À propos du Sesame Street en quelques mots:

“Sesame Street” est une série télévisée éducative américaine emblématique pour enfants qui combine des séquences en direct, des sketches comiques, de l’animation et de la marionnette. Elle est connue pour ses personnages Muppet créés par Jim Henson. Le spectacle aborde une variété de sujets à travers des chansons, des sketches et des courts métrages, dans le but d’éduquer les jeunes enfants sur les chiffres, les lettres, les compétences sociales et bien plus encore, le tout en divertissant.

Rencontrez les personnages de Sesame Street

Elmo

Elmo est une boule d’énergie rouge qui parle souvent de lui à la troisième personne (et oui, ça lui va trop bien). Il est incroyablement joyeux, tout est émerveillement chez lui, mais parfois il peut être un peu têtu — ou du genre “non mais j’insiste” pendant cinq minutes. Il adore chanter, danser, raconter des histoires ridicules et souvent il éclate de rire pour une raison qui échappe à tout le monde, y compris lui. Petit détail mignon : il est extrêmement affectueux mais il déteste quand on lui prête des jouets (vraiment possessif, c’est paradoxal).

Cookie Monster

Cookie Monster vit pour les cookies, ok? Sérieusement, il en rêve, il en parle, il en planifie — la passion pure. Mais attention, ce n’est pas juste un gourmant stupide: il est curieux, très fidèle et parfois étonnamment philosophique quand il a la bouche pleine (ou vide, ça dépend). Il promet parfois de manger des légumes et ensuite oublie le plan en l’espace de trois secondes, classique. J’adore qu’il mélange “om nom nom” et des réflexions presque profondes, c’est touchant et tragique à la fois.

Big Bird

Big Bird, c’est le grand cœur de l’endroit, littéralement gigantesque et incroyablement doux, un peu naïf mais souvent plus sage que les adultes ne le pensent. Il a toujours un million de questions et il peut se perdre dans ses propres pensées pendant dix minutes (attention à la marche). Il est protecteur, sensible, aime la poésie bizarre et a un nid qui ressemble à un appartement cosy — parfois il parle avec un caillou, ou avec un pigeon, je ne sais plus. Sa vulnérabilité le rend hyper attachant, et parfois, quand il est sérieux, c’est presque effrayant de maturité (oui, c’est contradictoire, mais ça marche).

Oscar the Grouch

Oscar est le grincheux par excellence, la mauvaise humeur incarnée mais avec un charme un peu tordu — il adore la poubelle, et il le crie. Il râle sur tout, sur la joie, sur le soleil, sur les chansons trop gaies, mais au fond (très au fond), il a des moments de tendresse qui surprennent toujours. Il collectionne des trucs dégueu et montre parfois un étrange côté artistique (vraiment, qui d’autre verrait de la beauté dans un vieux tournevis?). On pense qu’il est juste grognon, mais parfois il rend service d’une façon bizarre et secrète, comme s’il avait un code d’honneur de grognon.

Bert and Ernie

Bert et Ernie, c’est le duo parfait de l’amitié chaotique : Bert est sérieux, excessivement ordonné, un peu snob sur ses pigeons et ses boîtes, tandis qu’Ernie est un rayon de chaos joyeux avec un canard en caoutchouc comme âme sœur. Ils se chamaillent, ils complotent, ils rient et parfois Bert surprend tout le monde en lâchant une blague (vraiment, ça arrive). Ernie adore faire des blagues qui partent en freestyle et Bert finit souvent par accepter à contrecœur — et puis ils font la paix autour d’une tasse de thé ou d’un bain de canard. C’est leur dynamique qui est magique : opposés mais inséparables, parfois les rôles s’inversent et Bert devient l’agent du chaos, ce qui est délicieux.

Count von Count

Le Comte est obsédé par les chiffres, tout doit être compté, et il le fait avec un flair dramatique façon vampire old-school (rire sinistre inclus). Il rend la numération hyper fun — on se retrouve à applaudir juste parce qu’il a compté 12 cafards ou 3 chapeaux, oui vraiment. Il a ce côté cérémonial et parfois il oublie de ne pas compter les choses bizarres (les sentiments? les épinards?), donc il y a un petit grain de folie dans son rituel. Il est théâtral, adorablement pompier et même un peu sentimental, allez savoir pourquoi il pleure quand il compte les étoiles parfois.

Grover

Grover est le héros maladroit qu’on n’a pas demandé mais dont on a besoin : il veut aider, il se précipite, il rate, puis il insiste et finit par réussir (ou par tout casser, mais avec panache). Il a un alter ego incroyable — Super Grover — qui porte un casque ridicule et croit que tout s’arrangera avec du courage et un peu de poulet (non, peut-être pas le poulet). Il est affectueux, franchement dramatique, et capable d’une loyauté sans faille; paradoxalement, il pleure facilement mais se prétend invincible quand il joue au chevalier. Il rend tout mignon et échevelé, et ses efforts maladroits sont toujours la meilleure partie de l’épisode.