À propos du Tokyo Godfathers en quelques mots:

Tokyo Godfathers est une série animée qui suit l’histoire de trois sans-abris, Gin, Hana et Miyuki, qui trouvent un bébé abandonné dans une poubelle le soir de Noël. Ils se lancent alors dans une aventure pour retrouver les parents du bébé. Au cours de leur voyage, ils rencontrent des personnages colorés et découvrent des secrets cachés. La série explore les thèmes de la famille, de la rédemption et de l’espoir dans un Tokyo urbain et chaotique. Avec des personnages attachants et une histoire touchante, Tokyo Godfathers est une série animée incontournable pour les fans de drame et de comédie.

Découvrez les personnages de Tokyo Godfathers

Gin

Gin, c’est ce type bourru mais tendre, le mec qui boit pour oublier tout en gardant un instinct de protection ultra-précis. Il parle peu, marche un peu comme s’il portait des siècles sur l’échine, et quand il sourit c’est comme un miracle (vraiment). Il a des regrets évidents et des gestes précis, parfois il oublie son propre prénom — ok j’exagère — mais vous voyez l’idée. Bref, il est à la fois solide et cassable, genre ronin en jean qui conserve une boîte à secrets et des blagues nulles.

Hana

Hana, c’est la mère-poule du groupe, exubérante, bruyante et d’une bonté qui déborde — elle aime, elle répare, elle crie, elle pardonne. Elle a ce mélange de diva et d’ange de la rue: maquillage impeccable un jour, bottes boueuses le lendemain, et toujours un dîner prêt (sérieux). Son passé est un mystère chaleureux, on sent des sous-entendus de glamour perdu mais aussi des casseroles, et elle s’en sert sans se plaindre. Parfois elle est presque trop dramatique (comme si elle jouait dans une pièce) et parfois elle est tout simplement la personne la plus fiable du monde; je l’adore.

Miyuki

Miyuki, la gamine rebelle et têtue, tu veux la secouer et la prendre dans tes bras en même temps. Elle claque la porte, fout des baffes verbales, puis pleure dans sa poche — très contradictoire, très adolescente, très vraie. Elle a une force intérieure étonnante, elle ne se laisse pas marcher dessus, et elle est étonnamment intelligente dans ses choix (même si elle fait souvent n’importe quoi). Bref elle est râleuse, touchante et imprévisible, et parfois elle porte des chaussettes dépareillées juste pour exaspérer tout le monde.

Kiyoko

Kiyoko, le bébé trouvé, c’est le cœur ambulant du film: tout le monde devient meilleur quand elle est là. Elle peut être un ange silencieux puis une sirène hurlante en cinq secondes; elle manipule ses sauveurs sans effort, je vous jure. Elle a des yeux de sage ou de recul qui pourraient appartenir à une vieille dame — je sais, c’est bizarre, mais on jurerait — et en même temps elle vomit sur vos chaussures. C’est la raison pour laquelle tout le bazar commence, elle est petite mais cause de grandes émotions, tout simplement adorable et infernale.

Oota

Oota (ou Ohta, on sait jamais, les noms japonais me font foirer mes notes), le type un peu bureaucrate, flic fatigué mais pas méchant. Il a ce combo: moustache mentale de sérieux, mais des failles qui montrent qu’il aime encore croire en des miracles de quartier. Il est parfois coincé dans les règles mais finit par suivre son cœur (ou se faire convaincre par un bébé qui pleure, classique) et ça le rend humain. Il parle beaucoup de procédures et de formulaires, mais garde une photo d’un chat dans son portefeuille — ou c’était une facture? — détail flou, mais touchant.