À propos du How to Train Your Dragon en quelques mots:

How to Train Your Dragon est une série animée basée sur le film du même nom. L’histoire se déroule dans un monde fictif où les vikings et les dragons sont en conflit. Le personnage principal, Harold, est un jeune viking qui rêve de devenir un guerrier, mais il est considéré comme un paria par sa tribu. Après avoir capturé un dragon, Harold se lie d’amitié avec lui et découvre que les dragons ne sont pas les ennemis qu’il pensait. Ensemble, Harold et son dragon, Krokmou, défient les traditions de leur tribu pour mettre fin à la guerre entre les vikings et les dragons. La série est remplie d’aventures, de comédie et de leçons de vie.

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Hiccup

Hiccup, c’est ce genre de cerveau qui te surprend tout le temps — inventif, maladroit et incroyablement tenace, il bricole des trucs que personne d’autre ne comprend (et qui marchent souvent, oui oui). Il a un cœur géant caché derrière des blagues bizarres et des plans écrits en cahier griffonné, parfois il oublie où il a mis ledit cahier — classique. Leader malgré lui, il doute, il tâtonne, puis pouf, il trouve une solution improbable et tout le monde le suit, même s’il rougit quand on le complimente (pas très précis là-dessus mais bon). Il adore les petites victoires silencieuses et collectionne les morceaux de métal inutiles comme si c’était des trophées. Sérieux, il est courageux mais aussi étonnamment sentimental — parfois il parle aux outils, oui, je l’ai vu.

Astrid

Astrid, c’est la guerrière pragmatique qui te remet à ta place en trois secondes, loyale au possible et nettement plus douce qu’elle n’en a l’air (chut). Elle est directe, compétitive, adore les défis et refuse de perdre — sauf devant une tarte qu’elle fait semblant d’ignorer; ça reste flou. Protectrice envers son clan, aussi capable d’un regard qui glace que d’un sourire rare mais énorme, souvent elle balance des sarcasmes puis finit par aider en silence. Elle a un petit côté romantique discret (oui, je dis bien discret) et collectionne des petites cicatrices comme des souvenirs — parfois elle les compte à voix haute, parfois non. Franchement, c’est une bastonneuse avec un grand cœur et un plan pour tout, même pour plier une épée en cas d’urgence improbable.

Stoick the Vast

Stoick, le chef imposant, tonnerre de caractère, toujours prêt à rugir mais étonnamment sentimental quand il s’agit de famille — il a un côté papy poule caché sous la barbe. Il impose le respect d’un regard, mais bon, il peut aussi se tromper de direction en criant et finir par admettre qu’il adore écouter de la musique douce (non, sérieux, c’est surprenant). Sa fierté est énorme, il veut un village fort et fier, et il tape du poing mais c’est souvent pour protéger, pas pour écraser; il est un peu old school mais pas idiot. Il boit du mead, il raconte des histoires très exagérées et il garde des objets ridiculement sentimentaux dans un coffre — parfois des chaussettes, parfois une vieille carte, qui sait. En bref, un géant de cœur, un peu têtu, et très très maladroit avec les émotions (mais il s’améliore, doucement).

Valka

Valka, la dame des dragons, c’est la version bohème et un peu folle de la protectrice animale, elle vit avec les dragons comme si c’était normal — parce que pour elle, ça l’est. Elle connaît chaque espèce par son nom (et par des petites manies étranges), parle doucement mais peut se transformer en tornade quand un dragon est en danger; attention. Elle a un don de compréhension incroyable, des accessoires faits main partout, et un sourire qui te rassure ou te fait douter selon l’angle — parfois elle oublie de manger quand elle est concentrée, parfois elle cuisine pour vingt sans souci, c’est selon. Elle ramasse des choses brillantes — babioles, plumes, bouts de métal — et les range en “collections utiles”, même si personne ne comprend toujours la logique. Mystérieuse mais maternelle, elle est à la fois sauvage et terriblement humaine (ou l’inverse — je mélange tout mais c’est ce qui la rend géniale).

Toothless

Toothless, le Night Fury, est la parfaite combinaison entre chat et missile furtif, il peut te donner un regard qui te fond le cœur puis t’embarquer dans un vol dingue cinq secondes après. Loyal au-delà du raisonnable, il est joueur, manipulateur parfois (oui, il sait très bien quand il a un effet sur les humains), et incroyablement expressif — ses mimiques valent mille dialogues. Silencieux comme la nuit et pourtant plein de petites habitudes bizarres (il aime voler des chaussettes? peut-être), il est à la fois prédateur élégant et compagnon d’enfance. Il peut être terriblement sérieux pendant une bataille, puis de suite craquer pour une partie de cache-cache, c’est déroutant mais parfait. Bref, c’est un dragon avec une âme de chien, un zeste de félin, et un talent inné pour te rendre accro.

The Light Fury

The Light Fury, elle est toute élégance et mystère, genre apparition lumineuse qui te laisse bouche bée — froide à première vue mais curieusement joueuse quand elle se laisse aller. Elle est rapide, rusée, aime se cacher dans la lumière (oui, littéralement) et peut être étonnamment timide avec les humains, sauf si elle décide que non — là elle devient dangereusement charmante. Un peu farouche, elle a des gestes délicats et des réactions imprévisibles, comme si elle oscillait entre “je suis reine” et “je veux juste un peu de paix”; parfois elle ronronne presque, d’autres fois elle te fait fuir. Elle adore la liberté, les coins ensoleillés et collectionne mentalement des souvenirs de vol — parfois avec détails précis, parfois flous comme un rêve. En résumé, beauté glacée mais pas froide, mystérieuse mais affreusement attachante quand on gagne sa confiance (ce qui prend du talent).