À propos du The Demon Hunter en quelques mots:

Dans un décor sinistre de portails démoniaques, “Cang Yuan Tu” raconte l’histoire de Meng Chuan, un prodige du sabre animé par la vengeance et une passion singulière pour le dessin. Avec la secte antique de la Montagne Archean guidant la résistance de l’humanité, le voyage de Meng Chuan ne consiste pas seulement à exterminer les démons, mais aussi à comprendre ses pouvoirs grandissants et les sacrifices faits pour lui.

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Meng Chuan

Meng Chuan est ce genre de héros silencieux qui en réalité hurle intérieurement, j’adore ça. Il manie l’épée comme s’il écrivait des poèmes violents, super précis et totalement implacable. Calme en surface mais obsédé par un passé qu’il refuse d’avouer, parfois il sourit et on se demande si c’était un bug. Il a un faible inexplicable pour les pâtisseries, oui vraiment, et déteste les pigeons — ou peut‑être l’inverse, je ne suis plus sûr. Bref, leader taciturne mais loyal jusqu’au bout, et il porte toujours quelque chose de cassé qu’il ne s’autorise jamais à jeter.

Liu Qiyue

Liu Qiyue, reine du calcul à froid. C’est la stratège qui voit trois coups à l’avance et qui aime faire des plans dans les marges de ses livres, parfois elle griffonne des fleurs — oui, des fleurs. Elle paraît glaciale mais elle garde des souvenirs doux cachés — ou c’était des croquis? — bref, sentimental mais discret. Aime le thé vert mais boit du vin rouge quand elle est colérique, contradiction adorable. Un peu intimidante mais terriblement fascinante, et je parie qu’elle a une cicatrice avec une drôle d’histoire.

Bai Nianyun

Bai Nianyun, waouh, c’est la brume incarnée, tout en mystère et en soupirs. Elle flotte dans les scènes comme si la gravité avait oublié son nom, douce mais capable de déployer une colère glacée quand il le faut. Elle collectionne des graines — ou peut‑être des clés? — toujours un truc un peu étrange et poétique. On ne sait jamais si elle dort ou si elle médite, mais elle connaît toutes les réponses, ou prétend les connaître, et c’est fascinant.

Meng Dajiang

Meng Dajiang, le vieux loup de guerre, bruyant, bon vivant et terriblement pratique. Il raconte des histoires plus grandes que nature pendant des heures et parfois on se demande lesquelles sont vraies — petites fables, aucune ou toutes, qui sait. Il frappe la table, il rit, mais il peut pleurer en silence quand personne ne regarde, je jure. Un chef qui cuisine comme un forgeron, des plats épicés et un cœur tendre, paradoxal mais parfait. Oh et il a une mâchoire impressionnante et une habitude agaçante de ramasser des cailloux quand il pense — étrange mais mignon.

Yan Jin

Yan Jin, précision froide, une lame et un sourire tordu qui te donne envie de fuir et d’applaudir en même temps. Elle est raffinée, calculatrice, mais adore les blagues nulles, vraie faille humaine, ça la rend attachante. Toujours impeccable, toujours à l’heure, sauf quand elle se perd dans une librairie pendant des heures — grande lectrice secrète. Enfermez vos cœurs, elle va les analyser puis peut‑être les protéger, ou pas, difficile à dire et c’est pour ça qu’on l’aime.

Yun Qingping

Yun Qingping est la paix incarnée — ou alors la tempête masquée, c’est compliqué et merveilleux. Il est guérisseur, médiateur, il parle doucement, mais quand il s’énerve, c’est un torrent, vraiment inattendu. Toujours une tisane à portée de main, sauf quand il oublie et boit du jus d’orange à la place, classique. Il a un sourire qui vous rend immédiatement confiant, et en même temps il cache des secrets bizarres comme écrire des poèmes sur des feuilles mortes. On veut tous l’adopter, le protéger, ou au moins lui piquer sa bibliothèque, hypocrites mais honnêtes.