À propos du Black Sails en quelques mots:

Black Sails est une série télévisée dramatique américaine qui se déroule au XVIIIe siècle dans les Caraïbes. Elle suit les aventures du capitaine pirate légendaire Flint et de son équipage, qui naviguent à travers les mers pour trouver un trésor qui pourrait changer leur vie. La série est remplie d’intrigues politiques, de batailles navales épiques et de personnages complexes et fascinants. Elle explore également les thèmes de la loyauté, de la trahison et du pouvoir dans un monde où rien n’est jamais ce qu’il semble être. Black Sails est une série captivante et addictive qui a été acclamée par la critique pour ses performances exceptionnelles, son scénario intelligent et sa production de haute qualité.

Rencontrez les personnages de Black Sails

James Flint

James Flint, c’est l’obsédé magnifique — froid, méthodique, toujours en train de tramer quelque chose, et il a ce regard qui te dit qu’il a déjà perdu plus que toi. Il parle peu mais pèse chaque mot, genre officier traumatisé devenu chef de guerre, tu vois le tableau. Parfois il est presque poétique (oui, sérieux) et cinq minutes après il te crève l’âme avec une décision brutale; loyal à ses idées avant tout. Et jure que parfois il caresse une rose en cachette ou je rêve, je sais pas, mais ça le rend humain, bizarrement.

Eleanor Guthrie

Eleanor, reine du commerce et du soupir étouffé, c’est la femme qui gère la ville quand tout s’effondre — des affaires et des familles, tout en portant des robes impeccables (toujours). Elle est pragmatique à mort, capable de trahir et de protéger avec la même main, et franchement, elle a plus de courage que n’importe quel pirate furieux. Faut pas la sous-estimer, elle négocie comme si sa vie en dépendait, parce que souvent c’est le cas. Et petit détail : elle garde peut-être un pendentif ridicule qu’elle caresse quand elle réfléchit — je jure que ça m’a marqué.

John Silver

John Silver, oh la la, personnage tellement humain — malin, adaptable, un vrai caméléon qui parle, cuisine, trahit et sauve selon l’humeur du jour. Il a ce côté sous-estimé (cuisinier, bon, mais pas juste ça) et en même temps il t’élabore une stratégie pendant que tu manges. Tantôt lâche, tantôt incroyablement brave, parfois sentimental comme un vieux marin, parfois shrewd comme un politicien; bref, imprévisible. Et je parie qu’il collectionne des cartes de navire ou des bouts de ficelle, ou peut-être juste des souvenirs terribles — c’est flou, mais c’est charmant.

Max

Max — taciturne, brutal parfois, loyal comme un chien (en mieux), tu sens qu’il préfère résoudre les problèmes avec ses poings plutôt qu’avec des mots. Il n’a pas beaucoup de discours mais quand il bouge, tout le monde suit, ce qui est pratique si tu veux quelqu’un pour faire le sale boulot. Il cache une tendresse improbable, genre il nourrit les animaux abandonnés à l’aube, ce qui te surprend parce que bon, il a l’air d’un roc. Et honnêtement, parfois il parle comme un philosophe après un grog; je ne sais pas comment ça arrive mais j’adore.

William “Billy Bones” Manderly

Billy Bones, c’est le vétéran un peu bourru mais avec un cœur énorme qui bat sous la poitrine d’un vieux marin — solide, fidèle et un peu trop carré pour son propre bien. Il raconte des histoires interminables, parfois contradictoires (donc tu ne sais plus si c’était vrai ou s’il a bu), mais on l’écoute quand même, parce qu’il inspire confiance. Il a une loyauté presque naïve envers certains compagnons, et pourtant il sait se battre comme s’il avait avalé la mer. Petits trucs sympas : il aime les biscuits secs et a des manies d’épaule (je jure que c’est vrai).

Charles Vane

Vane, c’est la furie vivante — imprévisible, violent, un anti-héros plus brûlant que la poudre à canon, et tu sens qu’il vit pour le chaos parfois juste parce que oui. Il méprise l’autorité, adore la liberté brute et protège son équipage avec une férocité presque tendre (si on peut dire ça), même s’il a un côté autodestructeur dingue. Parfois il est terrifiant, parfois presque drôle dans sa rage, et jamais ennuyeux. Et oh, il aurait peut-être une passion secrète pour les chansons douces? Peut-être que non, mais j’aime l’imaginer.

Jack Rackham

Jack Rackham, charmeur malin, tacticien improvisé et romantique un peu raté — il parle comme s’il écrivait des lettres d’amour, puis il trahit, puis il revient avec des promesses, bref, il est tout en contradictions. Il a ce style flamboyant, aime la comédie et les jeux, mais sous la coquetterie il y a une vraie ruse: il lit les gens comme un livre. Parfois lâche, parfois audacieux, souvent drôle, toujours imprévisible — et il adore offrir des cadeaux ridicules pour se faire pardonner (bracelets? couteaux gravés?).

Anne Bonny

Anne Bonny est la tornade — sauvage, drôle, dangereuse, capable de se battre plus fort que la plupart des hommes et de réciter un poème après (oui, genre ça arrive). Elle est fidèle à ses propres règles, refuse les cases, et a un sens de l’humour à la fois cruel et tendre; elle change d’humeur en un clin d’œil. On l’imagine autant en jeans qu’en robe, et en vrai elle ferait les deux sans problème; indépendante et terriblement vivante. Et petit truc perso : elle garde peut-être un ruban rouge caché sous son corsage, ou un vieux ticket de bateau, je sais plus, mais c’est adorable.