À propos du Welcome to Demon School, Iruma-kun! en quelques mots:

Bienvenue à l’école des démons, Iruma-kun! est une série animée japonaise qui suit l’histoire d’Iruma Suzuki, un garçon de 14 ans qui est vendu par ses parents à un démon. Il est ensuite emmené dans le monde des démons et inscrit dans une école de démons où il doit apprendre à se débrouiller dans un environnement hostile. Cependant, Iruma est déterminé à survivre et à réussir dans ce nouvel environnement, tout en cachant le fait qu’il est un humain. La série est une combinaison de comédie, d’aventure et de fantastique, et suit les aventures d’Iruma alors qu’il navigue dans sa nouvelle vie dans le monde des démons.

Découvrez les personnages de Welcome to Demon School, Iruma-kun !

Iruma Suzuki

Iruma, sérieux? Le gars qui arrive du monde humain et devient l’ami préféré de tout le pensionnat démoniaque — c’est lui. Timide, maladroit, mais avec un coeur tellement énorme que tu veux juste le serrer (et parfois le secouer pour qu’il dise non quand il faut dire non), il s’adapte à tout comme un caméléon qui aurait lu trois manuels de survie. Il est étonnamment débrouillard quand il doit protéger ses amis, mais parfois on dirait qu’il oublie comment respirer devant un gâteau (ou est-ce l’inverse?). Ah et petit détail: il a l’air nul en sport mais gagne des concours par accident, vraiment, c’est un peu son super-pouvoir improbable.

Alice Asmodeus

Alice est la définition du cool calculateur — genre aristocrate démoniaque glacial qui te frappe avec un sourire en coin. Il a ce côté princier, un peu condescendant au début, mais quand tu le connais mieux tu vois la loyauté écrite en lettres géantes sur son front (ou sur sa cape). Il est obsédé par la perfection et les règles, et pourtant il fait souvent des trucs imprévus juste pour embêter les autres ou parce qu’il a oublié pourquoi il avait dit non. Et oui, il collectionne des stylos — est-ce utile? Non. Est-ce adorable? Absolument.

Ameri Azazel

Ameri, la présidente du conseil étudiante qui pourrait te juger jusqu’à la mort et te sauver ensuite, dans le même épisode. Elle impose le respect d’un seul regard: élégante, stricte, un peu théâtrale, et tellement digne qu’on se demande si elle n’a pas un château secret quelque part. Mais attention, sous cette armure hyper-polie il y a une fangirl absolue d’Alastor (chut) et un côté tendre qui débarque quand on s’y attend le moins — parfois elle rit comme une folle devant un chaton, oui oui. Parfois je jure qu’elle collectionne aussi des figurines mignonnes et ça casse tout son sérieux et j’adore ça.

Clara Valac

Clara est un ouragan d’énergie condensé en forme humaine: hyperactive, bruyante, gourmande et complètement imprévisible — elle hurle ses pensées et adore faire des bonds au-dessus des meubles. Sérieusement, sa joie est contagieuse; elle transforme n’importe quelle pièce en fête (ou en chaos, même chose). Elle est incroyablement loyale, un peu gaffeuse (elle oublie souvent les détails, genre où elle a mis son chapeau, puis le porte sur la tête), et parfois elle te surprend par une sagesse d’un autre monde — genre, philosophique mais en criant. Oh et petit truc: elle ferait n’importe quoi pour du caramel, mais aussi jure qu’elle déteste le sucré, donc bon, va comprendre.

Kalego Naberius

Kalego, le prof qui crie beaucoup et qui a probablement écrit la moitié des règles de l’école avec sa voix rauque — dur, exigeant, et tellement intimidant que même les murs prennent des notes. Il est sévère, ne supporte pas la fainéantise, mais secrètement (ou pas si secrètement) il tient à ses élèves plus que ce qu’il laisse paraître; il a ce style «tuteur brutal mais affectueux». C’est le genre à pondre des énigmes tordues juste pour te faire réfléchir à 3h du matin et à râler comme un vieux bouc en te donnant un biscuit. Aussi, j’ai l’impression qu’il possède une énorme collection de sweats confortables qu’il nie fermement posséder; classique.

Sullivan

Sullivan, l’autorité mystérieuse qui a l’air d’être partout à la fois — un mélange entre grand-père affectueux et roi un peu déconcertant. Il a une prestance qui impose le respect, des manières de boss digne d’un roman, mais il adore les petites attentions (des fleurs? des tartes? les deux?), ce qui te fait fondre malgré toi. On dirait qu’il manigance des trucs hyper compliqués parfois, puis il te sourit comme s’il venait juste de raconter une blague, et tu ne sais plus si tu dois rire ou t’inquiéter. Petits détails bizarres: il parle parfois aux plantes et jure qu’elles lui répondent, étrange mais crédible chez lui.

Opera

Opera est l’énigme silencieuse du groupe, la présence calme et stylée qui semble connaître trois mille secrets sans jamais hausser la voix. Élégant, un peu distant, mais terriblement efficace — il fait tout avec une grâce presque théâtrale, comme si chaque mouvement était chorégraphié. Parfois il a des gestes très précis et d’autres fois il fait des blagues sèches qui te prennent au dépourvu, donc oui, il a un sens de l’humour (secret). Et puis il adore organiser des choses impeccables, mais il oublie parfois son propre parapluie partout — l’ironie est délicieuse.