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Quel personnage de ‘Çukur’ es-tu ?

Si vous êtes fan de la série turque 'Çukur', vous avez probablement déjà imaginé être l'un des personnages de cette série. Maintenant, vous pouvez découvrir quel personnage de 'Çukur' vous ressemble le plus grâce à notre quiz amusant ! Êtes-vous plutôt comme Yamaç, le leader charismatique de la famille Koçova ? Ou peut-être ressemblez-vous plus à Selim, le frère cadet de Yamaç, qui est plus réfléchi et calme ? Peut-être êtes-vous plus comme Vartolu, le meilleur ami de Yamaç, qui est un combattant féroce et loyal ? Ou peut-être êtes-vous plus comme Sena, la femme forte et indépendante qui a capturé le cœur de Yamaç ? Répondez à nos questions pour découvrir quel personnage de 'Çukur' vous êtes ! Alors, qu'attendez-vous ? Cliquez sur le bouton Commencer ci-dessous et commencez le quiz maintenant !

Bienvenue au quizz: Quel personnage de Çukur es-tu ?

À propos du Çukur en quelques mots:

Çukur est une série télévisée turque qui suit l’histoire d’une famille de criminels qui règne sur le quartier de Çukur à Istanbul. La série explore les thèmes de la loyauté, de la vengeance et de la famille, tout en présentant des scènes d’action et de violence. La famille est dirigée par le patriarche Idris Kocovali, qui est respecté et craint par tous ceux qui vivent dans le quartier. La série suit également la vie des membres de la famille et de leurs alliés, ainsi que leurs ennemis et leurs rivaux.

Découvrez les personnages de Çukur

Yamaç Koçovali

Yamaç, c’est le boss au grand coeur qui te crie dessus mais te sauve la vie dans la foulée — intense, impulsif, et presque poétique quand il parle de loyauté. Il a ce regard qui tue mais parfois il sourit comme un gamin qui vient de trouver une chanson, sérieux je te jure. Protecteur jusqu’au bout, il prend des décisions terribles pour ce qu’il croit juste (et puis après il regrette, souvent). Parfois il paraît calme, presque détaché, et cinq minutes plus tard il hurle et brise des chaises, bref, un coeur d’or emballé dans du ferraille.

Aliço

Aliço, le pilier silencieux, genre le type qui fait le sale boulot sans flairer la gloire mais qui te couvre toujours — fidèle comme pas possible. Il a un humour sarcastique et des petites habitudes bizarres (mange toujours la même marque de chips, vraie histoire) et une tendresse secrète pour les gosses du quartier. Il est aussi capable d’une violence froide et efficace, mais t’as l’impression qu’il préférerait être au café à raconter des blagues nulles. Parfois il raconte des anecdotes super kitsch et contradictoires sur son passé, et personne n’a vraiment le courage de vérifier.

Metin

Metin, c’est le type pragmatique, méthode avant passion, on dirait un cerveau dans un corps un peu rouillé — il calcule tout et s’emporte rarement. Il a des instincts protecteurs mais il peut aussi être étonnamment romantique (oui oui, bizarre, je sais) — genre il garde des fleurs séchées dans sa poche. C’est souvent lui qui garde la stratégie quand le reste panique, même si parfois il oublie des détails cruciaux comme où il a mis ses clés. On l’imagine pas en train de danser mais un soir il s’est lancé et bon, c’était plutôt marrant, faut le voir pour le croire.

Meke

Meke, le fougueux du groupe, l’énergie pure, impulsif comme pas permis et hyper loyal — tu le veux à tes côtés dans une baston ou une fête. Il aime les défis, les blagues lourdes et a une phobie inexplicable des araignées (oui, le grand dur qui hurle pour une noix de toile). Malgré son tempérament explosif, il est parfois incroyablement doux, surtout quand il parle des siens, et il garde des souvenirs d’enfance comme des trésors ridicules. On lui reproche d’agir sans réfléchir, mais c’est souvent ça qui sauve la situation, ou qui la complique, selon la journée.

