À propos du Sing 2 en quelques mots:

Sing 2 est un film d’animation américain qui raconte l’histoire de Buster Moon, un koala qui dirige un théâtre en difficulté. Pour sauver son entreprise, il décide d’organiser un concours de chant avec une récompense de 100 000 dollars. De nombreux animaux talentueux se présentent pour participer, mais Buster doit faire face à des obstacles imprévus, notamment la concurrence d’un autre producteur. Avec des chansons entraînantes et des personnages attachants, Sing 2 est une comédie musicale amusante pour toute la famille.

Rencontrez les personnages de Sing 2

Jimmy Crystal

Jimmy Crystal, c’est le méchant hyper flashy qui veut tout contrôler — la scène, les caméras, les gens, la ville… tout. Il parle fort, claque du champagne comme s’il payait ses soucis et porte des costumes qui crient “regardez-moi” (et oui, parfois ça marche). Terriblement calculateur, il peut aussi se comporter comme un gamin capricieux : collectionnite de snow globes et sucettes permanentes dans la bouche, qui l’eût cru ? En gros il fait peur, mais c’est un showman à l’ancienne, cruel et fascinant à la fois.

Porsha Crystal

Porsha, c’est la fille parfaite du grand patron — glaciale, implacable, toujours sur talons aiguilles, mais attention, elle sait tout manipuler d’un clin d’œil. Elle adore être au centre (évidemment) et a ce regard qui dit “je sais tout et tu ne tiens pas une seconde face à moi”. Parfois elle joue la froide, parfois on dirait qu’elle adore les tapis rouges plus que son propre père, c’est compliqué (et oui elle tape des rythmes de talons quand elle réfléchit). C’est une diva calculatrice mais, surprenant, elle peut se montrer loyale — quand ça l’arrange, évidemment.

Gunter

Gunter est l’âme exubérante de la troupe, un porc hyper enthousiaste qui vit pour le spectacle et les paillettes — littéralement. Il invente des numéros, rit fort, pleure parfois à la répétition et casse un truc sans le vouloir, puis danse dessus comme si de rien n’était. Il est super créatif, un peu pot-de-colle, et a cette capacité à transformer n’importe quel raté en moment génial (ou catastrophe hilarante). Oh et il adore les cupcakes; parfois il dit qu’il fait du yoga, mais on le voit surtout faire la fête à 3h du matin.

Nooshy

Nooshy, le gars discret mais ultra talentueux, c’est le danseur de rue qui a ce style fluide, ces gestes précis — genre il n’en fait jamais trop mais tout est parfait. Il parle peu, observe beaucoup, et soudain il sort un mouvement qui te laisse bouche bée; il a ce mélange de calme et d’intensité. Apparemment il mâche tout le temps un chewing-gum (vrai ou légende?), collectionne des élastiques bizarres et adore les vieux hits des années 80 — contradiction totale avec son look “trop sérieux”. Bref, il envoie une vibe cool mais attention, il cache une malice adorable.

Miss Crawly

Miss Crawly, l’assistante vieille école d’un œil qui voit tout, c’est la pragmatique du groupe: râle tout le temps mais est là quand il faut, toujours. Elle trébuche, perd ses lunettes, grogne mais ensuite sort une solution improbable à base de trombones et de ruban adhésif (vraiment, elle a un tiroir magique). Elle est lente mais efficace, et bizarrement elle adore les tricots moches — et elle a un carnet de blagues vraiment pas drôles qu’elle ressort au pire moment. En résumé : petite, râleuse, indispensable et plus coriace que n’importe quel jeune fêtard.

Clay Calloway

Clay, c’est la légende rockreclus — sombre, blessé, magnétique ; l’homme qui n’entre plus dans la lumière et pour une raison on le comprend tout de suite. Il est taciturne, joue d’un vieux Fender comme si c’était une confession, et quand il chante on sent toutes ses cicatrices (en fait on baillerait mieux de pas y penser si on veut pas pleurer). Il se cache sous une veste en cuir toujours un peu trempée (pluie ou pas), boit des thés bizarres et collectionne peut-être des coquillages? (ça te surprend, hein). Mais malgré sa distance, il a une humanité énorme — il est juste super compliqué et ultra sensible.

Buster Moon

Buster Moon c’est la petite boule d’optimisme qui refuse d’abandonner — un koala adorablement nerveux, toujours surchargé et convaincu que “ça va marcher, faites-moi confiance!”. Il déborde d’idées, crie des “on y va!” au moindre problème et panique ensuite en silence (la pire combinaison). Chef d’orchestre maladroit mais passionné, il a cette façon d’embrasser l’échec comme un pas vers la réussite (et parfois il pleure en lisant un script, oui oui). Il porte un mini-mégaphone, garde des bonbons dans une poche et croit tellement aux rêves que c’en est contagieux.

Meena

Meena, la grande éléphante timide avec une voix de diva cachée, c’est l’archétype du “tremble puis fonce” et sérieux, sa voix est juste wow. Elle a une timidité écrasante, mais une fois sur scène c’est comme si elle avalait le micro et transcendait tout — émotion pure. Elle suit des rituels absurdes avant de chanter (un petit snack, trois respirations, parfois du chant des toilettes? je sais plus) et adore les câlins, contradiction adorable. Douce, fragile mais incroyablement puissante, et toujours prête à donner le meilleur malgré la peur.

Johnny

Johnny, le gorille au grand cœur, est ce mélange casseur-repenti qui veut chanter plutôt que d’entrer dans la famille “méchants”. Il est protecteur (trop), bosse dur, écrit des riffs en gratte pendant les pauses et garde une tendance à mâchouiller des oranges quand il réfléchit — old habit. Il a l’allure de dur mais la voix et la sensibilité d’un vrai artiste, parfois il compare tout à la musique (et soudain tu comprends sa vie). Loyal, doux, un peu perdu entre les attentes familiales et ses rêves, mais prêt à tout pour ceux qu’il aime.

Rosita

Rosita, c’est la maman/pig multitâche qui hurle “ON N’A PAS LE TEMPS!” puis crée une choré en cinq minutes — boss absolue du quotidien et de la scène. Elle a une ribambelle de cochonnets à la maison, des horaires, des to-do lists et une passion secrète pour les talons pailletés (contradiction sacrée). Artiste polyvalente, elle fait des numéros, gère sa tribu et rabâche des conseils de productivité entre deux pirouettes; parfois elle pleure dans sa soupe instantanée mais reprend le sourire direct. Forte, un peu stressée et terriblement humaine, c’est la glue qui tient tout le spectacle ensemble.

Ash

Ash est la porcupine rockeuse super sarcastique, guitare affûtée et attitude “je m’en fiche” — sauf quand elle ne s’en fiche pas du tout (les yeux qui brillent quand elle voit un solo, oui). Elle a un style punk, des clous, des riffs hyper rapides et une façade froide qui cache une sensibilité énorme (contre-intuitif mais vrai). Elle boit énormément d’espresso, brode parfois des paillettes sur sa veste (ne demande pas pourquoi), et en général répond avec une pique mais aide toujours en coulisses. Indépendante, blessée parfois, mais d’une authenticité rare — et capable de faire pleurer la salle à un moment donné.