À propos du Dota: Dragon’s Blood en quelques mots:

Dota: Dragon’s Blood est une série d’animation basée sur le jeu vidéo Dota 2. L’histoire suit Davion, un chevalier dragon, qui se lance dans une quête pour vaincre les dragons anciens et sauver le monde. Au cours de son voyage, il rencontre Mirana, une princesse guerrière, et ensemble, ils se battent contre des ennemis redoutables tout en découvrant des secrets sur les dragons et leur propre destinée. La série est remplie d’action, de magie et de mystère, offrant une expérience immersive pour les fans de Dota et les nouveaux venus.

Découvrez les personnages de Dota: Dragon’s Blood

Davion

Davion, c’est le type qui met son armure comme on enfile une seconde peau et puis qui jure de pourchasser les dragons — avec une intensité presque naïve, limite poétique parfois. Héros bourru, loyal jusqu’au bout des doigts mais avec des doutes qui lui vrillent la voix la nuit; il veut sauver le monde et en même temps il adore les blagues nulles (vraiment). Il est courageux à en être un peu impulsif, ce qui crée des scènes épiques et des facepalm mémorables — et oui, il peut pleurer pendant une chanson patriote, mais il jure qu’il ne pleure jamais devant ses hommes. Je te jure, il sent souvent le cuir chaud et le thé trop fort, c’est un cliché mais ça lui va.

Mirana

Mirana, princesse guerrière, archère lunaire avec ce mélange de mystère royal et de liberté sauvage — genre elle pourrait te réciter des règles de cour puis partir chasser un tigre en gambadant. Loyalement têtue, elle a une foi lunaire qui lui donne un calme presque zen, mais attention elle n’est pas douce du tout quand tu touchés à ses proches; parfois elle a des idées folles, parfois elle planifie tout au millimètre. Elle monte un animal (je crois que c’est un léopard? ou était-ce un cheval vraiment rapide — bref, elle a un compagnon stylé) et porte des capes qui volent dramatiquement, évidemment. Ah et elle collectionne des pierres brillantes — non pas toutes, seulement celles qui lui parlent, ou du moins c’est ce qu’elle dit.

Sagan

Sagan est ce personnage mystérieux et ombrageux que tout le monde s’attend à haïr mais en fait on l’adore parce qu’il a un passé trop lourd et des yeux qui veulent dire “j’ai vu des choses”. Taciturne, parfois brutal, il a des moments de bonté hyper sincères (comme offrir un sandwich… ou c’était une excuse pour espionner? j’oublie). Il peut sembler froid mais y a des petites habitudes bizarres, du genre ramasser des plumes ou parler à des carcasses — ou est-ce que c’est juste une légende? — en tout cas il a du style. On sent qu’il cache quelque chose de très profond et probablement une playlist emo secrète.

Fymryn

Fymryn, wow, c’est la survivante aux ongles sales qui te frappe d’abord et pose des questions après — elle est rapide, féroce et un peu sarcastique, surtout envers les gens qui prennent la vie trop au sérieux. Elle a un humour noir, adore les plans qui dégénèrent, et se tient toujours sur le qui-vive (parfois un peu parano, parfois juste prudente, inconsistance incluse). Elle a des cicatrices cool et une histoire de famille compliquée, évidemment; et bon, elle a aussi une faiblesse pour les petits animaux mignons — je rigole pas, c’est contradictoire et c’est parfait. Parfois elle disparaît pendant des jours pour “penser” — ou pour cambrioler quelque chose, difficile à dire.

Invoker

Invoker c’est l’archétype du mage arrogant élevé dans un livre et un monocle (non, il n’a pas vraiment de monocle mais l’image est parfaite). Il parle en énigmes, méprise la stupidité humaine et a une fierté presque théâtrale — et pourtant il collectionne des formules magiques comme certains collectionnent des cartes ou… tasses à thé? Oui, il a peut-être une tasse à thé bizarre. Il peut tout calculer, sauf parfois ses propres émotions, et ça le rend fascinant parce que c’est un génie avec des micro-crises existentielles. Bref, grand-père mage que tu n’aurais pas envie d’énerver, sauf si tu veux voir des explosions conceptuelles.

Slyrak

Slyrak est la dragonnerie pure: immense, imposant, terrifiant, et pourtant à certains moments presque… mélancolique? C’est fascinant — un bestiau qui peut réduire un château en cendres mais qui reste, bizarrement, fidèle à des codes secrets (ou à une sieste programmée, selon la source). Son rugissement te donne des frissons et il a des yeux qui semblent savoir des choses avant toi; parfois il fonce tête baissée, parfois il médite sur le sens du feu (vraiment). En plus, il a une tendance étrange à sentir le parfum de la pluie comme si c’était une chanson; oui, je sais, c’est chelou mais ça marche.

Selemene

Selemene, déesse-lune charismatique et terriblement politique — elle charme les foules, manipule les élites et a ce je-ne-sais-quoi d’énigmatique qui te fait penser “attention”. Majestueuse et parfois cruelle, elle distribue des bénédictions comme d’autres distribuent des coups de théâtre ; elle aime les cérémonies longues et les discours qui te retournent l’estomac (dans le bon sens, je pense?). On la voit souvent drapée de lumière lunaire et de constance capricieuse — un jour mère, le lendemain juge suprême, et parfois elle offre des biscuits? (bon, peut-être pas des biscuits, mais qui sait). Elle est dangereuse et fascinante, et j’ai l’impression qu’elle collectionne des secrets comme d’autres collectionnent des étoiles.

Luna

Luna, soldate de la Lune, laser dans les poings et loyauté tatouée sur le cœur — elle fonce, ordonne, exécute. Très professionnelle, presque mécanique, mais avec un côté tendre que seuls quelques rares connaissent (genre elle garde des lettres froissées dans sa poche; ou était-ce des cartes de bataille, je déconne). Elle déteste l’injustice et ne plaisante pas avec la discipline, sauf quand elle se surprend à sourire devant un lever de lune calme — moment rare et précieux. Et oui, elle aime les armes brillantes et les noms de bataille compliqués, parce que pourquoi pas.

Terrorblade

Terrorblade, pure tentation démoniaque en costume sombre: manipulateur, charismatique, et obsédé par la destruction des rêves — littéralement. Il a cet humour sinistre, adore provoquer les autres psychologiquement, et a une élégance presque théâtrale, genre vilain de pièce de théâtre qui récite des poèmes avant d’attaquer. Paradoxalement, il peut être d’une loyauté tordue envers ses propres principes — ce qui le rend encore plus effrayant; et en plus il collectionne des miroirs (oui, des miroirs) pour une raison qui semble dramatique mais peut-être juste esthétique. Bref, tu l’aimes ou tu le détestes, mais tu ne l’oublies pas.