À propos du Genshin Impact en quelques mots:

Genshin Impact est un jeu vidéo d’action-aventure en monde ouvert développé par miHoYo. Le jeu se déroule dans le monde de Teyvat, où les joueurs incarnent un voyageur qui doit explorer le monde, combattre des ennemis et résoudre des énigmes pour découvrir la vérité sur un mystérieux dieu. Le jeu est connu pour son gameplay addictif, ses graphismes époustouflants et son histoire captivante. Avec une distribution de personnages variée et des mises à jour régulières, Genshin Impact est rapidement devenu l’un des jeux les plus populaires de l’année.

Découvrez les waifus de Genshin Impact

Beidou

Beidou c’est la capitaine qui te frappe d’abord avec son rire, puis avec son épée — et oui elle a une grande cicatrice et une histoire de mer épique, mais on l’adore. Elle boit, elle jure, elle commande le Crux comme si c’était un navire de légende (parfois elle a l’air de raconter ses propres mythes, qui changent à chaque fois). Très protectrice avec son équipage, mais paradoxalement elle avoue avoir le mal de mer, ce qui est hilarant et peut-être faux, qui sait. Bref, une force de la nature qui aime les orages et les blagues salées, tout en gardant un côté tendre que personne n’attendrait.

Lisa

Lisa, la bibliothécaire électro, élégante et paresseuse à la fois — elle connaît plus de grimoires que tu n’as d’heures dans une journée mais elle restera chez elle pour une sieste avant de t’expliquer la théorie de la magie. Elle flirte avec la connaissance comme d’autres collectionnent les timbres, elle est brillante et un peu mystérieuse (oui, elle a des secrets dans ses tiroirs, évidemment). Amoureuse des livres, mais elle peut aussi les utiliser comme oreiller, voilà voilà — contradiction assumée. En somme, une érudite charmeuse qui peut te botter les fesses avec un sort et ensuite t’offrir du thé.

Noelle

Noelle, la cheffe-maid qui veut devenir Chevalier de Favonius, est l’archétype du sérieux adorable: elle nettoie, protège et répète ses promesses à longueur de journée. Elle est incroyablement forte (la pelle, c’est sérieux), maladroite parfois et tellement consciencieuse que ça en devient mignon, mais elle râle quand on la traite comme une simple servante — logique. Elle est propre sur elle, aime tout polir (armes, armures, vitres?), et pourtant elle se retrouve collée dans des cavernes sans une tache sur sa robe, ce qui est un peu suspect. Bref, vraie volonté de fer avec un cœur tendre, et je jure qu’elle dort avec son arme (ou pas, je crois).

Jean

Jean, la Grande Maîtresse par intérim, est toute discipline et dévouement, sérieuse au possible mais pas froide — en fait elle est un peu mère-courage pour Mondstadt. Elle tient la ville avec une poigne de vent (ironie) et un sens du devoir impressionnant, toujours prête à intervenir même quand elle est épuisée (et elle l’est, souvent). Elle paraît stricte mais a des moments où elle lâche un sourire rare qui fait fondre les gens, et parfois elle boit quelque chose de fort en cachette, hap. Parfaite chef, mais humaine, et parfois un poil trop responsable pour son propre bien.

Xiangling

Xiangling est la chef hyperactive et géniale de Liyue qui met du piment partout — et je veux dire PARTOUT, même dans les desserts, oui c’est sacrilège et elle s’en moque. Son panda-ami Guoba est la mascotte la plus mignonne et bizarre, et elle expérimente des recettes qui feraient hurler un critique, mais elles marchent. Enfantine, passionnée, elle parle vite, rit fort et peut être à la fois insouciante et totalement professionnelle en cuisine (parfois elle oublie qu’elle a mis du feu dans la marmite, mais bon). Résultat : une cuisinière explosive et un génie culinaire naïf, du feu, des rires, des plats qui te marquent.