Sultan Koçovali

Sultan, la matriarche, la reine du quartier — elle dirige d’une main de fer mais avec un sens du drama irréprochable, attention. Elle peut humilier quelqu’un en restant charmante et te préparer un thé comme si rien ne s’était passé, vraie artiste. Elle joue avec les apparences, adore les petits luxes (les tasses en porcelaine, le bla bla), mais la lutte pour la famille reste son phare, coûte que coûte. Parfois elle fait des choix surprenants (genre elle peut être tendre et en même temps te couper la parole pour te recadrer), bref une tornade organisée.

Medet

Medet, l’oncle philosophe du coin, il raconte des histoires interminables mais tu restes accroché parce que c’est toujours à moitié vrai et drôle. Il a des répliques qui restent, genre vieux sage un peu bancal, et il pleure parfois devant un vieux film (ou est-ce devant la télé qui bugue? j’sais plus). On le voit méditer sur des trucs insignifiants mais lourds de sens, puis partir acheter des bonbons sans prévenir, contradiction totale. Il est capable d’un tel pragmatisme dans le feu de l’action qu’on en vient à lui faire confiance pour tout — et ensuite il perd la clé du local, classique.

Saadet

Saadet, douce mais pas naïve, elle est ce mélange de douceur maternelle et de poigne tranquille qui calme les tempêtes autour d’elle. Elle prend soin des autres, souvent en cuisine, toujours avec une recette secrète qui peut tout résoudre (ou inventer un nouveau plat catastrophique, héhé). On la sous-estime rarement deux fois : elle a des réactions vives quand il le faut, et une endurance de malade. Parfois elle se met en colère pour des broutilles (genre qui a mangé le dernier morceau de baklava) et tu comprends que c’est juste parce qu’elle protège son monde.

Salih Koçovali

Salih, le patriarche plus taciturne, le genre de mec dont la présence suffit à imposer le silence dans une pièce — sérieux, respect immédiat. Il a ce vieux code d’honneur, des règles et des traditions, mais parfois il surprend en étant presque comique, un humour sec qui sort quand tu t’y attends le moins. Il peut être dur, inflexible, et puis tout d’un coup il t’offre un conseil qui te remet en place, chose rare. Il est aussi mystérieusement bon en bricolage (vraiment, genre il répare tout, même les coeurs brisés… ou alors il brûle la soupe, dépend des jours).

Emmi

Emmi, l’oncle bavard, le petit réseau ambulant — il sait tout, ou du moins il croit tout savoir, et raconte les potins comme s’il récitait des poèmes. Il est d’une curiosité insatiable, parfois agaçante, et pourtant c’est souvent lui qui apporte la pièce manquante du puzzle. Il a des oublis hilarants (ou stratégiques?) et des rancunes tenaces, du genre qu’on oublie et lui pas du tout. Parfois il parle trop, parfois il disparaît des jours, puis revient avec une anecdote qui te sauve la journée, classic Emmi.

Ayse Yilmaz

Ayse, femme forte et futée, charismatique sans forcer, elle a ce mélange de calme et de determination qui cloue le bec à tout le monde. Elle est pratique, directe, mais elle a des petites lubies – adore les plantes d’intérieur et parle à ses cactus comme à des confidents, oui oui. Professionnellement elle gère les choses avec une poigne discrète, et sentimentalement elle est complexe, loyale mais parfois distante. Parfois elle rit d’une blague nulle et après fait une remarque qui te remet à ta place, c’est très Ayse.

Karaca Koçovali

Karaca, la jeune rebelle moderne de la famille, tech-savvy, un peu punk dans l’âme mais avec des failles énormes qu’elle cache derrière l’ironie. Elle manie les réseaux autant que les émotions, collectionne des stickers bizarres et change de coiffure toutes les semaines (sérieusement). Elle peut être distante, puis en un instant devenir hyper protectrice et dramatique, très intense et très humaine. On l’adore parce qu’elle est imprévisible, maladroite parfois, mais toujours vraie, même quand elle prétend le contraire.