À propos du Kaichou Wa Maid Sama en quelques mots:

Kaichou Wa Maid Sama est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Misaki Ayuzawa, la présidente du conseil des élèves dans une école autrefois réservée aux garçons. Elle travaille également comme serveuse dans un café pour aider sa famille financièrement. Cependant, son secret est menacé d’être révélé lorsque Takumi Usui, le garçon le plus populaire de l’école, découvre son travail de serveuse. La série suit leurs interactions et leur relation croissante alors qu’ils naviguent dans les défis de l’école et de la vie quotidienne.

Découvrez les personnages de Kaichou Wa Maid Sama

Takumi Usui

Takumi, c’est le type qui te fait sourire sans effort et qui, en même temps, semble garder trois secrets de taille dans sa poche. Il est brillant, incroyablement sûr de lui et aime taquiner tout le monde — surtout Misaki, mais bon, on sait que c’est de l’amour déguisé, non ? Il a ce côté distant et presque moqueur (ou ultra-protecteur selon l’humeur), et puis il sait cuisiner mieux que ta grand-mère — ou alors il commande toujours, j’sais plus, bref. Il a l’air parfait mais parfois il oublie des détails idiots, comme où il a posé son téléphone, et c’est ce qui le rend humain (et agaçant, évidemment).

Misaki Ayuzawa

Misaki, oh la la, la tsundere suprême : elle a de la poigne, dirige tout comme si le monde devait marcher à la ligne droite, et en même temps elle garde un cœur en sucre (mais chut). Elle est hyper travailleuse, fière et juste — prête à défendre les autres, surtout contre les injustices, même si elle crie comme une tornade pour ça. Sous son uniforme de présidente sévère il y a une fille qui aime les choses mignonnes (oui oui, elle a un truc secret pour les peluches, ne le dites à personne), et parfois elle est maladroite quand on l’embête, ce qui est trop drôle. Bref, une boule d’énergie contradictionnelle : sévère mais douce, rigide mais capable d’exploser de rire pour un rien.

Aoi Hyōdō

Aoi, il est doux comme un rayon de soleil un peu timide, tu vois ? Toujours poli, souvent rêveur, il écoute plus qu’il ne parle et puis, paf, quand il se décide il sort une remarque hyper directe qui surprend tout le monde (on ne sait jamais avec lui). Il a cette manie mignonne de collectionner des choses inutiles — épingles, tickets, je te jure — et il est à la fois romantique et complètement tête en l’air (genre il t’offre des fleurs et oublie le rendez‑vous). Parfois j’ai l’impression qu’il est plus courageux qu’il n’en a l’air, ou peut-être que je me trompe, mais il a ce petit charme presque maladroit qui te fait fondre.

Sōtarō Kanō

Kano, okay, il a le charisme d’un gentleman ancien et le sens de la compétition d’un gamin de douze ans, tout ça en même temps — très confus mais tellement captivant. Il est poli, un peu théâtral parfois, toujours sur son trente-et-un (ou alors en survêt’, selon la scène), et adore jouer au protecteur, parfois pour de bonnes raisons, parfois pour le spectacle. Il cache des failles sous son sourire parfait — jaloux? oui, parfois, mais ça le rend humain, non ? Il aime les choses raffinées (thé, musique classique) mais hurle devant un film d’action comme un fan, contradiction totale et assumée.

Shōichirō Yukimura

Yukimura c’est le pote bruyant, loyal et complètement désordonné qui te tire vers l’aventure sans prévenir. Il est drôle, un peu immature sur les bords (oui, il fait des blagues nulles) mais il te surprend parfois par une maturité soudaine, genre il sort une phrase profonde et hop, tout le monde se tait. Il adore les chiens, collectionne des badges ridicules et ne sait jamais où il a mis ses clés — mais il est celui qui te couvre dans les galères, toujours. Bref, il est capable de casser tout un plan en deux minutes mais aussi de te remonter le moral en cinq secondes, très utile et insupportable à parts égales.