À propos du Ancient Magus’ Bride: Maho Tsukai no Yome en quelques mots:

Ancient Magus’ Bride: Maho Tsukai no Yome est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Chise Hatori, une jeune fille qui a été vendue comme esclave et qui est devenue la fiancée d’un mage étrange et mystérieux nommé Elias. Ensemble, ils explorent le monde de la magie et de la sorcellerie, tout en découvrant les secrets de leur passé et en affrontant des dangers surnaturels. La série est remplie de personnages intéressants et de paysages magnifiques, et offre une intrigue captivante qui plonge les téléspectateurs dans un monde fantastique et fascinant.

Rencontrez les personnages de The Ancient Magus’ Bride

Chise Hatori

Chise, c’est ce mélange improbable de fragilité et de force brute qui te cloue sur place — elle semble toujours un peu surprise d’exister, et pourtant elle tient le monde sur ses épaules. Timide, maladroite parfois (elle mange des choses bizarres à des heures bizarres, sérieux), mais quand il faut, elle affirme une détermination qui brûle. Elle a cette douceur cassée qui te donne envie de la protéger et aussi de la secouer pour qu’elle voie sa propre valeur, oui, je sais, cliché, mais ça marche. Et puis elle parle aux plantes, aux livres, aux monstres — ou peut-être c’est juste moi qui ai entendu ça une nuit — en tout cas, elle est fascinante.

Elias Ainsworth

Elias est l’archétype du mystère ambulant avec une tête de crâne qui rend tout le monde nerveux mais qui, honnêtement, est incroyablement maladroit en société humaine. Maître, créature ancienne, bibliothécaire de l’étrange, il mélange une politesse rigide et des curiosités d’enfant, genre il veut comprendre les selfies mais oublie comment retenir un prénom. Protecteur étrange de Chise, il oscille entre paternaliste, obsessionnel et franchement tendre — pas toujours à bon escient — et c’est justement ce qui le rend captivant. Et puis il collectionne des objets bizarres et boit du thé comme si chaque tasse était un pacte silencieux avec l’univers.

Ruth

Ruth est le colocataire velu qu’on oublie jamais — familier loyal, énorme, silencieux sauf quand il râle, et pourtant d’une douceur stupéfiante. Il fait peur au début (forcément, il ressemble à un chien-loup qui a vu trop de lunes), mais il est le cœur moral du groupe, la patience incarnée et la meilleure épaule pour pleurer. Il a des habitudes étranges, genre garder des choses brillantes dans une cachette secrète; parfois il réagit comme un gamin, parfois comme un vieux sage grognon, donc impossible de l’enfermer dans une case. Et je jure qu’il connaît toutes les recettes de porridge — ok peut-être pas, mais il aurait l’air de connaître.

Angelica Varley

Angelica, c’est la bourrasque imprévisible — explosive, talentueuse, un peu trop sûre d’elle, toujours prête à foncer tête baissée avec un sourire en coin. Elle peut être terriblement pratique (elle sait manier des outils, faire des plans, casser des verrous) et en même temps profondément romantique d’une façon inattendue — oui, elle vous écrira une carte postale style vieille école, puis brisera une malédiction au petit-déjeuner. Elle parle fort, rit fort, essaie souvent des choses absurdes juste pour tester si la vie est encore vivante, et elle a un goût douteux pour les chapeaux bizarres. On la suit parce qu’on a l’impression qu’avec elle, n’importe quelle folie devient un plan plausible.

Silver

Silver dégage ce truc froid et élégant, style aristocrate lunaire qui sait tout sauf comment se détendre correctement — toujours impeccable, toujours distant, et pourtant parfois étonnamment tendre (surprise). Elle/il a des secrets — beaucoup — et un regard qui te fait sentir observé par un miroir qui sait lire ton âme, mais parfois Silver oublie ses propres règles et fait quelque chose de ridiculement spontané, comme danser sous la pluie. On ne sait jamais exactement où elle/il se range: camarade, mentor taciturne, ennemi potentiel, parfois le clown triste à la fin d’un acte. Et franchement, j’adore sa manière de prononcer les choses importantes comme si chaque mot était un sort.

Lindenbaum

Lindenbaum est cet être ancien qui sent la forêt et le temps comme si c’était des parfums familiers, à la fois inquiétant et extraordinairement paternel (ou maternel? parfois c’est flou, et c’est charmant). Il aime les jeunes apprentis d’une façon étrange — protecteur, vaguement manipulateur, mais c’est pour leur bien, évidemment, selon lui; on n’est pas toujours d’accord mais difficile de le gronder. Il raconte des mythes bizarres au coin du feu, tricote des choses qui ressemblent à des cartes et parfois devient terriblement sérieux sans avertissement, comme si l’univers lui chuchotait un secret. Et je jure que ses chaussettes ne matchent jamais, mais peut-être que c’est parce qu’il a vécu trop longtemps pour se soucier de la mode.

Leanan Sidhe

Leanan Sidhe, c’est la muse dangereuse qui te donne envie d’écrire une symphonie et en même temps te vole un morceau du cœur — élégante, charmeuse, et terriblement affamée d’art et d’émotion. Elle séduit comme on respire, avec des sourires qui vous inspirent et vous consument, et parfois elle est douce, parfois elle est implacable, souvent les deux en une seule phrase. On ne sait jamais si on doit lui faire confiance, parce qu’on obtient des cadeaux incroyables de sa part mais toujours avec un prix invisible qui danse derrière ses yeux. Et franchement, elle collectionne les mélodies comme d’autres collectionnent les timbres — obsessionnelle, magnifique, effrayante, et totalement inoubliable.