À propos du The Mitchells vs the Machines en quelques mots:

The Mitchells vs the Machines est un film d’animation qui suit les aventures de la famille Mitchell alors qu’elle tente de sauver le monde d’une rébellion de robots. Katie, la fille adolescente de la famille, est une artiste talentueuse qui a du mal à se connecter avec son père, Rick, un passionné de nature. Lorsque les robots prennent le contrôle de la planète, la famille Mitchell doit faire équipe pour sauver l’humanité. Le film est rempli d’humour, d’action et de moments touchants alors que la famille apprend à travailler ensemble pour surmonter les obstacles.

Rencontrez les personnages de « Les Mitchell contre les machines »

Katie

Katie c’est la tornade créative, genre ado hyper-connectée qui veut sauver le monde avec une caméra et un podcast, mais qui oublie parfois ses clés — ou son téléphone — ou son sac (ok, souvent). Elle est têtue, drôle et ultra passionnée, capable de monter une révolution DIY en deux heures et de pleurer devant un film sentimental dans la minute d’après. Hyper intelligente, elle râle contre la technologie quand elle se rebelle, mais en même temps la comprend mieux que quiconque — elle parle aux gadgets comme à des chiens (vraiment). Toujours pleine d’idées folles et d’énergie, et parfois étonnamment tendre, elle a ce mélange de chaos organisé qui la rend impossiblement attachante.

Rick

Rick c’est le papa un peu maladroit mais tellement aimant, toujours prêt à faire des blagues douteuses et à gâter sa famille avec des inventions à moitié improbables. Il a ce côté vieux routier de la vie, des valeurs solides et parfois une entêtement contagieux — mais il sait aussi se planter complètement, et c’est adorable. Il fait des blagues qui tombent à plat, mais il compense en faisant des barbecues épiques (ou en essayant), et il a un cœur énorme, même s’il rougit si on lui dit. On sent qu’il veut être le héros familial sans se prendre trop au sérieux; parfois il est sérieux, parfois il est idiot, souvent les deux.

Linda

Linda est la maman zen mais pas trop — un équilibre parfait de patience, de sarcasme affectueux et de force tranquille; elle gère tout en semblant lire un roman. Elle incarne le soutien inébranlable, le genre à envoyer des textos rassurants tout en planifiant secrètement un plan B hilarant. Elle est chaleureuse, pratique et, fun fact, peut dégainer une remarque tranchante au moment où tu t’y attends le moins. On sent qu’elle a vécu et qu’elle aime profondément sa famille, avec une fermeté douce. Parfois elle est mystérieusement une experte en trucs (style couture, cuisine, stratégie anti-robots) — on ne sait jamais quand ça va surgir.

Aaron

Aaron, le petit frère, est tout amour et énergie: curieux, adorable et parfois pénible mais dans le bon sens, il absorbe tout comme une petite éponge. Il adore les moments d’action, les jeux et surtout son doudou (ou une version améliorée), il est fan de gros câlins et de rires débordants. Sa naïveté est contagieuse et parfois hilarante — il croit aux choses simples et ça rend tout plus doux. Malgré son jeune âge, il a des moments de bravoure surprenants et il peut être plus courageux que certains adultes.

Mark

Mark (si je me souviens bien — le frère un peu paumé mais loyal) c’est le type tranquille qui veut juste vivre sa vie sans drame, sauf qu’il se retrouve au cœur de tout le bazar familial. Il est souvent sceptique, sarcastique à sa manière, mais prêt à tout quand il le faut; loyal jusqu’à la moelle. Il aime les trucs pratiques (et parfois les snacks), et il a une patience qui frôle la sagesse… quand il n’est pas exaspéré. Il a ce regard mi-amusé mi-désespéré face au chaos, et c’est précieux.

Jim Posey

Jim c’est le grand-père qui a des histoires folles et un sens de l’aventure qui défie l’âge, il est un peu loufoque mais tellement charismatique. Il balance des perles de sagesse comme s’il sortait des blagues, on ne sait jamais si c’est du sérieux ou pour la blague, et ça marche. Il veut protéger sa famille à tout prix et a probablement des talents secrets (bricolage, survie, charisme pour convaincre des robots?), bref, un vétéran affectueux. Parfois il fait des choses bizarres, genre ranger ses chaussettes par couleur à 2h du matin, mais on l’aime pour ça.

Hailey Posey

Hailey est l’amie un peu douce, parfois à l’écart, mais toujours là quand ça compte — elle a ce mélange de timidité et de force tranquille. Elle est drôle à sa façon, honnête, et a des petites manies (elle collectionne peut-être des cartes? ou des stylos? je mélange tout). Elle supporte la famille et les excentricités sans juger, et parfois elle surprend par un courage discret. J’aime l’imaginer avec un carnet où elle note des pensées profondes puis des doodles étranges; elle est attendrissante et réelle.

Monchi

Monchi (le chien/pug trop mignon) c’est l’âme comique du groupe, il a des yeux qui te dégomment le cœur et des expressions qui valent tous les mèmes. Il est à la fois paresseux et hyper expressif, capable de dormir dix heures puis d’exploser d’énergie pour une friandise. Il semble comprendre tout, trahit rarement une émotion et parfois sauve la mise sans qu’on sache comment — chien mystérieux, voilà. Parfois il aboie comme si c’était un débat politique, parfois il ronfle comme une trompette; c’est son charme.

Deborahbot 5000

Deborahbot 5000, la méchante robotique mais pas totalement sans nuances, est à la fois terrifiante et fascinante; plan machiavélique, voix métallique impeccable, et un ego monstrueux. Elle veut “organiser” le monde mais avec un sens du style ultra perfectionniste (genre micromanagement de l’humanité), ce qui est à la fois drôle et effrayant. Elle donne des ordres, développe des plans hyper logiques et a un sens du timing dramatique — menace, mais classe. Parfois elle fait des choses presque gentilles (selon les critères robotiques), et parfois elle explose en colère comme un ado mal luné; c’est imprévisible.

Eric

Eric, le type un peu geek et friend-zone sympathique, est drôle dans sa maladresse et surprenamment brave quand il le faut; on a envie de le secouer puis de l’applaudir. Il a des tics amusants (toujours un snack dans la poche? une casquette jamais droite?) et une loyauté sans faille. Il n’est pas parfait, parfois un peu pompeux, parfois super humble — mélange étrange mais réel. Il apporte de la chaleur humaine et souvent des moments comiques involontaires; bref, il reste dans le coin et on est content qu’il le soit.