À propos du Call of the Night en quelques mots:

Call of the Night est une série animée qui suit l’histoire de Ko, un lycéen qui souffre d’insomnie chronique. Un jour, il rencontre Nazuna, une fille mystérieuse qui lui propose de l’accompagner la nuit pour découvrir les secrets de la ville. Au fil de leurs aventures nocturnes, Ko découvre que Nazuna est en réalité un vampire et qu’elle a besoin de son aide pour trouver un remède à sa condition. La série explore leur relation complexe et les défis qu’ils doivent affronter ensemble, tout en présentant un monde sombre et fascinant rempli de créatures surnaturelles.

Rencontrez les personnages de Call of the Night

Ko

Ko, c’est ce garçon un peu paumé qui a développé une passion maladive pour la nuit — genre, il dort peu, marche beaucoup et sourit comme un mystère ambulant. Timide mais obsédé par les petites choses (il collectionne peut-être des étiquettes de canettes? ou pas, j’oublie), il a ce côté maladroit qui le rend à la fois attachant et énervant quand il insiste trop. Il s’ouvre doucement, surtout quand la lune est haute, et à la fois il garde toujours un mur invisible autour de lui; oui il veut se rapprocher, non il ne sait pas comment. Franchement, on a envie de le secouer et de lui donner un chocolat chaud à 3h du matin — et parfois il pleure en silence, parfois il rit trop fort, donc bon, humain quoi.

Seri

Seri est l’amie qui paraît tout contrôler mais qui, surprise, panique souvent à l’intérieur — genre manteau impeccable, cerveau en mode “aïe” parfois. Elle peut être très directe, un peu trop honnête (attention aux phrases qui frappent), et pourtant elle protège les gens à sa manière, parfois maladroite mais toujours sincère. Je jure qu’elle a une obsession secrète pour les peluches ridicules (non? si), et elle dit qu’elle déteste les soirées, mais elle danse parfois quand personne ne regarde. Elle paraît forte mais laisse filer des fragments de tendresse comme des confettis, bref: complexe et hyper divertissante.

Nazuna

Nazuna, la nuit en personne — détendue, imprévisible et légèrement dangereuse mais charmante à en crever, c’est la fille qui réécrit les règles du “je m’en fous” tout en te regardant comme si tu étais vital. Elle a ce ton nonchalant et cette façon de disparaître et revenir quand elle veut, et elle t’emmène dans des balades nocturnes qui te retournent le cœur (et parfois l’estomac, elle mange n’importe quoi à 4h du matin). On ne sait jamais vraiment si elle joue la comédie ou si elle est complètement honnête; les deux probablement, osef et intense à la fois. Et attention, elle collectionne peut-être des porte-clés bizarres — ou alors c’est une rumeur, mais je la vois bien rouler ses yeux en te donnant un biscuit.

Kabura

Kabura, sérieux, c’est le type qui a l’air ultra calme mais qui cache une petite tornade intérieure — cool en apparence, mais capable d’exploser en gif quand quelque chose le touche. Il est perspicace, observe tout comme un chat (et parfois il boit du thé en faisant un commentaire qui te cloue), et il a ce sens du sarcasme qui tranche mais console bizarrement. Il ferait tout pour ses proches, même si ça lui coûte un peu d’ego, et parfois il est contradictoire (il prétend qu’il n’aime pas les films romantiques et puis il pleure sur un vieux classique, shh). J’aime l’idée qu’il ait une vieille montre cassée qu’il n’ose pas jeter — trop sentimental pour le dire.

Akira

Akira, ah, l’âme torturée mais stylée — il a ce genre de mélancolie esthétique, cheveux qui tombent bien, regard lointain, et un humour qui sauve des vies parfois par accident. Il est réfléchi, presque philosophe, parle peu mais quand il parle tu sens qu’il a remué tout un océan dans sa tête; parfois il déborde de mots, et là c’est magique. Il aime la musique triste à un point presque comique (il a sûrement une playlist “pluie+chocolat”), et il est généreux d’une façon qui te surprend, même s’il prétend qu’il est “indépendant” — mouais. Bref, beau mystère ambulant, souvent sérieux mais parfois il raconte des blagues hyper nulles et tout le monde rigole parce que c’est lui.

Akihito

Akihito donne l’impression d’être la voix raisonnable dans un groupe chaotique, mais attention, il a ses propres rebellions secrètes (peut-être des tatouages invisibles? ou juste des rêves bizarres). Il est responsable, calme, presque papa poule parfois, mais il peut aussi craquer pour des choses ridicules comme des snacks anniversaires à minuit. Il supporte les autres avec une patience qui frôle l’admiration, tout en ayant des moments hyper impulsifs qui te surprennent (il collectionne des trucs? des plumes? je ne sais plus). En tout cas, il tient la baraque et en même temps il s’étonne de vivre — très humain, très attachant.

Anko

Anko, explosive et imprévisible, elle a ce mélange d’énergie punk et de douceur secrète, prête à t’engueuler pour ton bien puis à t’offrir un biscuit ensuite. Elle est franche, parfois trop, dit les choses crûment mais elle le fait avec un cœur énorme, et oui elle adore les défis stupides à 2h du mat. Parfois on la croirait invincible, parfois elle pleure devant une vieille chanson — contraste total, et c’est ce qui la rend géniale. Et perso, je suis quasiment sûr qu’elle a une collection de pins ridicules sur son sac (ou peut-être seulement un autocollant, je mélange tout) — bref, vive Anko, toujours surprenante.