À propos du Zombieland Saga en quelques mots:

Zombieland Saga est une série animée japonaise qui suit l’histoire de Sakura Minamoto, une jeune fille qui rêve de devenir une idole. Cependant, sa vie est brutalement interrompue lorsqu’elle est tuée dans un accident de la circulation. Elle se réveille alors dans un monde post-apocalyptique où elle est ressuscitée en tant que zombie. Elle est ensuite recrutée par un producteur excentrique pour rejoindre un groupe d’idols composé uniquement de zombies. La série suit les aventures de ce groupe alors qu’ils tentent de devenir des idoles populaires tout en cachant leur véritable nature de zombies aux fans.

Rencontrez les personnages de Zombieland Saga

The Policeman

Le Policeman, sérieux mais souvent un peu paumé, c’est ce type qui veut juste faire respecter la loi et se retrouve toujours au cœur du chaos des idols-zombies (pauvre gars). Il a cette rigidité professionnelle qui frôle la caricature mais on sent qu’il a un cœur tendre — il nourrit parfois des pigeons? — je jure que oui. Il prend des notes tout le temps, porte un képi impeccable, et pourtant il peut se lever en pleine nuit pour… je ne sais pas, vérifier une alarme? Bref, il est à la fois l’obstacle comique et le symbole de l’ordre dans ce bordel affectueux.

Lily Hoshikawa

Lily, c’est l’explosion de cuteness: petite, pétillante, pleine d’énergie et d’une gentillesse qui vous transperce le cœur (et oui, elle est aussi franchement lucide sur pas mal de choses). Elle adore jouer, faire du cosplay, manger des sucreries et insister pour que tout le monde prenne une photo de groupe, sans exception. Parfois elle parle comme une gamine hyper innocente, puis bam, sortie de sagesse qui te cloue — un combo improbable mais qui marche trop bien. Ah et elle a une obsession bizarre pour les jeux vidéo rétro, vous l’auriez dit? Je jure que oui.

Sakura Minamoto

Sakura est le type de fille qu’on surnomme “l’optimisme ambulant” — naïve, douce, un peu maladroite mais d’une détermination complètement contagieuse. Elle veut juste faire plaisir aux autres, danse comme une flamme et pleure facilement (mais toujours pour des raisons sincères). Elle oublie souvent où elle a mis ses affaires mais se souvient de paroles de chansons entières, allez comprendre; c’est adorable. Franchement, elle porte le groupe émotionnellement, même si parfois elle a l’air prête à s’effondrer — et puis non, elle repart en chantant.

Junko Konno

Junko, oh Junko, c’est la nostalgie incarnée: élégante, un peu mélancolique, parle avec des expressions d’une autre époque (vous la voyez en kimono mentalement, non?). Elle est douce, très polie, mais a des moments où elle est très directe — un contraste qui rend tout plus fascinant. Elle adore les vieux films et les disques vinyles, genre à collectionner les pochettes comme si c’était des trésors, et parfois elle raconte des anecdotes ridiculement précises sur le Showa comme si c’était hier. Et puis, parfois, elle lâche une blague super moderne et tu te demandes d’où elle la sort, incroyable.

Yuugiri

Yuugiri, la classe personnifiée: calme, gracieuse, mystérieuse, elle a ce côté très “femme fatale d’époque” mais capable de faire des stories Instagram parfaitement tendance (ironique, je sais). Elle semble sortie d’un tableau ancien, parle posément, mais n’hésite jamais à restaurer l’ordre quand il faut — discrète mais autoritaire en vrai. Elle adore le thé vert, tient un éventail comme si c’était une arme et a un sens du devoir hyper fort; en même temps, elle peut citer des memes, je le jure. Bref, majestueuse mais pas coincée, et toujours un peu plus profonde que ce qu’on croit.

Ai Mizuno

Ai, la perfection froide au premier abord: chorégraphie millimétrée, regard sérieux, on sent la pro qui a bossé jusqu’à l’os (et qui continue de bosser, sérieux). Elle a un côté tsundere adorable — glaciale puis soudainement hypersensible — et elle garde un carnet où elle découpe ses objectifs comme si c’était des to-do lists de guerre. Elle est très exigeante avec le groupe, parfois un peu trop, mais c’est justement son amour du travail bien fait qui sauve souvent la mise. Et oui, en privé elle mange des biscuits en cachette quand personne ne regarde, petite trahison mignonne.

Saki Nikaidou

Saki, la rebelle au grand cœur: punk-rock, franche, bagarreuse (ou du moins prête à jouer des coudes) mais protectrice comme personne — un vrai bulldozer affectif. Elle adore la moto, les t-shirts de groupes, et elle a ce rire énorme qui remplit la pièce; en même temps elle fond devant un chiot, contradiction parfaite. Elle est impulsive, dit tout haut ce que les autres pensent tout bas, et ça fait d’elle une leader inattendue quand il faut du cran. Bref, sauvage mais hyper loyale, et souvent plus émotionnelle qu’elle ne veut le montrer.

Tae Yamada

Tae c’est l’élément chaotique et totalement imprévisible — paresseuse, bizarre, crue parfois, mais aussi foutrement sincère et attachante, on l’adore pour ça. Elle fait tout de travers en mode “je m’en fiche”, mais bizarrement ça marche souvent et elle finit par voler la scène sans s’en rendre compte. Elle colle des autocollants partout, a des habitudes étranges (genre manger des trucs improbables) et pleure devant des publicités, oui oui. En gros: impossible à cadrer, hilarante et parfois étrangement profonde au moment où tu t’y attends le moins.

Koutarou Tatsumi

Tatsumi, le manager fou mais hyper aimant — il a cette conviction exagérée que tout va marcher et il fonce tête baissée (ce qui cause la moitié des catastrophes, évidemment). Il est bruyant, sentimental, un brin escroc des meilleurs films, mais il ferait n’importe quoi pour ses filles; un vrai papa-chiot avec un mégaphone. Il porte souvent des fringues un peu ridicules, concocte des plans contre-intuitifs et pourtant ça finit toujours par donner une scène mémorable. Sérieusement, il te tire des larmes et te fait rire en trois actes, un homme-orchestre épuisant et génial.