À propos du Turning Red en quelques mots:

Turning Red est une série animée qui suit l’histoire de Mei Lee, une adolescente de 13 ans qui vit à Toronto. Elle est une jeune fille ordinaire jusqu’à ce qu’elle soit submergée par ses émotions et se transforme en un panda rouge géant. Elle doit apprendre à contrôler ses émotions et sa transformation tout en naviguant dans les hauts et les bas de l’adolescence. La série est produite par Pixar Animation Studios et est dirigée par Domee Shi, la première femme à réaliser un court métrage pour Pixar. La série est attendue avec impatience par les fans d’animation et de Pixar.

Découvrez les personnages de Turning Red

Tyler

Tyler, ahhhh Tyler — le beau gosse un peu mystérieux de l’école qui fait battre des coeurs, même si on dirait qu’il ne se rend pas trop compte. Il est cool sans faire d’effort, genre joueur de base-ball ou skateboard — parfois les deux, parfois aucun, qui sait — mais tout le monde l’adore. Il a ce sourire en coin qui te laisse penser qu’il cache une playlist secrète et qu’il collectionne des casquettes bizarres. Très secondaire mais impossible à ignorer, toujours là quand il faut… ou pas.

Ming Lee

Ming est LA maman dramatique et adorée, ultra-protectrice, style “plan d’action pour une rentrée” sous le bras à tout moment. Elle commande la maison avec une énergie théâtrale, c’est intense, parfois étouffant, mais on sent toujours que c’est par amour (enfin, la plupart du temps). Elle parle fort, organise tout, et a des rituels bizarres — genre elle est peut-être fan de rangement zen mais aussi d’autocollants licornes, je vous jure c’est vrai… enfin je crois. En résumé : impressionnante, efficace, un peu folle, et totalement incapable de rester en place quand sa fille fait quelque chose d’un peu risqué.

Wu Lee

Wu Lee, ok celui-là, c’est un nom qui sonne ancien et mystérieux, la vibe “tradition familiale” un peu mythique — on l’imagine comme un ancêtre sage ou une figure un peu légendaire. On le voit comme la source du folklore du panda roux, un peu cérémonial, avec des histoires de généalogie qui te donnent envie d’écouter pendant des heures. Parfois il paraît froid et un peu sévère, parfois il est étonnamment drôle — dépend de la journée et du thé qu’il a pris, je crois. Bref, personnage culte pour les explications mystiques, mais aussi parfait pour les petits détails kitsch qu’on n’attend pas.

Abby

Abby, la meilleure pote explosive, genre gros volume et cœur énorme, elle est hyper loyale et totalement incapable de rester silencieuse. Toujours prête pour une déclaration dramatique (ou une choré improvisée), elle adore les paillettes, les accessoires improbables et les selfies ridicules, et on la suit sans hésiter. Elle est parfois immature mais d’une sincérité qui arrache des larmes, et bizarrement elle sait toujours la bonne réplique — ou au moins la plus bruyante. C’est la copine qui transforme chaque situation en scène de comédie, et franchement on en redemande.

Mei Lee

Mei, la protagoniste, c’est un tsunami d’émotions, de créativité et d’embarras adorable, la fille qui passe d’ado normale à panda géant (oui oui) quand le stress frappe — on adore ce chaos. Elle est ultra-attachante, sensible, un peu geek, fan de journaux intimes et de playlists dramatiques, et elle veut juste être elle-même sans décevoir personne (spoiler : compliqué). Elle dessine, elle chante dans sa tête, elle a des tas de post-it partout et un sens du style qui change toutes les trois minutes, parce que pourquoi pas. C’est le cœur battant du film, magnifiquement faillible, parfois exaspérante (on l’aime même quand elle ruine tout), et tellement vraie que ça fait mal.

Priya

Priya est la voix un peu plus posée du trio, intelligente, réfléchie, la copine qui calcule les risques mais qui a aussi des petits délires secrets (danse folle à 2h du mat, oui oui). Elle agit comme le nerf logique mais elle a des moments de folie douce qui te surprennent et te font rire — en plus elle est incroyablement loyale. Elle peut paraître réservée au début mais elle te claque une réplique qui te remet à ta place, avec classe. Bref, le mélange parfait entre sérieux et imprévisible, et on veut toutes une Priya dans notre groupe.

Jin Lee

Jin, le papa, c’est la douceur tranquille, celui qui sourit beaucoup mais parle peu, genre le pilier calme de la famille — et je fonds à chaque fois. Il a ce côté discret qui cache une patience infinie, et parfois des gestes maladroits super touchants (i.e. tenter de comprendre la pop culture et échouer avec grâce). Il soutient sa fille sans fanfare, mais quand il parle, on sent que ça compte, et il a parfois des idées un peu étranges comme collectionner des tasses ou apprendre une danse improbable. Bref, le papa qu’on aimerait tous avoir : stable, un peu gêné, énormément aimant.

Miriam

Miriam, ok celle-là est un drôle de cocktail — un peu excentrique, pleine de petites manies, sûrement la tante cool ou amie de la famille qui débarque toujours avec des biscuits et une histoire embarrassante. Elle adore les commérages gentils, change de sac toutes les semaines et croit dur comme fer aux remèdes maison (gingembre + chants, pourquoi pas). Parfois on ne sait pas si elle est mentor, fan-club ambulant ou juste un phénomène social, mais elle met toujours l’ambiance. En tout cas, mémorable et totalement imprévisible, un vrai personnage secondaire qu’on adore voler la scène.