À propos du Ratatouille en quelques mots:

“Ratatouille” est un conte enchanteur se déroulant au cœur de Paris, suivant Remy, un rat avec un palais exceptionnel et des rêves de devenir chef. Au milieu des défis et des préjugés, il forme un lien improbable avec Linguini, un maladroit employé de cuisine. Ensemble, ils défient les normes et créent une magie culinaire, prouvant que le talent peut émerger des endroits les plus inattendus.

Rencontrez les personnages de Ratatouille

Remy

Remy, c’est le rat le plus passionné que tu puisses imaginer — un vrai nez ambulant, toujours en chasse de la prochaine odeur qui le fera rêver. Il est chef-né, genre, il sent les combinaisons d’ingrédients avant même de les penser, et il a ce mélange d’audace et de douceur qui te donne envie de le protéger (même si bon, c’est un rongeur, logique confusion). Il est têtu comme un bouchon mais il apprend aussi à déléguer — enfin, parfois il délègue en tirant les cheveux de quelqu’un à distance, littéralement, pas toujours classe. Petit détail random: il adore le fromage mais peut, paradoxalement, le snober pour “élever le plat” (oui oui, je sais, très rat-snob).

Linguini

Linguini, c’est le gosse maladroit qui a fini par tomber dans la cuisine et s’y sentir bizarrement chez lui; il est gauche, drôle et étonnamment sincère. Il commence complètement perdant, un peu marionnette (merci Remy), mais il apprend, il se redresse, et il a ce côté adorablement naïf qui fait fondre tout le monde — surtout quand il fait une bêtise énorme et essaie de la couvrir avec une tremblote. Il oublie des noms, confond des sauces, mais d’un autre côté il récite une recette au bon moment comme si ça sortait du ventre, allez comprendre. Et oui, il a une coupe de cheveux improbable et un tablier trop grand; c’est un look, ok?

Colette

Colette, c’est la cheffe badass, la fille qui ne te laissera pas t’amuser avec ses couteaux, sérieusement, ne teste pas. Elle est dure, exigeante, super pro, et en même temps elle peut devenir presque maman pour ceux qui bossent assez dur — dur mais juste, tu vois le genre. Elle aime l’ordre, les gestes précis, et elle jure par la discipline en cuisine (mais secrètement elle a un carnet de recettes griffonné et un ou deux post-its collés n’importe où, désastre organisé). Petit truc marrant: elle râle sur les garçons maladroits mais elle a une faiblesse pour les plats un peu trop épicés, contradiction culinaire!

Anton Ego

Anton Ego, wow, le critique froid et tranchant, l’homme dont la plume peut tuer un resto en une phrase — intimidant à mort, ambiance bureau sans fenêtre et costume trop serré. Il est impitoyable, cynique, et il parle la langue du jugement (brrrr), mais il y a cette scène où la nourriture le rattrape et hop, paf, on découvre un cœur caché et une nostalgie d’enfant — j’adore cette casse. Il montre une façade glacée mais en vrai il aime les surprises bien faites, même s’il prétend le contraire à chaque gorgée. Détail marrant: il déteste le changement et puis accepte une révolution culinaire, genre “je ne change jamais” — et puis il écrit l’un des meilleurs retours à 180 degrés… classique, non?

Emile

Emile, le frère cool de Remy, c’est le festin sur pattes: boulimique, chaleureux, toujours prêt à manger tout ce qui bouge (et parfois ce qui ne bouge pas non plus). Il est simple dans ses goûts, adore la comfort food, un vrai camarade fidèle et un peu paresseux, mais il a un grand cœur et un humour potelé qui te fait sourire. Il est moins pointu que Remy, plus “goûte tout et aime tout” — paradoxalement il peut être étonnamment prudent sur certaines choses (genre, il refuse parfois d’essayer quelque chose bizarre, allez comprendre). Bonus: il marmonne des petites chansons en mangeant, ou alors j’invente ça, mais je le vois bien faire.