À propos du Fate/Stay Night en quelques mots:

Fate/Stay Night est une série animée qui suit l’histoire de Shirou Emiya, un jeune homme ordinaire qui se retrouve impliqué dans une guerre secrète entre sept mages qui invoquent des esprits héroïques pour combattre pour le Saint Graal. Shirou est choisi par le servant Saber, une guerrière légendaire, pour devenir son maître et l’aider à remporter la guerre. Cependant, Shirou doit apprendre à maîtriser la magie et à survivre aux attaques des autres mages et de leurs servants. La série explore des thèmes tels que le sacrifice, la loyauté et la destinée, tout en offrant des combats épiques et une animation de haute qualité.

Découvrez les personnages de Fate/Stay Night

Shirou Emiya

Shirou, c’est ce type attachant qui te donne envie de crier “mais non, repose-toi un peu!”, sérieux mais complètement tête brûlée quand il s’agit d’aider les autres. Il est obsédé par l’idée de sauver tout le monde — parfois je jure qu’il se réveille la nuit en brodant des plans improbables pour réparer le monde — et en même temps il adore les nouilles instantanées, étrange combo. Il répare des choses, fabrique des armes avec trois bouts de ferraille et semble toujours un peu surpris par sa propre gentillesse. Parfois il est incroyablement naïf, puis bam, une détermination de fer; c’est contradictoire mais c’est ce qui le rend vrai.

Saber

Saber est la chevaleresque reine réincarnée, stoïque, digne et incroyablement fière — genre, elle pourrait te tuer avec son regard et en même temps planter un rosier (vraiment). Elle déborde d’honneur et d’un sens du devoir presque vieux jeu, mais elle a ce petit faible pour les choses simples comme le thé parfait ou… euh, les biscuits, oui les biscuits, pas très médiéval. Son sérieux peut te glacer, mais elle s’efforce, boum, d’être juste — et parfois elle rougit, doucement, quand c’est pas du tout prévu. En vrai, elle est plus fragile que ce qu’on croit et ça casse le cœur (j’en ai parlé à mes plantes).

Rin Tohsaka

Rin c’est la tsundere raffinée qui te jette des gemmes magiques et des remarques piquantes, élégante, bornée, super compétente — et accessoirement elle a l’air de toujours avoir un livre sous la main. Elle maîtrise la magie avec style, adore la compétition et garde un chat imaginaire dans sa poche (je te jure, parfois elle le sort pour justifier sa mauvaise humeur). Elle peut être sarcastique à mort, puis tout à coup hyper protectrice, un vrai yoyo émotionnel mais tellement fiable quand il faut. Ah, et elle a probablement une collection secrète de bonbons qui ne correspond pas du tout à son image sérieuse — on l’espère.

Archer

Archer, c’est le type cynique qui parle d’avenir brisé comme si c’était une vieille blague, sarcastique, brillant et toujours en train d’anticiper ta réplique — il est brutalement honnête et franchement drôle quand il veut l’être. Il a des idéaux tordus, un sens du sacrifice qui pique, mais il garde une distance froide, genre “je m’en fous” qui cache tout sauf l’indifférence. Il range ses flingues, aiguise ses lancers et râle sur tout, mais parfois il fait une blague nullement attendue et tu craques. Ah oui, il aime le thé noir, ou était-ce le café? Je confonds toujours, mais peu importe, élégant et ambigu, voilà.

Sakura Matou

Sakura est douce comme un murmure et pourtant y’a un orage dedans, elle sourit en plantant des fleurs et parfois ça me fait peur parce que le contraste est trop fort. Elle est gentille, ultra réservée, et puis parfois elle déraille — pas un truc cool, quelque chose de lourd et difficile, mais elle tient bon, histoire de survie et d’amour tordu. Elle adore le jardinage (ou c’est la pâtisserie ?), bref elle s’occupe des petites choses et c’est ce qui la rend fragile et résiliente à la fois. On sent qu’elle cache des cicatrices, mais elle a des moments de douceur qui te frappent en plein cœur, souvent inattendus.

Rider

Rider, c’est la charmeuse mystérieuse au grand manteau, royale d’un autre monde, un peu sauvage, terriblement indépendante et complètement dévouée à ses propres codes. Elle a ce côté “je vais te faire tourner la tête” et en même temps elle pleure devant les couchers de soleil comme une adolescente (vraiment). Elle est imprévisible, puissante, aime les voyages nocturnes et les bijoux brillants, mais elle peut aussi être maladroite en cuisine — ne lui demande pas de couper un oignon. Bref, élégante mais dangereuse, et quand elle sourit c’est dangereux (trop cliché? peut-être, mais c’est vrai).

Illyasviel “Illya” von Einzbern

Illya, OMG, elle est mignonne comme tout et en même temps c’est la petite magicienne qui peut te terrifier si tu la prends à la légère; enfantin et effrayant, mélange parfait. Elle collectionne les peluches, adore les sucreries (pudding forever) et parfois joue à la poupée tout en gardant un regard comme “je peux détruire le monde si je veux”, dissonance délicieuse. Elle a un côté dramatique et théâtral — on dirait qu’elle récite des lignes même quand elle fait ses devoirs — et pourtant elle peut être sincèrement chaleureuse. Contradictoire? Oui, mais tellement attachante que tu veux la protéger et la chouchouter en même temps.

Kirei Kotomine

Kirei, le prêtre à l’allure calme mais vraiment trop perturbant, ce mec inspire un frisson même quand il sourit — et ses blagues sont mauvaises, genre vraiment mauvaises, mais il les fait quand même. Il a une obsession pour comprendre les choses sombres (pas en mode gore mais plutôt “pourquoi les gens font ça?”), et il porte des cravates qui ne vont jamais ensemble, j’ai remarqué, toujours étrange. Il paraît froid et rationnel, mais il se laisse parfois surprendre par des plaisirs simples comme un café trop sucré — contradiction totale, oui. Bref, calme en apparence, mais on sent que quelque chose gronde sous la surface, vraiment pas quelqu’un à sous-estimer.

Gilgamesh

Gilgamesh est l’excès incarné: arrogant, doré, prétentieux jusqu’à l’os, et il adore se pavaner comme s’il possédait tout — ce qui, eh bien, lui va mieux que tout. Il collectionne des trésors, crache des répliques royales, et te regarde comme si tu étais un divertissement temporaire, mais parfois (je dis bien parfois) il est franchement drôle sans le vouloir. Il peut être détestable et fascinant en même temps, genre un soleil qui brûle mais que tu ne peux pas lâcher des yeux; et je jure qu’il doit avoir un faible secret pour les chats en or, ou pas, mais imaginez. Bref, incontournable, égotique, irrésistible si on aime le chaos en costume.