Qui es-tu dans Madoka Magica en fonction de tes préférences alimentaires ?
Si tu es fan de l'univers de Madoka Magica, tu as sûrement déjà imaginé à quel personnage tu pourrais ressembler. Mais as-tu déjà pensé que tes préférences alimentaires pourraient en dire long sur ton personnage idéal ? Ce quiz te permettra de découvrir qui tu serais dans Madoka Magica selon tes choix culinaires. Es-tu plutôt sucré ou salé ? Plutôt viande ou végétarien ? Réponds à ces questions et bien d'autres pour découvrir ton personnage dans cet univers fantastique. Alors, es-tu prêt à découvrir qui tu es dans Madoka Magica ? Clique sur le bouton Commencer pour démarrer le quiz !

À propos du Madoka Magica en quelques mots:
Madoka Magica est une série d’animation japonaise qui suit les aventures de cinq jeunes filles qui ont été choisies pour devenir des magical girls. Elles ont le pouvoir de combattre les sorcières et de protéger le monde des ténèbres. Cependant, elles doivent faire face à des choix difficiles et à des conséquences tragiques alors qu’elles découvrent la véritable nature de leur mission. La série est connue pour son intrigue sombre et complexe, ses personnages bien développés et son animation visuellement époustouflante.
Découvrez les personnages de Madoka Magica
Kyoko Sakura
Kyoko c’est la boule d’énergie rouge qui entre dans une pièce comme un feu d’artifice, elle crie, mange des trucs étranges (séries de brochettes? confiture? je te jure je sais plus) et a un sens de l’honneur tordu mais solide. Elle adore bagarrer, hurler et sauver les appâts — enfin, sauver les autres — sauf quand elle veut juste bouder dans son coin en mangeant un paquet de chips. En surface elle est cash et égoïste, mais bon, où est la ligne? Spoiler : elle casse cette ligne à coups de pique. Elle est imprévisible, attachante et franchement trop cool pour son propre bien.
Homura Akemi
Homura c’est la fille stoïque qui remet le temps à zéro comme si elle rembobinait une playlist, très calme, très obsédée, un peu terrifiante parfois, et toujours en mission. Elle parle peu, mais ses regards parlent énormément — souvent “je vais te protéger” et parfois “je vais te tuer si nécessaire”, c’est confus mais génial. Elle est froide extérieurement mais ses actions sont d’un romantisme tordu (oui, romantisme, j’ai dit) et incroyablement dévouées à une personne. Paradoxalement elle peut être à la fois broyeuse de destinées et petite-fille gardienne d’un idéal.
Sayaka Miki
Sayaka, c’est l’ami impulsif qui saute toujours la première, réfléchit jamais, chante sous la douche (peut-être), et croit dur comme fer à la justice — et ça la rend à la fois héroïque et tragique. Elle a un cœur immense, des idéaux bruts, et une loyauté qui explose en tempête quand on la trahit; bon, parfois elle fait des choix pas très réfléchis, mais c’est touchant. On dirait une ado qui veut sauver le monde avec une guitare électrique, sérieux. Elle est lumineuse, blessée, géniale, et parfois complètement contradictoire (comme aimer les bains moussants mais vivre pour la baston).
Madoka Kaname
Madoka est adorable, super gentille et un peu maladroite, tu sais la copine qui s’excuse même quand ce n’est pas sa faute — mais attention, sous cette douceur il y a une force cosmique. Elle rêve peut-être d’une vie normale, mais son cœur est assez grand pour avaler des univers, littéralement — elle devient quelque chose d’énorme, belle et sacrifiée. Elle est naïve et hyper mature en même temps, ce qui est frustrant et magnifique; parfois elle braille, puis cinq minutes après elle sauve l’humanité. Bref, Madoka c’est la gentillesse qui explose et devient mythique, un peu cliché mais vrai.
Mami Tomoe
Mami, oh Mami, la mentor élégante qui sert le thé avant de pulvériser des sorcières avec des fusils — elle a ce côté lady victorienne et aussi “toujours prête à faire un câlin”, sauf qu’elle adore tirer à couvert. Elle est posée, classe, raconte des histoires de panache et de discipline, et on dirait qu’elle a le don pour organiser tout le monde (même si parfois elle exagère un peu la théière). Elle a des manières, un sourire chaleureux, et un petit côté dramatique qui te fait craquer; et hum, elle peut être étonnamment vulnérable aussi. Elle est mentor, tragédienne et parfaite dans son imperfection, souvent trop sérieuse pour son propre bien.
Kyubey
Kyubey, ce petit truc blanc avec des yeux rouges, a l’air innocent comme un chaton cosmique mais en vrai il te vend ton destin avec un sourire sans émotion et une logique froide — genre “contrat ? oui, bien sûr” et bam. Il parle comme un argumentateur implacable, sans empathie, et te donne des souhaits comme on distribue des flyers, très démocratique, très sinistre. C’est fascinant et creepy à la fois, parce qu’il est adorable ET parfaitement amoral, ce qui est insupportablement drôle. Je te jure, il joue à la roulette des âmes avec une voix douce, et ça te reste dans la tête.
Nagisa
Nagisa est un petit mystère mignon – doux, rondouillet, aime les desserts et parfois paraît venir d’un conte de fée tordu; elle est solaire et un peu bizarre, mais dans le bon sens. Elle a un cœur d’enfant et des manières enfantines, mais attention, elle a aussi des résonances étrangement profondes et parfois une force étonnante. Elle parle de bonbons et de vrais sentiments dans la même phrase, ce qui donne des interactions géniales et un peu surréalistes. Bref, Nagisa, c’est la bouille innocente avec un twist qui te fait fondre et froncer les sourcils en même temps.
Junko Kaname
Junko, la mère de Madoka, est ce genre de maman chaleureuse, super pragmatique et un peu étourdie qui lance des répliques pleines d’amour — parfois maladroite, parfois incroyablement lucide. Elle gère la maison comme si c’était facile (spoiler : c’est pas), a un sens pratique énorme et pourrait te faire un repas qui recolle toutes les fissures familiales, ou du moins essayer. Elle est à la fois drôle et protectrice, un peu bohème parfois, et très humaine; jamais parfaite, mais toujours là. Et bon, elle a ce petit côté “je sais pas mais je tente”, ce qui la rend hyper relatable.
Madoka Goddess
Madoka Goddess est la version cosmique et lumineuse de Madoka — gentillesse infinie, compassion universelle, et une aura qui transforme tout en délicatesse poétique. Elle est à la fois mère, déesse, lumière et un peu déconnectée du quotidien (genre elle comprend l’univers mais oublie parfois où elle a mis ses gants, non je plaisante… ou pas). Sa présence est douce mais écrasante, sauvant et repeignant la réalité d’une tendresse presque douloureuse. C’est beau, tragique, et synonyme d’un idéal trop pur pour ce monde — incroyable et un peu triste.
Devil Homura
Devil Homura, la version tordue et vengeresse, c’est la coolitude noire incarnée : bras croisés, regard glacial, plan machiavélique et cœur qui bat encore pour une personne — oui, comique et horrible à la fois. Elle manipule, détruit, reconstruit et ne sourit presque jamais, sauf parfois très bizarrement, comme si c’était une victoire sur quelque chose qu’on ne comprend pas. Elle est à la fois cruelle et incroyablement romantique (la base du drame), et ses contradictions te donnent des frissons — haine et amour imbriqués, massacrant le monde au nom d’un espoir tordu. Bref, dangereuse, séduisante, et totalement inoubliable.
