À propos du SK8 the Infinity en quelques mots:

SK8 the Infinity est une série animée japonaise qui suit la vie de Reki, un lycéen passionné de skateboard qui rêve de devenir professionnel. Un jour, il rencontre Langa, un nouvel étudiant qui a déménagé au Japon depuis le Canada. Bien que Langa n’ait jamais pratiqué le skateboard auparavant, il est immédiatement attiré par le sport et décide de s’entraîner avec Reki. Ensemble, ils participent à des compétitions de skateboard et affrontent des adversaires redoutables. La série est remplie d’action, de compétition et d’amitié, et est un must pour tous les fans de sports extrêmes.

Découvrez les personnages de SK8 the Infinity

Reki Kyan

Reki, c’est l’ami hyper enthousiaste qui te saute dessus pour te montrer une figure insensée à 3h du matin — il vit pour le skate, les dessins et les projets farfelus. Toujours en train de griffonner des mangas ou de bricoler des planches, il a l’air d’un gamin qui n’a jamais grandi (et en même temps il devient bizarrement sérieux quand ça compte). Un peu bruyant, beaucoup d’amour propre, il veut constamment entraîner tout le monde avec lui — parfois avec succès, parfois en train de trébucher de façon adorable. Fait étrange : il collectionne les autocollants mais prétend ne rien collectionner du tout, jure que c’est “pratique”, on croit tout et rien.

Langa Hasegawa

Langa, c’est la glace douce : calme à l’extérieur, mais quand il lâche, on voit une intensité qui te cloue sur place — énorme talent naturel, surtout après être venu du snowboard, il skatte avec une précision presque silencieuse. Il ne parle pas beaucoup, sauf quand il laisse échapper une phrase qui te transperce, et il semble toujours être en train d’observer quelque chose que nous ne voyons pas. Franchement, il est du genre à oublier son téléphone mais connaître la trajectoire parfaite d’une rampe — oui, ça fait sens si on y pense à moitié. Il boit beaucoup de thé, je crois… ou était-ce du café? (Je mélange peut-être.)

Miya Chinen

Miya est ce gamin prodige qui a l’air petit et discret mais qui te surclasse avant même que tu aies fini de respirer — méthodique, froid sur le moment et terriblement efficace, il joue presque comme un robot qui aurait appris l’art du skate. Très concentré, il n’aime pas les distractions mais a des moments de douceur surprenante où il sourit comme si c’était interdit. Il peut paraître impassible mais il est franchement compétitif à l’intérieur, et parfois tu le surprends avec un jouet ridicule dans son sac et tu sais plus quoi penser. Parfois il veut qu’on l’appelle «sérieux», parfois il se met à faire des grimaces — contradiction adorable, j’adore.

Hiromi Higa

Hiromi, c’est la boule d’énergie qui hurle à chaque descente et qui transforme un parking en scène de concert improvisée — il est passionné, un peu impulsif, mais terriblement loyal à ses potes. Il fait des blagues douteuses, se prend pour le centre du monde et ensuite, cinq minutes après, te ramène un sandwich parce qu’il a senti que t’étais triste (oui, imprévisible). Il a un style un peu crado mais charmant, et il connaît sûrement trois chansons par cœur que personne d’autre ne connaît — il les fredonne à des moments inopportuns. Parfois t’as l’impression qu’il va tout casser, puis il te surprend par une douceur presque timide, c’est confus mais c’est parfait.

Kaoru Sakurayashiki

Kaoru, wow, il a ce truc élégant et théâtral, genre on dirait qu’il sort d’une boutique de fleurs, mais sur la rampe il devient une bête concentrée — il aime l’esthétique, la mise en scène, et il a sûrement un pinceau ou une fleur dans sa poche (ou pas, je le vois bien changer d’avis). Raffiné mais féroce quand il faut, il peut te charmer avec un sourire et te battre avec une figure parfaite juste après. Il adore que tout soit beau, pourtant il n’hésitera pas à plonger dans le chaos pour gagner, oui, paradoxal. Et il a ce rire un peu trop léger qui te fait douter si tu respectes les bonnes priorités, mais tu finis par rigoler aussi.

Kojiro Nanjo

Kojiro, c’est le titan taciturne qui inspire autant de crainte que de respect — grand, costaud, sérieux comme un rocher mais avec des éclairs d’humour sec qui percent de temps en temps. Il a cette aura de mentor un peu bourru, tu sens qu’il a vécu des choses, qu’il n’ouvre la bouche que quand ça vaut le coup, et quand il parle tout le monde écoute (ou alors il grogne, mais ça marche pareil). Il cuisine probablement mieux qu’il ne paraît et a une collection secrète de trucs rétro, ou c’est une invention? (possible.) Parfois il boude comme un ado et l’instant d’après il te couvre d’un attention inattendue — gros cœur sous l’armure, cliché mais vrai.