À propos du Girls Band Cry en quelques mots:

‘Girls Band Cry’ est un anime captivant sur le thème de la musique qui raconte l’histoire de jeunes femmes confrontées à divers défis tout en s’efforçant de trouver leur place dans le monde. La série suit des personnages qui ont été déçus par la vie de différentes manières, mais qui se rassemblent grâce à leur passion commune pour la musique. Le parcours de chaque personnage est marqué par des luttes personnelles et une croissance, dans le cadre de Tokyo, où elles visent à transformer leurs rêves en réalité.

Découvrez les personnages de Girls Band Cry

Subaru Awa

Subaru, c’est le genre de chanteur que tu remarques avant même qu’il ouvre la bouche — présence magnétique, voix qui te vrille le cœur et un sourire un peu cassé. Il fait souvent l’amour au micro (non, pas littéralement, mais tu vois l’idée), adore les coupes de cheveux improbables et déteste, bizarrement, les miroirs certains jours. Lunatique, il peut te parler philosophie à 3h du matin puis s’égarer dans une blague nulle, mais toujours avec une énergie sincère. Protège un carnet plein de paroles griffonnées comme si c’était un talisman; parfois il jette des pages au vent pour tester la réaction des gens. Ah, et il prétend ne pas aimer les chats mais a un autocollant de chat sur sa guitare — coïncidence ?

Tomo Ebizuka

Tomo est l’explosion d’énergie de la bande, mettez-lui une batterie et il construit un monde entier autour du rythme. Sérieux mais pas coincé, il planifie les répétitions comme une opération militaire et oublie parfois où il a mis son téléphone (véridique, ça arrive tout le temps). Paradoxalement, il est hyper organisé pour les tournées mais collectionne des tickets de métro froissés comme des petits trésors. Doux avec ses amis, il a un rire énorme et une passion secrète pour les comédies romantiques — oui, le batteur aime les films niaiseux, qui l’eût cru ?

Nina Iseri

Nina a ce regard tranquille qui te fait comprendre qu’elle voit plus loin que toi de deux pas, bassiste tranquille mais pas passive pour un sou. Stylée sans vraiment essayer, elle accumule des vestes vintage et des tasses bizarres qu’elle ramène de voyages improvisés (ou de marchés au coin de la rue, on n’est pas sûr). Elle parle peu mais quand elle ouvre la bouche c’est précis, souvent une réplique qui claque et te fait rire après réflexion. Étonnamment romantique dans ses notes, elle écrit des haïkus entre deux riffs, et parfois elle triche un peu sur la rime — mais chuuut, ça reste son petit secret.

Momoka Kawaragi

Momoka, c’est la boule de gentillesse qui fait tenir le groupe quand tout part en cacahuète, douce comme un marshmallow mais étonnamment tenace. Clumsy mais adorable, elle renverse toujours quelque chose en coulisses (l’eau, un micro, ses propres chaussures — une fois, les trois à la fois). Elle adore organiser les aftershows et connaît la recette parfaite pour un café qui remet les gens d’aplomb; paradoxalement, elle supporte mal le chaos mais adore les surprises. Souvent vue avec un carnet de recettes ou une paire de baskets fluo, et parfois elle murmure des paroles de chansons comme si c’était des affirmations magiques.

Rupa

Rupa est l’éclair électrique du groupe, guitariste flamboyant avec des mouvements un peu théâtraux et un rire contagieux qui te fait te demander si elle a pas bu un peu trop de jus d’orange. Elle change de style comme de chaussettes — punk un jour, bohème le lendemain — et pourtant il y a une cohérence mystérieuse: elle est simplement Rupa. Très précise quand il s’agit d’accordage (obsessionnelle? oui, un peu), mais complètement bordélique pour tout le reste — ses câbles forment des nids d’oiseaux sous la table. Elle adore les plantes et leur parle, ce qui est mignon, et parfois ses anecdotes partent en digression totale, attention, ça peut durer vingt minutes mais c’est toujours intéressant.