À propos du K-On! en quelques mots:

K-On! est une série animée japonaise qui suit les aventures d’un groupe de cinq lycéennes qui forment un club de musique. Yui, Mio, Ritsu, Azusa et Tsumugi sont toutes passionnées par la musique et leur objectif est de devenir un groupe de rock professionnel. La série suit leur quotidien au lycée, leurs répétitions, leurs concerts et leur amitié grandissante. Avec des personnages attachants, des musiques entraînantes et une animation de qualité, K-On! est une série incontournable pour les fans de musique et de slice-of-life.

Découvrez les personnages de K-On !

Yui Hirasawa

Yui, c’est la boule d’énergie douce et un peu perdue qui arrive en cours comme si elle venait d’atterrir d’une autre planète — et pourtant elle se transforme en guitariste incroyable dès qu’on branche l’ampli. Elle oublie toujours où elle a posé son plectre (ou deux plectres, ou pas du tout), mais elle a ce talent complètement spontané qui fait que tout le monde la suit sans trop savoir pourquoi. Elle parle sans fin, mange des sucreries en répétition et peut faire des solos improbables avec des yeux ronds comme des soucoupes; sérieusement, parfois elle joue comme si elle rêvait. Ah, et elle prétend ne pas pratiquer mais il y a des soirées où elle est bizarrement la plus motivée — contraste total, j’adore.

Mio Akiyama

Mio, c’est la bassiste trop mignonne et trop sensible qui te fait fondre en trois notes, mais attention elle peut aussi te clouer le bec avec un regard glacial quand quelqu’un rigole trop fort. Elle est timide, dramatique (mais dans le bon sens), et a cette voix douce qui trahit une profondeur que tu n’attendais pas; parfois elle est super sérieuse sur la musique, d’autres fois elle flanche devant un film d’horreur — oui, elle aime les trucs effrayants mais crie quand même. Elle se soigne d’un air très digne, mais oublie ses souvenirs embarrassants et peut devenir hilarante sans prévenir; on dirait qu’elle garde mille petits secrets. Et btw, elle est bizarrement super organisée pour une personne qui dit « je suis nulle » à tout — contradiction adorable.

Ritsu Tainaka

Ritsu, oh la chef du chaos (mais la meilleure amie loyale), la batteuse qui lance des blagues à la seconde où elle entre dans la pièce et qui fera une farce pendant ta présentation sans aucune pitié. Elle donne l’impression de ne rien prendre au sérieux mais tu peux parier qu’elle sait exactement quand mettre de l’ordre et motiver tout le monde — leader malgré elle parfois, c’est hilarant. Elle cache ses moments d’émotion sous un rire tonitruant et une énergie débordante; et oui, elle oublie toujours quoi faire ensuite mais se rappelle TOUJOURS de la date d’un concert important. J’ai la théorie qu’elle a un radar secret pour dénicher les snacks, c’est presque surnaturel.

Tsumugi Kotobuki

Tsumugi, la pianiste-chic-à-l’air-angélique, toujours avec son thé et sa gentillesse overdose; on la voit comme la riche et douce gentille, mais elle sait surprendre en sortant des références bizarres ou en devenant le pilier émotif du groupe. Elle rigole doucement, apporte des snacks raffinés (ou des montagnes de trucs sucrés) et peut être à la fois naïve et d’une perspicacité étonnante sur les relations humaines — je ne sais jamais sur quel pied danser, et c’est parfait. Elle prétend que tout ça n’est que pour « s’amuser » mais quand il faut jouer sérieusement, elle assure, genre pro discret. Petit détail inutile mais adorable : elle écrit parfois des petites notes hyper formelles même pour dire « merci », j’adore ce contraste.

Azusa Nakano

Azusa, la petite perfectionniste trop mignonne qui veut pratiquer, pratiquer, pratiquer — Azu-nyan forever, vraiment le cœur sérieux du groupe, mais avec un côté timide qui craque trop vite quand on la taquine. Elle est la guitare rythmique qui structure tout, très disciplinée, et pourtant elle accepte les conneries de Yui sans trop râler, ou alors elle râle mais avec un fond d’affection énorme. Elle peut être hyper stricte sur les accords un instant et le suivant se laisser embarquer dans un délire total — contradiction permanente, et c’est génial. Et oui, elle garde toujours des plectres en réserve dans sa poche, comme si c’était un trésor sacré; parfois elle s’emporte, parfois elle fond en un clin d’œil, très humain.