À propos du Devils Line en quelques mots:

Devils Line est une série animée japonaise qui suit l’histoire de vampires qui vivent parmi les humains. Les vampires sont appelés Devils et ils doivent se nourrir de sang humain pour survivre. L’histoire suit la romance entre Tsukasa, une étudiante universitaire, et Anzai, un agent de police qui est également un Devil. Ils doivent faire face à des défis tels que la discrimination et la violence entre les Devils et les humains. La série explore également les thèmes de l’identité, de la confiance et de la coexistence pacifique entre les deux espèces.

Découvrez les personnages de Devils Line

Yūki Anzai

Anzai, c’est ce type calme et un peu brisé qui te serre le cœur sans prévenir — stoïque, protecteur et toujours à deux doigts de craquer (littéralement). Il a ce mélange violent/doux qui fait qu’on lui ferait confiance pour sauver la journée mais aussi pour te foutre la trouille à 2 h du matin. Parfois il a des réactions hyper animales, parfois il fait des blagues nulles, oui oui, les deux à la fois — c’est déroutant mais adorable. Et il a cette manie étrange de ranger ses chaussettes par couleur, ce qui ne colle pas du tout avec son côté « je bois du sang » mais bon, chacun ses trucs.

Tsukasa Taira

Tsukasa est la fille qui refuse d’être une victime: douce, têtue et étonnamment tenace, elle colle à Anzai comme une vraie colle (oui, collante mais dans le bon sens). Elle oscille entre innocence et courage brut, prête à crier ou à pleurer mais aussi à foncer tête baissée quand il le faut — contradictoire et géniale. Elle a ce charme naïf qui cache une volonté de fer, et parfois elle se met à agir de façon complètement impulsive, ce qui rend tout le monde nerveux. Et fun fact pas très utile: elle adore les vieilles comédies romantiques mais prétend que non pour paraître plus dure.

Hans Lee

Hans, ouais, Hans c’est le genre charmeur et glaçant, très propre sur lui, grand sourire mais toujours des secrets derrière les yeux — en fait on n’est jamais sûr si c’est un ami ou un danger élégant. Il manie la politique, la manipulation et parfois la sympathie sincère (parfois, pas souvent, mais ça arrive), ce qui le rend terriblement imprévisible. Il aime le luxe et les discours bien ficelés, mais peut aussi te servir un sandwich pas terrible au milieu d’une réunion stratégique, allez comprendre. Bref, il est beau, dangereux, plein d’ambiguïtés et tu finiras par l’adorer et le détester en même temps.

Takashi Sawazaki

Sawazaki c’est le vieux loup des flics, bourru mais fondamentalement loyal; il pue un peu la cigarette et la culpabilité, et c’est exactement ce qu’on aime chez lui. Il joue le rôle du mentor râleur mais il est clairement prêt à tout pour protéger son équipe — parfois en faisant des choix douteux, parce qu’il est humain, trop humain. On le voit bougonner, boire trop de café, mais aussi garder des photos anciennes dans son portefeuille comme un nostalgique secret. Et oui, il peut être étonnamment maladroit avec les technologies (genre il envoie des émojis bizarres), ce qui le rend encore plus touchant.

Juliana Lloyd

Juliana est la vamp élégante et mystérieuse, ambiance aristocrate mais parfois complètement décalée; elle a ce côté glamour dangereux qui te charme puis te file des frissons. Elle manipule avec finesse, aime jouer des rôles et garde toujours une longueur d’avance, mais a aussi des instants de douceur inattendus — comme quand elle parle d’art ou qu’elle sourit en voyant des fleurs (bizarre pour une immortelle, non?). Elle peut être cruelle mais parfois presque maternelle, ce contraste la rend fascinante. Et petit truc marrant: elle collectionne des tasses à thé ridiculement kitsch, ce qui casse un peu son image ultraréfléchie.

Kirio Kikuhara

Kirio, c’est l’explosion d’énergie incontrôlée: impulsif, parfois violent, mais terriblement fidèle — il saute avant de réfléchir, hurle puis s’excuse, répète. Il a ce côté « je fais le dur » mais fond complètement devant un animal mignon (et pas toujours cohérent, oui). Il est aussi complexé, avec un passé un peu sombre qui ressort en bourrasques, et il compense avec des gestes protecteurs qui frôlent l’obsession. S’il porte souvent une veste déchirée, il peut aussi s’arrêter pour détailler une fleur comme un poète improbable — allez savoir.

Takeshi Makimura

Makimura est le cerveau tranquille, genre scientifique/agent posé, qui parle doucement mais cogite à toute vitesse, hyper méthodique et parfois un peu glaçant. Il aime les procédures, les données, les modèles — mais il a aussi des failles personnelles qu’il cache derrière un sourire trop poli; il est adorablement maladroit en situation sociale. On dirait quelqu’un de fiable mais il peut lâcher une remarque surprenante qui te fait tiquer (et rire nerveusement). Et oui, il garde toujours un stylo dans la poche, même si parfois il ne sait plus où il l’a mis — l’ironie ultime.