À propos du Noragami en quelques mots:

Noragami est une série animée japonaise qui suit les aventures de Yato, un dieu mineur qui cherche à devenir plus puissant en exécutant des tâches divines pour les mortels. Il est accompagné de ses partenaires, Yukine, un esprit sacré, et Hiyori, une fille humaine qui peut sortir de son corps. Ensemble, ils affrontent des esprits maléfiques et tentent de trouver leur place dans le monde des dieux et des humains. La série explore des thèmes tels que l’amitié, la famille et la quête de soi.

Rencontrez les personnages de Noragami

Yato

Yato, c’est LE dieu farfelu qui fait des “petits boulots” pour se faire un nom — et oui, il a un costume bleu misérable et une écharpe qui flotte comme s’il se prenait pour un super-héros (ou un vendeur instantané de miracles). Il est à la fois incroyablement enfantin et terriblement meurtri, genre il te raconte une blague puis te balance un passé flippant — parfois en une seule phrase. Il aime les ramen, les petits porte-bonheurs et apparemment les pièces de cinq yens (ou était-ce les onigiri ? je mélange toujours). Arrogant mais ultra-insecure, il te charme en te faisant des promesses grandioses qu’il ne sait pas toujours comment tenir.

Hiyori Iki

Hiyori, c’est la collégienne pratique et tenace qui finit mi-phantôme sans vraiment s’en rendre compte tout de suite, et bam — tu l’adores parce qu’elle garde la tête froide alors qu’elle perd littéralement l’équilibre (vraiment, elle se prend des murs). Elle est douce, s’occupe de tout le monde, mais peut aussi hurler comme une folle quand on l’énerve — un vrai mélange de calme et de drame en 0,5 seconde. Elle s’accroche à Yato comme si c’était son bricolage préféré, mais déconne tout le temps sur ses propres sentiments (elle dit “je m’en fiche”, puis pleure deux minutes après). Ah et elle a une manie étrange pour les porte-clés et oublie constamment ses clés — cliché adorable mais vrai.

Yukine

Yukine est le gamin rebelle devenu arme, avec toute la rage adolescente et la culpabilité qui va avec — il casse tout et puis il grandit en mode “oops, je suis responsable maintenant”. Il trolle, il vole, il critique Yato, puis soudainement te protège à mort; paradoxal mais logique d’une façon tordue. Il adore les trucs modernes (je le vois bien binge-watcher ou kiffer des jeux — ou est-ce que c’est moi qui invente?), et il a des réactions hyper émotives qui te font fondre et te filer la nausée à la fois. Toujours un peu sale, toujours un peu mignon, et complètement instable de la meilleure des manières.

Bishamonten

Bishamon, wow, la reine des armes — sérieuse, fière, avec une armée de shinki qui la suit comme des potes un peu effrayés; elle gère tout avec poigne et une rancune tenace (ne la trahis pas, sérieusement). Elle est badass au boulot mais possessive et maternelle à l’extrême, genre “je te punis mais je te couvre de cadeaux ensuite” — un peu schizophrénique, oui, mais ça marche. Elle collectionne les épées et les rancœurs (parfois des tasses à thé chères aussi, la classe discrète), et elle porte une rancune qui dure plus longtemps que son devoir. Sous la cuirasse, elle est fragile et cherche des réponses — mais bon, ça ne l’empêchera pas de te trancher si tu fais une erreur.

Kofuku

Kofuku, la déesse de la pauvreté qui est totalement adorable et insupportable à la fois — elle a le sourire d’une enfant et planifie des catastrophes sociales comme si c’était un hobby. Elle est espiègle, manipulateur(ice) et terriblement fidèle; elle prétend être pauvre mais virevolte dans des vêtements super flashy (parfois elle dit aussi le contraire, allez savoir). Elle adore faire des blagues cruelles, mais te protégerait jusqu’au bout — surprenante loyauté, et en prime elle collectionne des bibelots mignons (peluches? talismans?), parfois contradictoirement sérieux. Franchement, impossible de lui en vouloir longtemps parce qu’elle est trop charmante et… dangereusement imprévisible.