À propos du Shadowhunters: The Mortal Instruments en quelques mots:

Shadowhunters: The Mortal Instruments est une série télévisée fantastique basée sur les romans de Cassandra Clare. Elle suit l’histoire de Clary Fray, une adolescente qui découvre qu’elle est une chasseuse d’ombres, une race de guerriers qui protègent le monde des démons. Avec l’aide de son ami Simon et des chasseurs d’ombres Jace, Alec et Isabelle, Clary doit naviguer dans un monde dangereux et mystérieux tout en découvrant la vérité sur son passé. La série a été diffusée sur Freeform aux États-Unis et a été acclamée pour ses performances d’acteurs et ses effets visuels époustouflants.

Découvrez les personnages de Shadowhunters : The Mortal Instruments

Clary Fray

Clary, c’est cette tornade de couleur et de rage douce qui débarque sans prévenir — artiste, têtue, toujours prête à poser une rune sur le coin de son carnet… ou sur le mur de la cuisine, oui elle fait ça. Elle découvre le monde des Shadowhunters en criant un peu (beaucoup) et en dessinant encore plus, ce qui la rend à la fois maladroite et incroyablement courageuse. Protectrice jusqu’à l’excès, elle a ce mélange agaçant de naïveté et de détermination qui la rend impossible à ignorer. Parfois elle oublie où elle a mis ses clés, et parfois elle se rappelle d’un détail magique vieux de cent ans — c’est déroutant mais charmant. Ah, et elle est inexplicablement obsédée par les splendides déjeuners improvisés; pas toujours bonnes, mais mémorables.

Jace Wayland

Jace est le mec qui a l’air d’avoir été sculpté par les dieux puis abandonné à l’entraînement intensif — arrogant, hyper compétent et définitivement dangereux quand il sourit comme ça. C’est le chasseur parfait sur le terrain mais en vrai il se bat autant contre ses démons intérieurs que contre les ombres, et ça le rend complexe (et dramatiquement attirant). Il balance des répliques cinglantes à la seconde, ensuite il va s’effondrer en lisant un poème qu’il prétend ne pas aimer — bouh, contradiction. Très loyal à ses proches, même si parfois il choisit la méthode la plus casse-cou pour le prouver. Et oui, il a une étrange collection de cartes postales anciennes qu’il garde dans sa chambre, genre hobby secret d’archéologue romantique.

Simon Lewis

Simon, c’est le pote drôle qui devient littéralement autre chose (spoiler, un peu), et qui garde une âme de fangirl et d’amateur de pizza quoiqu’il arrive. Il commence comme le gars normal, nerd, attachant et un peu gauche, et puis bam — nouvelles réalités, nouvelles responsabilités, toujours avec un sens de l’humour qui sauve la mise. Loyal au-delà du raisonnable, il garde secret un côté héroïque qui surprend tout le monde, lui le premier. Il adore la musique, joue (ou prétend jouer) de la basse et collectionne des tasses ridicules, même si certaines sont cassées — il dit que ça lui porte chance. Parfois il panique pour rien, parfois il prend des décisions hyper matures, c’est un joyeux chaos, et on l’aime pour ça.

Alec Lightwood

Alec est l’incarnation du sérieux responsable, genre chef d’équipe qui roulera au silence puis sortira la meilleure stratégie au pire moment. Taciturne mais profondément aimant, il protège sa famille et son équipage avec une loyauté presque militaire; il est aussi très conscient de ses vulnérabilités et les gère en silence — ce qui le rend à la fois fort et fragile. Il est aussi incroyablement maladroit dans les démonstrations d’affection (gros contraste, je sais), mais quand il s’ouvre, c’est pour de vrai et pour toujours. Archer précis, leader réfléchi, il aime l’ordre… sauf quand il adopte un chat sur un coup de tête, alors là, surprise totale. Parfois il lit des livres poussiéreux pour se détendre, je jure que c’est vrai.

Isabelle Lightwood

Izzy est la définition même du style mortel et de la dangerosité chic — élégante, armée d’un fouet stylé et capable de te faire plier en deux tout en te lançant un compliment blessant. Elle vit pour l’adrénaline, pour la mode et pour l’idée de ne jamais être coincée dans un rôle qu’on lui collait; c’est du glamour qui saute aux yeux, mais aussi une loyauté sans faille envers sa famille. Derrière le maquillage impeccable se cache une personne sensible, qui garde parfois un doudou trop mignon (oui, je sais, contradictoire) et qui pleure en silence quand personne ne regarde. Son humour est noir, ses coups sont précis, et elle collectionne des épingles à cheveux comme si c’était des trophées de guerre. Parfois elle décide de changer de coiffure juste pour prouver quelque chose, et personne n’ose l’arrêter.

Luke Garroway

Luke, c’est le père poule dur à cuire avec un passé brisé et un cœur énorme, souvent croisé avec une vieille voiture, une tasse de café et une grimace attendrissante. Ancien soldat, maintenant policier puis loup-garou-responsable (oui, multitâche), il est le pilier affectueux qui tente de garder tout le monde en ordre sans jamais perdre sa patience — enfin, presque jamais. Il adore raconter des blagues de mauvais goût en conduisant, et il sait cuisiner des ragoûts qui réparent les âmes (et parfois brûlent un peu la cuisine parce qu’il oublie). Protecteur jusqu’à l’absurde, il est aussi nostalgique et sentimental, et il a une playlist de chansons des années 80 qu’il chante faux mais avec conviction. Parfois il veut partir en retraite loin de tout, et 0,2 secondes plus tard il retourne sauver la mise — classique Luke.

Magnus Bane

Magnus, oh Magnus, c’est l’archétype du warlock flamboyant qui transforme une pièce en événement d’une phrase — extravagance, magie, et un goût impeccable pour les vestes qui brillent. Immortel, sophistiqué, plein d’esprit et de sarcasme, il navigue entre passions et pouvoirs avec une grâce presque fatale; il peut te charmer pendant que la salle s’effondre autour de vous. Il adore les fêtes, la mode et les expériences culinaires bizarres (il fera un curry improvisé à 3h du matin, et oui, il dit que c’est délicieux), puis il te racont e un conseil de vie profond qui te retourne la tête. Il est tellement dramatique qu’on en rit, mais il porte aussi des blessures millénaires et un amour profond qui lui donne une vraie humanité. Parfois il se plaint de la poussière alors qu’il vit depuis des siècles, et parfois il adopte un chat imaginaire, donc rien n’est jamais ennuyeux.