À propos du Erased en quelques mots:

Erased (Boku dake ga Inai Machi) est une série d’anime basée sur le manga éponyme de Kei Sanbe. L’histoire suit Satoru Fujinuma, un homme de 29 ans qui possède le pouvoir de remonter le temps pour empêcher les tragédies de se produire. Après avoir été accusé à tort du meurtre de sa mère, Satoru se retrouve projeté 18 ans en arrière, à l’époque où il était encore écolier. Il doit alors résoudre le mystère du meurtre de l’une de ses camarades de classe pour empêcher que sa mère ne soit tuée dans le futur. La série explore des thèmes tels que l’amitié, la famille et le pouvoir de la mémoire.

Découvrez les personnages d’Erased

Satoru Fujinuma

Satoru c’est ce type à la fois banal et complètement hors norme — il a ce don bizarre qui le renvoie en arrière juste au moment où tout va mal, et il en fait autant une malédiction qu’une mission. Toujours un peu fatigué, tête en l’air, il oublie ses clés et son téléphone mais se souvient des détails qui sauvent une vie — allez comprendre. Protecteur jusqu’à l’obsession, il peut être doux et maladroit à la fois, genre super papa malgré lui. Et puis il a ce regard qui change quand il se met à enquêter, sérieux comme une sorte de détective impro, j’adore.

Kayo Hinazuki

Kayo est silencieuse mais pas effacée — elle a une force intérieure qui te cassera le cœur et te fera applaudir en même temps. Enfant traumatisée, méfiante au départ, elle devient une petite guerrière qui se bat pour exister (et oui, elle aime parfois les biscuits au chocolat, c’est cliché mais vrai). Fragile et coriace, elle peut pleurer en douce puis te sourire comme si rien ne s’était passé — ça te met dedans, vraiment. Il y a quelque chose de très ancien chez elle, comme si elle portait des années dans ses yeux et aussi un petit doudou tout miteux, parce que pourquoi pas.

Airi Katagiri

Airi, c’est la collègue sympa qui te sauve la mise et qui rigole tout le temps, mais qui cache une détermination surprenante quand il faut aider Satoru. Elle est solaire, communicative, mais parfois son côté naïf la rend hyper touchante — genre elle croit aux bonnes personnes, parfois trop. Super débrouillarde sur le net et curieuse comme pas deux, elle fouille, appelle, encourage, bref elle n’abandonne jamais. Et elle a ce petit rituel bizarre de boire du café glacé à minuit — peut-être que c’est dramatique, peut-être que c’est pour le style, qui sait.

Sachiko Fujinuma

Sachiko, la mère, c’est un roc doux: protectrice, intelligente et terriblement humaine, elle porte une culpabilité et un courage qui t’émoustillent (oui, j’ai dit émoustillent, bon). Elle sait écouter et se battre en silence, prête à tout pour son fils, mais elle a aussi des moments d’épuisement où elle veut juste disparaître dans un bain chaud — normal. Elle n’est pas parfaite, fait des choix discutables parfois, et c’est ce qui la rend vraie. Et elle a une manie de chanter n’importe quelle pub à la radio — rassurante et étrange.

Jun Shiratori

Jun, hum, c’est le genre de mec discret mais qui te fait confiance direct, un bon gars du coin avec un truc un peu maladroit; parfois il parle trop, parfois il se tait, donc c’est drôle. Il a un rire qui met tout le monde à l’aise et des réactions qui te surprennent — il peut être totalement banal puis très intense en une seconde. Loyal, parfois trop confiant, il est la personne sur qui tu veux tomber quand la situation se complique (ou pas, parce qu’il panique aussi). Et il a probablement une collection de t-shirts ridicules qu’il ne montre jamais, je le sais, je le sens.

Kenya Kobayashi

Kenya, c’est le copain fiable, un peu grand, franc du collier, bref la voix de la raison quand tout part en cacahuète — et il a un sens de l’humour sec qui arrive pile au bon moment. Il réfléchit, recoupe les infos, fout des coups de pied dans des portes métaphoriques, et il le fait avec une sorte de bonté rugueuse. Paradoxalement il aime les petites choses simples (thé, jeux vidéo nuls) et les grands gestes de loyauté — très contradictoire et trop attachant. Ah et il a cette manière de froncer les sourcils qui veut dire « ok, on y va », j’adore ce tic.

Gaku Yashiro

Gaku est la perfection sur roues: prof charismatique, poli, doux… puis BAM, t’apprends que sous le sourire y’a un calculateur glacial — maître manipulateur, véritable serpent habillé en costume. Ce qui fait flipper, c’est que tout a l’air normal chez lui, il collectionne les petites attentions et les détails, trop propre, trop gentil, comme une poupée en porcelaine. Il est intelligent au point que ça en devient effrayant, et en même temps il a des habitudes ridiculement banales (un café précis, une manière de noter ses rendez-vous) qui te donnent la chair de poule. On veut le détester mais on est aussi fasciné; c’est l’ennemi parfait parce qu’il sait jouer le rôle du sauveur.