À propos du Code Geass en quelques mots:

Code Geass est une série d’anime japonaise qui suit l’histoire de Lelouch Lamperouge, un étudiant de l’Académie Ashford qui, après avoir reçu un pouvoir mystérieux appelé Geass de la part d’une mystérieuse fille, décide de se rebeller contre l’Empire de Britannia. Lelouch forme une organisation de résistance appelée les Chevaliers Noirs et utilise son pouvoir pour manipuler les autres afin de réaliser ses plans. La série est remplie d’intrigues politiques, de mecha et de combats intenses, ainsi que de personnages complexes et intéressants.

Découvrez les personnages de Code Geass

Lelouch

Lelouch, c’est le cerveau dramatique par excellence — calculateur, charismatique et toujours un plan dans la poche (ok, souvent deux plans). Il vit pour la stratégie et les gestes théâtraux, genre il met une cape juste parce que ça rend tout plus épique, sérieux. Paradoxalement il peut être incroyablement tendre — surtout avec sa sœur — et d’une froideur glaçante cinq minutes après, ce qui vous laisse toujours un peu étourdi. Il aime le pouvoir comme d’autres aiment le chocolat (ou pas, j’ai des souvenirs flous de lui boudant des desserts?), bref, tragique mais magnétique.

C.C.

C.C. est l’énigme ambulante, immortelle, flegmatique et dangereusement charmante — toujours un sourire à demi caché. Elle mange de la pizza comme si c’était un rituel sacré (vraiment, qui l’aurait cru?) et parle peu mais quand elle parle ça compte, forcément. On ne sait jamais si elle manipule tout ou si elle est juste très fatiguée de tout ça, et les deux sont probables. Elle a ce petit côté joueuse (et parfois totalement insouciante) qui rend chaque apparition délicieusement imprévisible.

Suzaku

Suzaku, l’idéaliste tête brûlée, toujours prêt à sauter dans l’action avec un sens moral qui ferait pleurer un saint; il est étonnamment naïf parfois et terriblement déterminé. Il veut tout réparer par l’ordre et la loi, mais bon, la violence le suit malgré lui — contradiction humaine, you know? Il est incroyablement loyal (voire collant) et pourtant il peut se retrouver à prendre des décisions qui surprennent même ses amis. Aussi, il a l’air d’aimer les petits-déjeuners ultra-sains mais je jure l’avoir vu engloutir des frites une fois — la vie est une énigme.

Kallen

Kallen, explosion de feu sur deux jambes, pilote géniale et tête brûlée qui ne se laisse pas faire — je l’aime trop. Elle râle, se bat, protège ses idées et conduit un Knightmare comme si c’était une extension de son corps; en même temps, elle a des moments de douceur presque embarrassants, vous savez, type regarder les étoiles en silence. Elle bouge entre extrême sérieux et hyperactivité, et parfois elle chante sous la douche (je l’imagine du moins). C’est la combattante passionnée qui garde un cœur étonnamment tendre caché sous son cuir.

Rivalz

Rivalz est le copain maladroit et adorable du groupe, beaucoup de gêne, beaucoup de candeur, toujours le ventre qui parle avant le cerveau (friends focus: bouffe). Il est drôle, loyal à l’excès et souvent totalement inepte en tant que stratège, mais étonnamment bon quand il faut soutenir moralement — un vrai pilier «soft». Il collectionne des snacks, oublie des rendez-vous héroïques et puis revient avec une excuse rocambolesque; parfois ça marche, parfois non. Bref, relief comique mais pas juste un cliché, on l’aime pour son cœur énorme et ses gaffes constantes.

Lloyd

Lloyd (Asplund, oui le scientifique un peu lunaire) est le type excentrique qui sourit quand le monde part en vrille; brillant, curieux, et un poil dangereux. Il a ce côté professeur farfelu — thé à la main, lunettes un peu glissantes — mais gare à celui qui le sous-estime, parce que ses inventions sont à la fois géniales et terrifiantes. Il adore théoriser sur tout (parfois sans finir ses phrases) et paradoxalement il est très sociable, toujours en train de blaguer. On ne sait jamais si on doit l’applaudir ou se cacher, et honnêtement, c’est ce qui le rend fascinant.

Kaname

Kaname Ohgi, leader de terrain au charme roublard, style «on improvise et on gère», père spirituel de l’équipe en somme. Il fume parfois (oui, cliché mais vrai), parle avec un ton usé par la rue et a ce côté «j’ai trop vécu pour toi» qui est à la fois rassurant et franchement fatigant. Il sait écouter et motiver, et en même temps il jure comme un marin quand ça chauffe — adorablement humain. Parfois il est stratégique, parfois il se laisse emporter par l’émotion, ce qui le rend totalement imprévisible mais fiable quand il le faut.

Milly

Milly Ashford, la reine du chaos organisé, dramatiquement théâtrale et absolument incapable d’avoir l’air sérieux pendant plus de deux minutes. Elle adore les spectacles, les fêtes, et surtout faire tourner le monde comme si c’était une émission de télé (ce qui, okay, est un peu inquiétant). Malgré tout ce tapage, elle a un flair politique effrayant et une capacité à manipuler les situations mieux que la plupart des gens — oui, qui l’eût cru? Elle collectionne les peluches ET les trophées de chaos, contradiction parfaite.

Cecile

Cecile Croomy est douce, profondément maternelle et étonnamment solide quand il faut protéger les siens; elle a ce calme qui rassure mais qui peut devenir implacable en cas de besoin. Elle est professeure/tutrice parfois, et elle sait se montrer ferme sans jamais perdre sa gentillesse — un vrai équilibre. Je la vois bien préparer des repas super réconfortants le soir, puis mettre une playlist métal à minuit (oups, oui j’imagine des choses). Bref, elle est l’oreille raisonnable du groupe, avec un cœur énorme et des ressources insoupçonnées.

Villetta

Villetta Nu, ah elle est compliquée et c’est ce qui la rend intéressante — jalouse, fragile, obstinée et parfois incroyablement maternelle, tout ça en quatre actes. Elle passe du rôle de femme ordonnée et rigide à pilote enragée avec une vitesse étonnante, et elle collectionne les contradictions comme d’autres collectionnent des broches. Elle veut être reconnue, aime l’ordre mais a des accès d’émotion qui la rendent vulnérable (et franchement humaine). On ressent constamment qu’elle essaie de se recomposer, parfois maladroitement, et c’est poignant et déroutant à la fois.