À propos du Moriarty The Patriot en quelques mots:

Moriarty The Patriot est une série animée qui suit les aventures de William James Moriarty, un génie criminel qui cherche à éliminer les injustices sociales de l’Angleterre victorienne. Avec l’aide de ses frères adoptifs, Louis et Albert, Moriarty utilise ses compétences pour orchestrer des complots et des plans élaborés pour se venger des riches et puissants qui exploitent les plus faibles. Cependant, le détective Sherlock Holmes est sur leurs traces et cherche à les arrêter. La série explore des thèmes tels que la justice, la vengeance et la moralité dans un contexte historique fascinant.

Rencontrez les personnages de Moriarty The Patriot

William James Moriarty

William, c’est la froideur irrésistible incarnée, le cerveau qui remonte les idées comme on arrange des pièces d’échec — toujours trois coups d’avance et un sourire qui veut dire “je sais”. Il dirige la Fraternité avec une main de fer mais curieusement il a des tics adorables quand il est seul (il parle aux cartes à jouer, oui, vraiment). Terriblement altruiste et en même temps terrifiant, il veut changer le monde mais parfois se perd dans ses propres règles — et il pleure devant les vieux films muets, jure. On dirait quelqu’un qui écrirait des manifestes à la plume et qui se ferait livrer des beignets à minuit; random, je sais, mais ça colle.

Sherlock Holmes

Sherlock, le classique: génie exaspérant, insensible parfois, mais fascinant à regarder comme un feu qu’on sait dangereux — on ne peut pas détourner le regard. Il analyse tout, les expressions, les miettes, l’odeur de ton manteau, et te dit la vérité comme si c’était une blague pas drôle; en vrai il a un cœur mais le cache sous une pile d’observations. Violon au coucher du soleil, cafés à 3h du matin, dédain pour les normes sociales mais il adore secrètement les comédies musicales (si, si, il a honte). Et il perd souvent ses gants, contradiction parfaite: tellement méthodique et pourtant désordonné sur les petits trucs.

Albert James Moriarty

Albert, oh la classe froide: aristocrate poli, sourires parfaits, l’air de toujours savoir où sont ses gants (même si parfois il les perd vraiment, argh). Il est le manteau impeccable et la main qui manie politesses et poisons sociaux — stratège social plutôt que militaire, presque effrayant dans son calme. Parfois il se met à rire très fort pour briser la tension, chose qu’on aurait jamais cru possible, et collectionne des miniatures de navires (vraiment, qui s’y attend?). Raffiné mais avec des éclairs de cruauté, c’est le type qui te sert le thé avant de te dévisager pour mieux te manipuler.

John H Watson

Watson, le pilier chaleureux: médecin, soldat aux cicatrices, loyal comme un chien et plus humain que tout le monde réuni. Il raconte les histoires (forcément il embellit un peu, avoue), protège ses amis avec cette honnêteté simple, et en même temps garde des souvenirs militaires dans une boîte qu’il n’ouvre qu’en hiver. Il boit toujours du café noir mais parfois il craque pour le lait chaud à la vanille — hypocrisie adorable? — et il porte des chaussettes dépareillées comme un héros secret. Bref, il est l’ami qu’on voudrait tous avoir, maladroit parfois mais irremplaçable.

Mycroft Holmes

Mycroft, le grand frère bureaucrate: tellement intelligent que ça en devient une arme, et ennuyant pour certains mais terriblement utile (il sait qui a mangé la dernière tarte, littéralement). Fonctionnaire d’état, il manipule les coulisses du pouvoir avec des sourcils levés et des dossiers bien rangés, sauf quand il laisse ses dossiers tomber par terre par pure flemme — oui, contradiction. Il déteste le superflu mais collectionne les parapluies (tous différents, évidemment), et il sait des secrets que vous ne voulez pas connaître; en gros, un iceberg politique qui lit des romans sentimentaux en cachette.

Louis James Moriarty

Louis, le petit feu d’artifice familial: impulsif, théâtral, il adore faire des entrées dramatiques et ensuite s’excuser avec des gâteaux fait maison (souvent trop sucrés). Il a un cœur énorme, des idées folles, et une tendance à se lancer dans des plans illogiques mais curieusement efficaces — et oui, il aime les peluches, très sérieusement. Brillant mais immature parfois, il peut être à la fois le membre le plus tendre et le plus dangereux, genre “je te sauve en faisant exploser la banque” (non, non, ne faites pas ça). Sa loyauté est totale; il te défendra même si tu as volé sa dernière part de tarte.

Sebastian Moran

Sebastian, le tireur d’élite aux nerfs d’acier: ancien soldat, silencieux, précis, il est la main droite qui frappe quand les mots ne suffisent plus. Il a un regard qui en dit long et des habitudes étranges — collectionne des cartes postales de feux d’artifice et en a peur en même temps, oui l’énigme ambulante. Loyal à Moriarty mais pas un suiveur aveugle; il rit parfois d’un humour très sec (souvent inapproprié), et porte toujours un chapeau bizarre qui semble avoir sa propre personnalité. En public il est calme, en privé il parfois chante des chansons militaires à voix basse — déroutant mais vrai.