Quel personnage de Idol Land PriPara es-tu ?
Plongez dans le monde enchanteur de "Idol Land PriPara" (アイドルランドプリパラ Aidoru Rando PuriPara) et découvrez quel personnage résonne avec votre âme ! En tant que fan, vous avez voyagé avec ces idoles à travers leurs épreuves et tribulations depuis la première diffusion de la série web le 18 août 2021. Avec le bug soudain du système lors de la mise à jour de PriPara et la disparition mystérieuse des boutiques de Prism Stone, la mémoire de PriPara de chaque idole a été effacée. Maintenant, c'est à votre tour de vous embarquer dans une quête fantasque ! Êtes-vous prêt à vous souvenir et redécouvrir quel idole de PriPara se cache en vous ? Faites défiler vers le bas et cliquez sur le bouton "Démarrer" pour révéler votre destin d'idole !

À propos du Idol Land PriPara en quelques mots:
“Idol Land PriPara” (アイドルランドプリパラ Aidoru Rando PuriPara) est une série web captivante et un jeu mobile à venir prévu pour sortir en 2023. Le récit se déroule lorsque qu’un bug du système lors d’une mise à jour globale de PriPara entraîne la disparition de tous les magasins Prism Stone. Coincés dans un royaume éthéré au-delà du temps et de l’espace, les idoles sans la protection de Prism Stone oublient tout de PriPara. La série plonge profondément dans leur quête pour retrouver leurs souvenirs et renouer avec leur passion.
Rencontrez les personnages d’Idol Land PriPara
Amari Katasumi
Amari, oh là là, c’est ce genre de perso qui pulse à 300% — ambitieux, un peu machiavélique mais terriblement charismatique, on le remarque tout de suite. Il adore les plans compliqués, les gadgets brillants et les entrées dramatiques, même si parfois il trébuche sur ses propres lacets (vrai). Paradoxalement, il peut se montrer presque doux quand personne ne le regarde, ou alors c’est juste une stratégie, je ne sais plus — j’ai des théories mais je change d’avis toutes les cinq minutes. Il a des goûts bizarres en snacks (toujours quelque chose d’épicé? ou sucré? j’oublie), et ça le rend encore plus imprévisible et fun à suivre.
Laala Manaka
Laala, c’est la douceur incarnée, l’héroïne naïve et pleine d’espoir qui te fait sourire sans prévenir, sérieusement adorable. Elle chante comme si le monde pouvait guérir juste parce qu’elle ouvre la bouche, et elle a cette énergie contagieuse — un peu tête en l’air parfois, toujours déterminée. Elle aime les coiffures étranges, collectionne des petits accessoires mignons (ou était-ce des cartes? bref), et peut passer d’un moment timide à une explosion de confiance en une seconde. Oh, et elle oublie souvent de manger quand elle est excitée, mais j’ai vu des fanarts où elle dévore des donuts, donc qui sait.
Mario
Mario est l’épate totale, genre spectacle ambulant — stylé, sûr de lui, avec un côté mystérieux qui te donne envie d’en savoir plus, tout de suite. Il a une prestance folle sur scène, des moves nets, et un sens du look un peu extravagant (toujours une broche improbable). Il prétend parfois ne pas aimer l’attention, mais ne me fais pas croire qu’il refuse les projecteurs quand la musique commence — contradiction assumée je crois. Il raffole de pâtisseries quand il est stressé (ou alors c’est un mensonge pour détourner l’attention), et il a cette façon de sourire qui rend tout excès plausible.
Yui Yumekawa
Yui c’est douceur et sérieux, mais pas ennuyeuse, non non, plutôt une boule d’affection discrète qui soutient tout le monde. Elle est organisée (parfois trop), adore bricoler des costumes et a un côté otaku mignon — elle connaît une quantité absurde de détails inutiles, ce qui la rend géniale en trivia. Elle est parfois incroyablement courageuse, d’autres fois hyper-prudente, donc tu ne sais jamais vraiment si elle va foncer ou calculer quatre plans. Petite chose étrange: je jurais l’avoir vue chanter en cachette des reprises rock, donc peut-être une double vie musicale, qui sait.
Shogo Yumekawa
Shogo, le grand frère stoïque mais secret, sérieux en public, mais avec un faible évident pour les choses ridiculement niaises quand il est seul (c’est humain). Il protège les siens à fond, parle peu mais quand il parle, ça pèse — il est fiable comme un mur, sauf quand il fait des blagues hyper nulles et que tout devient awkward (c’est charmant). Il aime la précision, la discipline, et paraît intouchable, mais je l’ai vu pleurer devant un film d’animation, donc voilà. Et il a une collection de cravates un peu obsessionnelle — couleurs assorties, motifs douteux, je meurs.
Shinya Oedo
Shinya, ah, le personnage théâtral — gros dramatique mais en vrai super attachant, il pourrait animer une réunion ou diriger une comédie musicale sur un coin de table. Il a un sens du timing impeccable et adore les grandes déclarations, parfois au point d’en faire trop (toujours). Il est à la fois rigide sur certaines règles (ne lui touchez pas ses accessoires) et complètement laxiste sur d’autres (genre il oublie de rendre des choses importantes), c’est drôle. Il porte toujours un accessoire insolite, je jure que l’un d’eux est une montre cassée qu’il considère comme porte-bonheur, ou alors c’est une broche, je mélange toujours.
Pololo
Pololo, c’est la dose concentrée de mignonnerie et d’excentricité — petite boule d’énergie qui parle vite et adore les paillettes, un vrai feu d’artifice ambulant. Ils sont imprévisibles, borderline chaotique mais tellement attachants, et leur façon de changer de look à chaque apparition me tue à petit feu (trop de style). Parfois très sérieux (oui, sérieux!), parfois en mode clown permanent, c’est un combo improbable mais qui marche à fond. Et j’ai l’impression qu’ils ont une obsession secrète pour les cailloux brillants ou les stickers holographiques — détail totalement inutile mais adorable.
