À propos du Doom Patrol en quelques mots:

Doom Patrol est une série télévisée américaine de super-héros basée sur l’équipe de bandes dessinées DC Comics du même nom. La série suit un groupe de super-héros dysfonctionnels qui ont tous acquis des pouvoirs étranges après avoir été victimes d’accidents horribles. Leur mentor, le Dr Niles Caulder, les rassemble pour les aider à contrôler leurs pouvoirs et à affronter leurs traumatismes passés. Doom Patrol est connu pour son ton sombre et sa représentation de personnages marginaux et souvent ignorés dans le monde des super-héros.

Découvrez les personnages de Doom Patrol

Crazy Jane

Oh là là Jane, c’est le chaos organisé en personne — enfin, en personne(s) — parce qu’elle a, quoi, like, 64 identités? Chaque « moi » a un pouvoir différent, et parfois j’oublie lequel fait quoi, mais c’est génial parce que tu peux jamais prédire sa prochaine réplique. Elle est à la fois terrifiante et terriblement humaine (oui, je sais, contradiction, mais c’est Jane), et elle porte ses cicatrices comme si c’était des badges de guerre. Sérieusement, elle peut être douce comme une grand-mère et ensuite te lancer un pouvoir qui te démonte la maison; fascinante, imprévisible et blessée — en mieux.

Elasti-Girl

Rita Farr, la fameuse Elasti-Girl — ex-actrice, ex-starlette, ex-normale? — est adorablement rigide sur la discipline mais colle tout le monde comme une mère poule quand il faut. Elle contrôle sa taille, sa silhouette, bla bla, mais ce que j’aime, c’est qu’elle se bat tout le temps contre le sentiment de n’être plus « à sa place » après Hollywood (elle collectionne des vieux flacons de parfum, je crois). À la fois contrôlée et fragile, elle est la colonne vertébrale du groupe, paradoxalement très organisée et parfois complètement perdue. Bref, Rita est élégante, agaçante parfois (dans le bon sens), mais loyale comme pas deux.

Larry Trainor

Larry c’est le type râleur enveloppé dans des bandages, l’archétype du mec qui dit « je m’en fiche » mais qui te préparera un café si t’en as besoin à 3h du mat. Il traîne un passif radioactif (oui, c’est glamour), est souvent sarcastique et même cassant, mais sous la carapace y a un mec qui s’inquiète — un peu, à sa façon. Il a un côté mélancolique qui le rend super attachant: il aime la solitude mais pas trop, il fume peut-être, il adore la météo (ou pas). En tout cas, Larry est l’anti-héros fatigué qui te surprend par ses gestes tendres quand tu t’y attends le moins.

Cliff Steele

Cliff, c’est le pilote cramé devenu Robotman, la voix la plus rugueuse du groupe et le cœur le plus grand (ou le contraire, je sais plus). Il râle tout le temps, il jure, il veut être humain et en même temps il kiffe trop ses bras métalliques (oui, vrai dilemme). Nostalgique des vieilles voitures et de la bouffe réconfortante, il garde des bouts de son ancienne vie comme des trophées — ou des cauchemars; parfois il parle à ses boulons, j’exagère pas. Bref, il est drôle, vulnérable, en colère, et terriblement fidèle, même quand il grogne comme un ours.

Chief

Le Chief, Niles Caulder, c’est le cerveau froid et calculateur qui ressemble à un grand-père attentionné… jusqu’à ce que tu découvres ses petits (moins petits) secrets. Il dirige la Doom Patrol comme un chef d’orchestre un peu narcissique: il planifie tout, garde tout sous contrôle et, oui, manipule parfois (ok souvent). Il est brillant, protecteur et borderline moral — je veux dire, il va te sauver mais pas sans un plan qui implique des cobayes et des secrets. Fascinant, inquiétant, et étrangement paternel, il est la définition du « je sais ce que je fais » — ou du « je crois savoir ».

Cyborg

Victor Stone est le mélange parfait entre full tech et cœur énorme — geek sportif, tu vois le genre? Il est super cool, loyal, veut être un héros et parfois il se sent plus machine qu’humain (et alors il installe des applis dans son bras pour passer le temps, oui c’est vrai). Il est drôle, accessible, le pote qui t’aidera à régler ta console et à te sauver la vie en même temps; un peu show-off mais adorable. Parfois il manque de recul, parfois il a une sagesse étonnante — en gros, Victor c’est le futur avec des émotions bien humaines.

Negative Man

Negative Man, l’entité radioactif(e), c’est le côté obscur mais pas si méchant du folklore de la Doom Patrol — mystérieux, dangereux et incroyablement triste. L’énergie négative s’échappe du corps enveloppé de Larry et peut tout retourner en fumée, mais elle a aussi des moments presque poétiques (oui, l’entité est mélancolique, surprenant non?). Elle est imprévisible, silencieuse parfois, puis explosive, et ça rend chaque apparition claustrophobique et géniale à la fois. Bref, une force brute avec une âme tordue — à la fois menaçante et étrangement fascinante.

Robotman

Robotman, c’est l’aspect métallique et bruyant de Cliff mais avec une identité propre: cliquetis, force surhumaine, et un cœur humain coincé dans une carcasse d’acier. Il a des moments « je suis juste une machine » et d’autres où il murmure des vieilles chansons à la radio, c’est bizarre mais touchant. Très protecteur, souvent maladroit avec les émotions, il compense en étant hyper direct (et parfois bourrin). Il est la preuve vivante que la mécanique peut être pleine d’âme — et qu’un bon coup de clé à molette ne résout pas toujours les problèmes.

Mr. Nobody

Monsieur Nobody, le grand clown existentiel — théâtral, flippant et absolument imprévisible, il joue avec la réalité comme s’il lisait un sketch. Il est drôle, cruel, poétique, aime les confettis (ou des éclats de verre, parfois je confonds) et peut te raconter la fin du monde avec un clin d’œil. Son humour est tordu, ses monologues interminables et étrangement hypnotiques; tu l’adore/déteste mais tu restes scotché. Bref, il est le vilain qui trouve ça divertissant de briser les règles, tout en te faisant réfléchir (ou t’énerver) — un vrai showman du chaos.