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Quel personnage de Death Parade es-tu ?

Death Parade est une série d'anime qui a connu un grand succès auprès des fans de l'animation japonaise. Cette série raconte l'histoire de deux personnages, Decim et Chiyuki, qui travaillent dans un bar mystérieux appelé Quindecim. Ce bar est un lieu de rencontre pour les âmes des morts, où Decim les met à l'épreuve pour déterminer leur véritable nature. Si vous êtes un fan de cette série captivante, vous avez peut-être déjà imaginé à quel personnage vous pourriez ressembler. Eh bien, maintenant vous pouvez le découvrir ! Faites notre quiz Quel personnage de Death Parade es-tu ? et découvrez le personnage qui vous correspond le mieux. Cliquez sur le bouton Commencer ci-dessous pour commencer le quiz dès maintenant !

Bienvenue au quizz: Quel personnage de Death Parade es-tu ?

À propos du Death Parade en quelques mots:

Death Parade est une série anime qui suit les aventures de Decim, un arbitre mystérieux qui travaille dans un bar nommé Quindecim. Les clients qui arrivent au bar sont en réalité des âmes qui doivent être jugées pour déterminer leur destin final. Decim utilise une variété de jeux et de défis pour évaluer la moralité de chaque âme et décider si elle doit être envoyée au paradis ou en enfer. Au fil de la série, Decim commence à remettre en question le système de jugement et à découvrir des secrets sur son propre passé.

Découvrez les personnages de Death Parade

Clavis

Clavis, sérieux mais bizarrement attachant, c’est un peu le type qui range les règles du Divan comme s’il arrangeait des timbres — hyper organisé, parfois presque cérémonial. On dirait un concierge administratif mais qui connaît toutes les petites astuces du système (et qui sourit quand il n’est pas censé sourire, oui oui, il sourit parfois). Il parle peu, donne des papiers, remet tout en ordre, et en même temps il garde des secrets comme on garde des biscuits dans une boîte — on sait qu’ils sont là mais on n’ose pas trop fouiller. Je jure qu’une fois il a chantonné en remettant un dossier, ou alors je rêve, je mélange peut‑être avec quelqu’un d’autre, mais c’était mignon.

Decim

Decim, l’arbitre-barman par excellence, calme comme un lac glacé mais avec sur la rive une curiosité d’enfant qui ne demande qu’à sortir. Il mesure, il pèse, il verse les verres, et ses décisions tombent froides — sauf que voilà, il apprend à tâtons ce que veulent dire les battements de cœur et les silences humains, et c’est adorablement maladroit. Toujours impeccable, costume noir, cheveux gris, poker face 24/7… sauf quand Chiyuki le choque (ou il éternue, ou il rougit? enfin, quelque chose se passe). Il est à la fois parfait pour son boulot et terriblement nul pour mentir quand il a des émotions; bref, je l’adore.

Chiyuki

Chiyuki, la fille douce à la mémoire en miettes — fragile mais étonnamment forte quand il le faut. Elle est devenue la clé humaine qui réchauffe Decim (et qui casse parfois sa tête pleine de règles), elle sourit souvent mais a des trous de mémoire très frustrating, et ça la rend trop humaine, vraiment. Toujours en train de porter ce manteau simple, à regarder le monde comme si c’était la première fois, et parfois elle dit des choses hyper directes qui te surprennent (genre, « pourquoi tu n’es pas triste ? » — boom). Parfois elle se rappelle une chanson, parfois elle oublie son café; bref, imprévisible et adorable, et elle sent parfois la confiture? (je ne sais pas pourquoi j’écris ça).

Nona

Nona, la superviseuse excentrique — genre reine cosy du système, qui te regarde avec un sourire qui peut être douce ou terrifiant, selon l’humeur. Elle dirige avec une classe sarcastique, adore l’ironie et semble se moquer des règles tout en les connaissant mieux que quiconque; toujours un verre (ou deux) à la main, toujours calme mais jamais ennuyeuse. Elle a l’air de ne pas s’attacher — blague, elle s’attache quand ça l’arrange — et possède ce talent génial pour déclarer des vérités d’une phrase qui te font plier en deux. Ah, et elle collectionne peut‑être des porcelaines (ou des canettes), je n’ai plus les détails mais c’est sûrement weird.

Mayu Arita

Mayu Arita, tragique et pleine de petits conflits intérieurs; tu veux la secouer et lui demander d’être honnête avec elle‑même, sérieux. Elle a ce côté « personne banale qui porte tout très fort » — une histoire d’amour compliquée, des regrets, et un regard qui te dit « je voulais juste être vue ». Parfois elle paraît naïve, parfois manipulatrice, et ça la rend vraiment humaine (et pas seulement « victime »), on la comprend trop, et parfois on la juge aussi, parce que bon… la vie est moche. Petit détail inutile: elle aimait les photos, enfin je crois qu’elle avait un polaroid ou quelque chose comme ça, et ça colle assez bien.

Quin

Quin est impeccable, glaciale et fascinante — une arbitre qui exécute le travail avec une précision clinique, mais elle a ce côté jouet cassé (en mieux) qui te rend curieux. Elle fait les choses vite, sans remords apparents, mais parfois elle trace des lignes directrices comme si c’était un puzzle qu’elle voulait résoudre pour le plaisir, pas seulement pour la justice. On sent une ironie là‑dessous, comme si elle riait intérieurement des humains mais pas totalement méchante non plus — ambivalence totale. Elle adore les petites expériences, parfois trop curieuse, et je jure qu’elle porte des gants plus par habitude que par nécessité, ou était‑ce pour le style?

Oculus

Oculus, l’Œil omniscient, la machine silencieuse et légèrement dérangeante qui observe tout avec une neutralité presque cosmique. C’est l’instance qui regarde les jeux, qui enregistre, qui donne son verdict impersonnel — et pourtant on sent parfois une pointe d’absurde, comme si même la machine avait un humour bizarre. Il y a quelque chose de presque maternel mais mécanique dans son regard, bref, la présence froide qu’on adore détester (ou admirer). Parfois on a l’impression qu’il soupire, ou alors c’est juste le ventilateur, je ne sais pas, mais ça ajoute à l’ambiance.

Ginti

Ginti, l’arbitre-mercenaire, grand, bourru, avec ce sourire de « je vais tout retourner pour voir ce que ça fait ». Il adore les jeux sadiques — bon, pas juste pour être méchant, plutôt parce qu’il trouve ça stimulant intellectuellement, et il a un code à lui (flou, mais existant). Il est brusque, but impressive, et en même temps il peut avoir des moments étonnamment melancoliques où il parle de choses douces comme des coquillages ou des cafés, j’exagère peut‑être un peu mais vous voyez l’idée. Ah, et il porte souvent un chapeau/masque/quelque chose qui le rend encore plus charismatique — accrochez‑vous.