À propos du Swallowed Star en quelques mots:

Tunshi Xingkong, ou Swallowed Star, est un récit captivant se déroulant pendant la période du “Nirvana”, une époque où le monde fait face aux répercussions du virus RR. Alors que les animaux infectés se transforment en monstres mortels, les humains se réfugient derrière les murs des villes et l’émergence des arts martiaux donne naissance à des combattants d’élite, les “Guerriers”. Au cœur de cette histoire se trouve Luo Feng, un jeune homme de 18 ans. Initialement tourné vers l’université, une attaque de monstre imprévue bouleverse son destin. En luttant contre les défis personnels, les responsabilités familiales et la menace globale des monstres, le voyage de Luo Feng pour devenir un Guerrier et protéger l’humanité se déploie.

Découvrez les personnages de Swallowed Star

Babata

Babata, c’est ce genre de créature complètement imprévisible qui te fait rire un coup et te fout la trouille la minute d’après — adorable et mortelle, oui les deux en même temps. Loyal à un point presque agaçant, il protège les siens comme s’il avait signé un contrat éternel, même s’il ronfle parfois comme un moulin à vent (véridique). Il a des habitudes bizarres: collectionne des cailloux brillants mais déteste les pierres lisses, va comprendre, et jure qu’il n’a jamais peur de rien alors que bon, il sursaute devant… un ruban. Bref, un mélange de nounours sauvage et de vétéran stoïque, un des personnages les plus attachants et imprévisibles, sérieux.

Gong Xin Lan

Gong Xin Lan, wow, la classe froide incarnée mais pas juste froide pour faire style — elle calcule tout, pèse chaque mot, et quand elle agit c’est comme si elle avait prévu la scène trois jours avant (ou dix ans, qui sait). Elle peut paraître distante mais elle a un code d’honneur têtu, et il y a ce petit goût pour les choses délicates (thés rares, fleurs fragiles) qui te surprend quand tu la vois trancher une situation en deux. Paradoxalement, elle déteste l’injustice mais évite de s’en mêler sauf quand ça la concerne directement, et elle rougit parfois — oui oui, rougit, c’est presque injuste. Franchement, elle est badass sans le crier sur tous les toits, et j’adore ce contraste.

Jiang Fang

Jiang Fang, mystère et calme, genre tu le vois trois fois et tu penses l’avoir cerné — puis il fait un truc totalement inattendu et pouf, tout est à recommencer. Il parle peu, observe beaucoup, et derrière ce silence il y a une loyauté ferrailleuse et des compétences qui te donnent des sueurs froides (précis, méthodique, presque trop parfait). Petit détail marrant: il a une manie de régler sa montre toutes les deux minutes même si elle marche très bien, et il prétend ne jamais être stressé, ce qui est peut-être un mensonge sympa. Il est à la fois ami fidèle et énigme vivante, tu veux le comprendre mais tu veux surtout qu’il t’explique comment il fait pour rester si zen.

Jiang Nian

Jiang Nian, oh la la, douceur explosive, un peu sœur-maman, un peu soldat sur le terrain — elle peut te préparer un repas qui te remettra d’aplomb puis t’entraîner à survivre en milieu hostile, comme si c’était normal. Elle est affectueuse mais t’aussi d’une ténacité rare, râle pour un rien (surtout quand on laisse traîner des chaussettes) et peut devenir glaçante quand quelqu’un touche à sa famille — attention. Elle collectionne les épingles à cheveux (un peu kitsch) et parfois oublie où elle les met, résultat: épingle improbable dans une poche, ça arrive. Elle a ce mélange de chaleur et de responsabilité qui la rend indispensable et terriblement humaine.

Luo Feng

Luo Feng, le héros qui te fait hausser les sourcils parce qu’il est à la fois incroyablement malin et un peu… tête brûlée, sérieux, il planifie à long terme mais adore aussi improviser en mode “allez hop” et ça marche souvent. Sa soif de puissance est presque contagieuse, il veut comprendre, repousser les limites, et il a cet humour sec qui débarque au pire moment possible — j’adore ça. Il construit des trucs, bricole, cuisine bizarrement (goûts discutables, mais ça passe), et pourtant il sait être doux avec ceux qu’il aime; il se vante rarement mais il a confiance, parfois trop. Bref, c’est le cerveau qui court vite et le cœur qui bat plus fort, un mix irrésistible et pas toujours cohérent — mais c’est lui qu’on suit jusqu’au bout.