À propos du Hotel Transylvania: Transformania en quelques mots:

Hotel Transylvania: Transformania est un film d’animation américain qui suit les aventures de Dracula, sa famille et ses amis alors qu’ils font face à un nouveau défi : une machine qui peut transformer les humains en monstres et vice versa. Alors que Dracula et ses amis tentent de trouver un moyen de renverser les effets de la machine, ils doivent également faire face à des défis personnels, notamment la transformation de Dracula en humain et la décision de sa fille Mavis de quitter l’hôtel pour vivre parmi les humains. Avec de l’action, de l’humour et de l’amitié, Hotel Transylvania: Transformania est un film d’animation amusant pour toute la famille.

Rencontrez les personnages de l’Hôtel Transylvanie : Transformania

Jonathan

Jonathan, le gars humain totalement incongru dans cet univers de monstres, est une boule d’optimisme maladroite qui n’a absolument pas peur de tout casser — parfois au sens littéral, genre casser une lampe en rentrant. Il est tendre, enthousiaste, adore la pizza et semble toujours prêt à peindre une toile ou lancer une fête surprise, même si ça tourne souvent en chaos adorable. Il peut être un peu naïf (ok, très naïf), mais il a un courage surprenant quand ça compte, et il sait aussi jouer du ukulélé — ou était-ce une guitare? Bref, il est l’ami qu’on veut dans sa poche, et aussi celui qui répare les choses avec du ruban adhésif et beaucoup d’optimisme.

Mavis

Mavis est la fille énergique, indépendante et pleine d’idées, moitié vamp’ moitié ado en quête d’aventures — clairement têtue mais terriblement attachante. Elle veut explorer le monde et râle contre les règles (sauf quand elle en crée de nouvelles, évidemment), et elle a ce coeur immense qui la pousse à protéger sa famille sans trop dramatiser… enfin, sauf quand elle dramatiserait pour une bonne cause. Elle est moderne, drôle, parfois sarcastique, et pourtant capable d’une douceur qui surprend toujours (surtout quand elle fait des pancakes au petit-déj pour tout le clan). On la prendrait bien comme guide pour un roadtrip monstrueux — et elle porterait un chapeau mignon en plus.

Ericka

Ericka est mystérieuse, élégante, avec un passé qui claque comme un vieux roman gothique — séduisante mais pas seulement, elle est aussi incroyablement complexe. Elle peut être douce et vengeresse en même temps (oui, c’est contradictoire, mais ça marche), et on sent toujours qu’elle cache quelque chose derrière son sourire parfait. Parfois elle parle comme une agent secrète, d’autres fois elle verse une larme devant une chanson triste; elle est à la fois glue du récit et déclencheur de chaos, donc on l’aime pour l’instabilité chic. Et petit détail: elle collectionne les vieux timbres ou peut-être les boîtes à musique? Je jure que j’ai lu ça quelque part.

Van Helsing

Van Helsing, la version excentrique et ultra-pratique de la chasseuse classique, est à la fois redoutable et daronne surprotectrice — oui, c’est flippant et attendrissant en même temps. Elle a cette énergie “je vais tout contrôler” mais laisse traîner des gadgets improbables et des plans sur des nappes en papier; elle peut être stricte un instant, puis faire un câlin maladroit l’instant d’après. Elle adore les listes, les protocoles, et aussi… improviser au dernier moment quand la situation l’exige (un vrai caméléon). Franchement, sous ses airs de guerrière, il y a une femme qui tient à ses proches, et aussi un faible pour les biscuits trop sucrés.

Wayne

Wayne est le loup-garou fatigué de la parentalité, un peu râleur, toujours entouré de marmots criant, et terriblement drôle quand il perd patience (ce qui arrive souvent). Il est protecteur au point d’être presque paranoïaque, mais il a un cœur énorme et une loyauté inébranlable — et il ronfle comme un ouragan, soi-disant. Parfois il est primitif et grognon, parfois il est un tendre qui raconte des histoires au clair de lune; on sent qu’il a des principes simples: famille, territoires, et siestes. Et oui, il adore le café trop fort et a une collection secrète de chaussettes dépareillées.

Wanda

Wanda, la louve-maman aux mille tâches, est moitié zen, moitié hystérique — elle gère la meute comme une cheffe et semble toujours savoir où sont les enfants, même quand personne d’autre ne le sait. Elle a une patience légendaire (sauf quand on fait du bruit entre 3 et 4 heures du matin, là elle devient un tsunami), et son humour grinçant te cloue au sol. Elle aime jardiner, crier silencieusement, préparer des snacks improbables, et elle donne les meilleurs conseils parentaux — parfois en criant, mais toujours avec amour. Petits défauts? Elle panique pour tout et rien, ce qui la rend étrangement humaine malgré les poils et les crocs.

Griffin

Griffin, l’homme invisible pas très discret en fait (parce que son ego est énorme), est un nerd génial mais souvent en décalage social, absolument adoré pour ses gadgets. Il est brillant, maladroit et un peu paranoïaque — genre il cache ses affaires partout sans savoir où il les a mises, classique génie. Il peut être dramatique et mélodramatique en même temps, et il adore faire des blagues invisibles que personne ne voit (ironie niveau maximal). Et petit détail fun: il collectionne les chapeaux invisibles ou alors il a juste un coup de cœur pour les accessoires, difficile de savoir.

Murray

Murray est la momie la plus cool que tu puisses imaginer: chaleureux, plein d’humour (parfois mauvais), et surtout incroyablement classe malgré tout ce bandage. Il aime la danse, les soirées à thème et surtout se rappeler des trucs… enfin, il croit se souvenir de l’Égypte mais parfois confond Netflix et la bibliothèque nationale — adorable. Sa loyauté est énorme, il est toujours là pour la fête ou pour sortir un dicton ancien qui, étrangement, colle parfaitement à la situation. On l’imagine avec un verre à cocktail un peu trop décoré et une bonne histoire à raconter (qui change légèrement à chaque fois).

Dracula

Dracula est ce patriarche dramatique, charismatique et un peu dépassé par la modernité, mais qui reste incroyablement attachant — oui, un peu théâtral, toujours. Il porte ses capes avec fierté, chante dans son salon (souvent faux, mais avec conviction), et passe de la terreur ancestrale au papa poule en deux battements de coeur. Il est protecteur, parfois terrifiant, mais aussi capable de gestes tendres (et de blagues poussiéreuses), et il adore organiser des dîners où tout part en vrille. Et il a cette habitude bizarre de parler aux portraits — ou aux coussins? — en jurant qu’ils répondent.

Frankenstein

Frankenstein (Frank) est un grand coeur en version géante: bourru, maladroit, mais d’une loyauté sans faille — on le voit souvent en train de bricoler une invention improbable ou d’essayer de cuisiner avec des résultats catastrophiques. Il fait peur quand il est fâché (généralement très rarement), et il pleure devant des films tristes en mâchant un sandwich géant, je te jure. Il est très pratique, adore réparer les choses et possède une douceur étonnante, même s’il refuse catégoriquement de porter du rose (ou peut-être qu’il a essayé et s’est avoué vaincu). Bref, un colosse tendre qui soulève des voitures et des cœurs en même temps.