — bon d’accord, il l’est souvent — mais il peut être ridicule quand il s’emballe; c’est ce qui le rend humain. Et oui, il a cette manie bizarre de se croire insurpassable, alors qu’en vrai il est juste… super bon, point.

Hirotsu Ryūrō

Hirotsu, le classique un peu pincé, l’écrivain qui juge tout avec un petit sourire condescendant — il a ce côté “vieille école” qui adore les histoires sombres et les phrases bien tournées, et il peut être surprenamment tendre dans ses critiques (bon, parfois il est juste sévère). Il est strict sur la “pureté” littéraire mais bouge comme un vieux chat fier; on l’imagine toujours avec un costume impeccable et un livre à la main, même sous la pluie. Il croit aux règles — enfin, il aime les règles — mais il y a des moments où il s’emballe comme un ado quand une intrigue le touche vraiment, ce qui casse le sérieux et c’est charmant. Paradoxe officiel : il déteste les excès modernes et adore un bon drame exagéré, oui, c’est casse-tête mais je l’aime.

Miyazawa Kenji

Kenji, c’est le rayon de soleil un peu naïf qui cogne fort, il est optimiste au point d’en être contagieux et croit que tout le monde peut changer — un vrai nounours mais avec des poings, attention. Il a cette manière de s’excuser pour tout, même quand il fait des choses héroïques, et pourtant il se bat comme un tank quand il faut, ce contraste est tout lui. Parfois il parle comme s’il écrivait un conte moral et parfois il crie juste “allez-y!” en sprintant—imprévisible et adorable, énorme cœur sous un extérieur parfois maladroit. Et oui, il aime tout le monde, se perd dans les rues comme un touriste, et aurait sûrement un million de gâteaux si on le laissait faire.