À propos du Plunderer en quelques mots:

Plunderer est une série animée japonaise qui se déroule dans un monde post-apocalyptique où chaque personne possède un nombre unique gravé sur son corps. Ce chiffre représente leur valeur en tant qu’individu et peut changer en fonction de leurs actions. L’histoire suit le voyage de Hina, une jeune fille à la recherche de la légendaire Abyss, et de son protecteur Licht Bach, un ancien soldat devenu bandit. Ensemble, ils vont découvrir les secrets de leur monde et affronter de nombreux ennemis pour atteindre leur but ultime.

Découvrez les personnages de Plunderer

Licht Bach

Licht, oh mon dieu, c’est le brooding parfait — taciturne, obsédé par la justice et probablement en train de compter quelque chose dans sa tête tout le temps (mains toujours un peu occupées, je jure). Il a cette aura tragique mais tu sens qu’il ferait n’importe quoi pour sauver quelqu’un, même si ça lui brise le cœur après, encore et encore. Il sourit rarement, puis paf, il te sort une réplique cinglante et on fond tous — ou on pleure, je sais plus — et il garde toujours une petite relique bizarre dans sa poche (thé, caillou, note d’amour?) qui le rend humain. Parfois il a l’air totalement perdu et en même temps hyper méthodique; bref, complexe et irréfutablement cool.

Hina Farrow

Hina c’est l’optimisme ambulant, la gosse qui te botte le cul et te console deux secondes après — hyper énergique mais étonnamment perspicace quand il faut. Elle sait se battre, ne laisse personne la sous-estimer, et pleure pour un rien (séries et mignonneries), c’est cadeau. Elle collectionne les petits trésors inutiles (maillons de chaîne? graines?) et jure qu’elle arrive à communiquer avec les autres d’une façon toute douce — bon, parfois elle panique, parfois elle plane, mais toujours attachante. En gros, c’est la lumière du groupe, un peu tête en l’air mais dangereusement tenace.

Lynn May

Lynn, c’est la bombe à retardement qui adore crier et rigoler après un coup de massue — impulsive, loyale à mort et inexplicablement tactile (elle te serre la main comme si tu étais la seule personne au monde). Elle a un franc-parler décomplexé, mais cache une sensibilité surprenante, genre elle écrit des poèmes dans un carnet qu’elle nie posséder. Bagarreuse mais maternelle, elle t’enverra au front puis t’offrira un pansement en forme de cœur, j’te jure. Parfois elle parle comme si elle sortait d’un manga des années 90, parfois elle te surprend avec un conseil philosophique; la voilà, insaisissable et géniale.

Pele Poporo

Pele est ce type que tu veux dans ton équipe quand la situation part en vrille: drôle, imprévisible, et nullement dérangé par la gravité morale (mais pas méchant, promis). Toujours souriant, un peu clown, il a des idées tordues qui fonctionnent presque toujours — ou échouent dans un grand fracas, selon l’humeur. Il adore les gadgets ridicules et porte souvent quelque chose d’excentrique (chapeau, écharpe, ou un sandwich caché), et il parle avec une énergie contagieuse qui agace et rassure en même temps. Sérieux dans la bataille mais totalement détendu après, comme s’il vivait dans deux temporalités simultanées.

Jail Murdoch

Jail a l’air d’un rocher: inflexible, extrêmement rigide sur ses principes, et franchement terrifiant quand il s’enclenche — discipline à gogo. Mais voilà le truc fou: il lit des romans sentimentaux en cachette, on l’a vu, oui oui, et il rougit comme un ado quand on le surprend, donc contradiction totale. C’est un stratège qui ne plaisante pas, mais il a aussi une faiblesse secrète pour les chats (je te dis, ne le sous-estime pas). Il inspire le respect et la peur en même temps, et parfois juste la pitié — pas souvent, mais parfois.

Nana Bassler

Nana, c’est l’élégance froide qui te tranche avec un sourire poli — mystérieuse, calculatrice, et clairement toujours trois coups d’avance. Elle aime le contrôle; elle aime les jeux d’échecs métaphoriques et les manteaux très chers, mais ironiquement, elle peut s’énerver pour un cookie manquant comme une humaine normale. Son charme est tranchant, elle manipule les situations tout en gardant une loyauté surprenante envers ceux qu’elle juge dignes (et parfois foireuse, parce qu’on est humains). Bref, beauté glaciale et cerveau de malade, mais parfois elle chante dans la douche (ou c’est ce que j’ai entendu).

Mizuka Sonohara

Mizuka, petite mais dangereuse, le genre discret qui fout la zizanie sans que tu comprennes comment; elle a ce calme presque drôle, style “je murmure et ça tue”. Elle parle peu, observe beaucoup, et a des habitudes bizarres comme ranger ses balles par couleur — obsessionnelle, peut-être, mais adorable quand elle rougit (rare). Parfois elle est timide et adore les gâteaux, parfois c’est une bête de combat qui te dépasse en une seconde, contradiction constante mais crédible. On jurerait qu’elle sait tout sur toi et en même temps qu’elle oublie son téléphone dans les pires moments — humain quoi.

Alexandrov Grigorovich

Alexandrov est le big boss taciturne: massif, tranquille, avec une morale de fer et un énorme chagrin caché — il te protège comme un mur et puis te raconte une anecdote sur la musique classique au dîner, allez comprendre. Loyal jusqu’à l’absurde, il agit comme si chaque décision était une balance entre devoir et douleur; souvent il choisit le devoir, puis regrette deux jours après. Il collectionne les tasses à thé (vraiment) et adore les fleurs — contraste total avec sa carrure de tank. Sérieux, si tu veux un allié qui te plongera dans des discours stoïques puis te offrira un biscuit, c’est lui.

Schmerman Bach

Schmerman, le mystérieux de la famille Bach — scientifique, froid, obsédé par le pouvoir des chiffres, mais parfois il laisse échapper un rire nerveux qui te surprend (et te fait tiquer). Il est calculateur, oui, mais parfois il est maladroit socialement comme un ado, ce qui est hilarant et inquiétant en même temps. Il a des principes bizarres et collectionne les stylos (ou des dents? je mélange peut-être), bref il garde tout pour lui mais laisse traîner des indices comme un roman policier. Très intelligent, parfois cruel, rarement tendre, et un peu instable — bref, une recette explosive.

Firenda

Firenda, flamboyante et autoritaire, elle impose le respect dès qu’elle entre dans une pièce — chef née, mais pas que, elle a ce côté maternel inattendu pour les plus faibles. Elle rit fort, boit encore plus fort (ou pas), et a ce sens du devoir qui t’écrase gentiment; parfois elle peut être douce comme une grand-mère et la seconde d’après te hurler dessus, contradiction délicieuse. Elle possède un sens aigu de l’honneur mais adore les détails futiles — bijoux, rubans, trucs brillants — ce qui la rend étrangement humaine. On l’adore, on la craint, parfois on la suit aveuglément, et parfois on la pousse à admettre qu’elle a aussi peur.