À propos du Gurren Lagann en quelques mots:

Gurren Lagann est une série d’anime japonaise qui suit les aventures de Simon et Kamina, deux amis qui vivent dans un monde souterrain oppressant. Ils découvrent un jour un mécha géant, le Lagann, et s’en servent pour combattre les forces ennemies qui menacent leur existence. Au fil de leur périple, ils rencontrent d’autres personnages et affrontent des ennemis de plus en plus puissants, jusqu’à atteindre le sommet de la civilisation humaine. Avec son animation dynamique et son histoire épique, Gurren Lagann est une série qui ne manquera pas de captiver les fans d’anime et de science-fiction.

Découvrez les personnages de Gurren Lagann

Simon

Oh Simon, quel personnage touchant — au début il est tout timide, collé à son petit perçage de roche, et puis bam, il devient leader sans trop savoir comment il en est arrivé là. Il parle aux foreuses (vraiment, on dirait qu’il a un dialogue secret avec les machines), très gêné mais hyper déterminé dès que ça compte. Il hésite toujours un peu, parfois se perd dans ses pensées, mais il a ce cœur en acier (ou en spirale ?) qui le tire vers le haut. Et bon, petit détail : il oublie souvent ses lunettes… ou bien il ne les a jamais eues? J’ai du mal à suivre, c’est ça qui est chou.

Kiyal

Kiyal arrive comme un souffle mignon et un peu surréaliste — petite, polie, genre « je suis gentille et je comprends tout » mais avec un sens de la répartie qui surprend. Elle a ce regard presque trop sérieux pour son âge et pourtant elle joue, rit, et parfois dit des choses qui font flipper les adultes (oups). On dirait une poupée posée dans une salle aux enjeux énormes, douce mais étonnamment ferme quand il le faut. Ah, et je suis presque sûr qu’elle aime les biscuits, non? Ou alors c’est une impression.

Leeron Littner

Leeron, c’est la rock-star mécanicien.ne qu’on adore — flamboyant, excentrique, capable de réparer un Gunmen en chantant (ou en criant), et archi fier de ses talents. Il a des répliques absurdes, des tenues improbables et des accessoires à foison, mais bordel, il connaît la mécanique comme personne; on lui donne une panne et il fait un spectacle. Il se comporte parfois comme un(e) drag-queen-scientifique — on n’est pas toujours sûr·e si c’est du théâtre ou juste… Leeron — et c’est exactement pour ça qu’on l’aime. Petit truc étrange : je jurerais l’avoir vu jardiner une fois, mais peut-être que je confonds avec quelqu’un d’autre.

Rossiu

Rossiu, sérieux et rationnel au possible, il est du genre à préparer des plans détaillés et à se ronger les sangs à l’idée de l’avenir (nerf de la guerre politique, oui). Il prend des décisions dures, parfois froides, et il a ce côté “je fais ce qu’il faut pour le peuple” qui frustre autant qu’il rassure. Mais sous cette armure d’adulte responsable, il y a un gamin qui a peur et qui veut bien faire — c’est parfois contradictoire, et c’est humain. Et aussi : collectionneur secret de figurines? Je ne sais plus, mais je l’imagine bien, hein.

Nia Teppelin

Nia, c’est la douceur incarnée, un sourire qui peut calmer une armée, et cette naïveté presque magique qui rend tout plus lumineux (et parfois un peu inquiétant). Elle est mystérieuse, très empathique, super attentionnée, et en même temps il y a des couches cachées à son histoire qui la rendent fascinante. Elle peut être étonnamment perspicace une seconde, puis maladroite et fofolle la suivante — bref, adorable et complexe. Petite note : elle aime les rubans mais parfois elle les perd dans des combats cosmiques, ce qui est très dramatique mais mignon.

Kunba

Kunba est un de ces personnages qu’on remarque à la fois pour son franc-parler et pour son air un peu rugueux — genre villageois qui en a vu d’autres mais qui ne se laisse pas marcher sur les pieds. Il pousse des cris de guerre, tape sur des tables, et pourtant il a des gestes tendres (surtout quand il s’occupe d’animaux bizarres ou qu’il raconte des blagues douteuses). Parfois il est présenté comme un pilier sérieux, parfois comme un relief comique; les deux vont bien ensemble, en fait. Aussi, je jure qu’il a un tatouage secret — ou alors c’est une cicatrice? On va dire que c’est les deux.

Kamina

Kamina est l’essence pure du “giorno esplosivo” — charismatique, fougueux, incendiaire, le mec qui donne envie de hurler « marche au combat » juste parce qu’il est là. Il a des slogans, des lunettes et des promesses énormes; il vit pour l’idéal et pour pousser Simon vers la Lune (ou au moins vers le ciel). Il est grand, bruyant, ultra confiant, mais il cache aussi une vulnérabilité qui rend chaque moment inspirant et tragique. Et oui, il a probablement chanté sous la douche une fois — ok, plusieurs fois — et je le défendrai toujours.

Viral

Viral est ce guerrier bestial mais étonnamment loyal, le genre de type qui grogne beaucoup et qui finit par avoir un code d’honneur surprenant. D’abord antagoniste, on sent vite qu’il n’est pas juste “méchant pour être méchant” ; il a des valeurs tordues mais cohérentes (et un sens de l’humour grinçant parfois). Il a cette façon maladroite d’être… sensible (j’insiste, malgré les crocs), surtout avec ceux qu’il respecte. Et, détail absurde : je suis certain qu’il adore les fleurs (oui, c’est contradictoire, mais imaginez-le avec un bouquet — j’ai dit ce que j’ai dit).

Yoko Littner

Yoko, c’est la sniper badass qui allie compétence froide et chaleur humaine — redoutable au tir, protectrice avec ses amis, et étonnamment drôle quand elle lâche une vanne. Elle a style (les tenues, la coiffure légendaire), mais elle n’est pas juste apparence : elle pense tactique, s’énerve quand il faut, console quand il faut aussi. Parfois elle est la grande sœur, parfois l’alliée stratégique; elle peut être sérieuse comme une pierre un instant et super joueuse l’instant d’après. Aussi petit détail inutile mais adorable : j’imagine toujours qu’elle a un faible pour les gâteaux faits maison — et non, je ne veux pas être contredit.

Boota

Boota, petit animal de compagnie-mascotte qui vole la scène à chaque apparition, a une expressivité incroyable pour un truc qui fait des bruits étranges. Il est exactement ce compagnon silencieux mais essentiel qui vous sort de la mélancolie avec un claquement de moustache (ou une sorte de gazouillis, je crois). Parfois il est traité comme un bébé, parfois comme le seul adulte logique de l’équipage — contradiction parfaite. Et oui, il peut paraître mignon ET terrifiant selon la situation; je garde toujours un peu de pop-corn quand il est à l’écran.

Dayakka

Dayakka (ou Dayakka par-ci, Dayakka par-là) est le leader bouillonnant du village, celui qui parle fort, boit sans honte et défend son monde comme un lion. Il crie, il applaudit, puis il réfléchit — parfois seulement après avoir fait une grosse déclaration, mais eh, c’est son style. Il a ce côté père de substitution pour l’équipage, chaleureux mais pas naïf, et il prend ses responsabilités au sérieux (malgré des décisions… discutables). Aussi, il a probablement un surnom pour tout le monde — et il oublie parfois qui est qui, ce qui est terriblement humain.