Ningguang

Ningguang, la Tianquan, c’est le pouvoir incarné en soie et en jade — froide, calculatrice, élégante et terriblement efficace. Elle collectionne les richesses, organise Liyue comme un échiquier et sait toujours où sont ses pièces, mais elle déteste le désordre (sauf peut-être pour ses petites fioritures, allez savoir). Elle donne des ordres avec un sourire affûté, et parfois tu sens une curiosité secrète pour les petites choses humaines, comme si la pierre avait un cœur, ou au moins une curiosité. Bref, beauté glacée et cerveau d’acier, avec un soupçon de vanité délicieuse.

Keqing

Keqing, ultra méfiante envers les dieux et hyper efficace, court partout avec son épée et ses idées très claires — elle veut que tout fonctionne sans miracles inutiles. Sérieuse, ultra-organisée, parfois brusque, elle fait tout elle-même parce que “on ne peut pas attendre les étoiles”, oui elle est hardcore. Elle calcule, planifie et passe pour froide, mais elle a des moments de râlerie presque comiques (et elle tient des listes, tellement de listes, parfois contradictoires entre “je déteste la tradition” et “je respecte l’ordre”). En bref, une bosseuse indépendante qui pourrait te critiquer et ensuite te sauver la mise en cinq secondes.

Xinyan

Xinyan, la rockeuse pyro avec sa guitare-claymore, est un ouragan de riffs, cheveux et convictions — elle fait de la musique bruyante pour réveiller les cœurs. Rebelle mais incroyablement loyale à ses rares amis, elle déteste les faux-semblants et adore la scène, même si elle a parfois des goûts surprenants en déco (rock, oui, mais aussi paillettes? pourquoi pas). Elle montre une façade dure mais a un cœur super doux, collectionne les vêtements flamboyants et refuse d’être cataloguée, voilà. Bref, du feu, de la candeur, et un solo qui te donne envie d’embrasser la rue — ou de fuir, selon ton style.

Amber

Amber est la scout optimiste et adorable, toujours prête à sauter sur son arc avec un sourire trop grand et un Baron Bunny sous le bras — sérieusement, cette poupée est son truc. Elle est parfois un peu maladroite (elle sait le reconnaître) mais incroyablement compétente sur le terrain, et elle adore la nature et les enfants, classique héroïne de quartier. Toujours enthousiaste, elle dit des phrases encourageantes comme si elles étaient des sorts, et pourtant elle reste humble et accessible, ce qui la rend trop attachante. Résultat : l’archère du coin qu’on aimerait avoir comme amie d’aventure (et qui t’aidera même si tu perds ta route).

Fischl

Fischl, la Prinzessin des mondes oubliés, est un personnage délicieusement bizarre — elle parle de royaumes sombres, est accompagnée d’un corbeau (Oz) qui a plus de sens que certains humains, et porte un rôle théâtral à plein temps. C’est un mélange d’excentricité littéraire et de compétences tranchantes, elle est sérieuse dans son délire et ça marche étonnamment bien. Parfois elle glisse en parlant normal, ou fait des blagues scientifiques (oui, vraiment), ce qui crée des petites incohérences charmantes qui te font craquer. Bref, gothique, érudite et absolument imprévisible — un personnage qu’on n’oublie pas.

Qiqi

Qiqi, petite zombie cryo, marche comme si le monde la surprenait chaque matin (ce qui est mignon et un peu flippant), monotone mais incroyablement efficace en guérison. Elle garde ses médicaments comme des trésors, note des choses sur des bouts de papier et te suit en silence, et parfois elle se rappelle tout avec une précision glaçante (mais oublie aussi que tu viens de parler, ou pas). Son air distant cache une innocence ancienne, et il y a quelque chose de tendre dans sa façon d’être sérieuse sans l’être trop — contradiction adorable. En bref, un mystère ambulant en robe de petite fille, capable de sauver une bataille et de te faire fondre sans le vouloir.