À propos du Oshi no Ko en quelques mots:

Oshi no Ko est une série animée japonaise basée sur le manga du même nom. L’histoire suit une jeune fille nommée Nina qui rêve de devenir une idole populaire. Elle est choisie pour devenir la fille préférée d’un célèbre producteur de musique, mais elle découvre bientôt que sa vie est manipulée par des forces obscures. Avec l’aide d’un garçon mystérieux nommé Ichinose, Nina doit naviguer dans les dangers de l’industrie de la musique et découvrir la vérité sur son passé. La série explore des thèmes tels que la célébrité, la manipulation et l’identité.

Rencontrez les personnages d’Oshi no Ko

Ai Hoshino

Ai, oh Ai — c’est la superstar solaire qui te sourit et te brise le cœur en même temps. Elle est incroyablement maternelle et en même temps calculatrice (non pas froide, juste… stratégique ?), une diva pop qui sait manipuler les projecteurs et les émotions. Sur scène elle brille comme un feu d’artifice, mais parfois j’ai l’impression qu’elle oublie d’être elle-même — ou qu’elle met ça en scène, je sais plus. Et petit truc bizarre mais mignon : je la vois toujours manger un truc sucré entre deux interviews, genre pâte à tartiner à la cuillère, mais après elle ferait une conférence sur la santé, lol.

Aquamarine Hoshino

Aquamarine (Aqua) est la tête froide du trio, genre vengeur professionnel mais aussi étonnamment loyal — un combo dévastateur. Il a ce côté pragmatique, super analytique, et pourtant il peut fondre littéralement devant une scène mignonne (oui, c’est contradictoire, mais c’est ce qui le rend captivant). Il planifie, il guette, il pense à 12 coups d’avance, mais donne-lui un bon dessert et il va peut-être improviser un sourire sincère. Sérieusement, il a l’air d’un dur qui lit des romans sentimentaux en cachette — et non, je ne sais pas si c’est canon, mais je l’imagine.

Ruby Hoshino

Ruby est la boule d’énergie mignonne à côté d’Aqua — elle rayonne, elle joue, elle ne se laisse pas marcher sur les pieds (même si parfois elle a l’air innocente comme un petit nuage). Elle est super attachante, un peu dramatique, adore les glitter et les peluches, mais peut aussi te lancer un regard tellement déterminé que tu comprends qu’elle n’est pas qu’une poupée. Elle change d’humeur en cinq minutes, un peu comme un personnage d’anime qui mange du chocolat puis se transforme en guerrière, et ça marche tellement bien. Petit détail random : je l’imagine toujours avec une paire de chaussettes ridiculement mignonne, même si parfois elle préfère le style un peu plus sombre — contradictions, partout.

Kana Arima

Kana est l’actrice prodige — réservée, intense, avec cette aura “je travaille sans pause” qui file autant l’admiration que la pitié. Elle est froide en public, mais putain, elle s’investit comme personne, ultra professionnelle, et parfois tu la surprends à sourire bêtement devant une scène qu’elle a regardée en douce. Elle peut paraître distante, mais c’est juste sa façon de contrôler tout (et de ne pas perdre la face), et honnêtement c’est fascinant. Et: elle adore les films d’horreur étranges, c’est peut-être pas cohérent avec son image, mais moi j’y crois.

Akane Kurokawa

Akane, c’est la rivale délicieusement compliquée — élégante, tranchante, un peu théâtrale, le genre qui te sert un compliment qui pique et tu te sens à la fois honoré et baffé. Elle a ce talent froid et précis, mais parfois elle laisse transparaître une vulnérabilité minuscule qui te rend fou — attention, je pleure rien que d’y penser. Elle garde ses cartes près du cœur, peut-être trop parfois, et adore la perfection (oui, cliché, mais vrai). Fun fact improbable : je la verrais bien écrire des poèmes bizarres à 3 heures du matin, alors que le lendemain elle fait une scène magnétique — go figure.

Mem-Cho

Mem-Cho, le réalisateur excentrique qui ressemble à mille choses à la fois — un génie un peu fou, obsédé par la narration et les idoles, avec des tics charmants et un sens du spectacle borderline dangereux. Il peut hurler une vision, puis offrir un café hyper sucré en guise d’excuse, et tu l’aimes pour ça (ou tu le redoutes, dépend du jour). Il adore jouer avec les émotions, manipuler les plans, et parfois on se demande s’il ne s’amuse pas juste à semer le chaos pour l’art. Petite note : je jure l’avoir vu porter un pull improbable avec des dessins d’animaux, donc oui il est bizarre mais inspirant à souhait.